Du Morbihan au Finistère sud. Au pays des embarcadères
Du golf du morbihan (Sarzeau, pointe Saint Jacques) au Finistère Sud (Moëlan), avec un retour en train Quimperlé-Vannes
Quand : 22/07/2017
Durée : 6 jours
Durée : 6 jours
Distance globale :
227km
Dénivelées :
+1197m /
-1193m
Alti min/max : 2m/68m
Carnet publié par Ehou
le 31 août 2017
modifié le 09 sept. 2017
modifié le 09 sept. 2017
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Vue d'ensemble
Le topo : Belle île (mise à jour : 03 sept. 2017)
Distance section :
41.6km
Dénivelées section :
+383m /
-380m
Section Alti min/max : 7m/68m
Description :
Le vélo est probablement le moyen le plus efficace pour visiter Belle-île. Il nous permettra de franchir de grandes distances et d'aller découvrir les coins sauvages éloignés du port d'arrivée. Ce n'est pas les Alpes, mais on y rencontre quelques grimpettes. Il est indispensable de prévoir de l'eau en conséquence la densité de population y est ici très faible, et les possibilités de recharger les gourdes limitées.
Le compte-rendu : Belle île (mise à jour : 03 sept. 2017)
Nous poussons plus loin l'aventure maritime.
Laissant tente et barda au camping on se lève au petit matin (07h ... ouf), pour rejoindre Port Maria à Quiberon.
La "côte sauvage" de la presqu'île nous offre un joli spéctacle matinal. Une piste cyclable de terre compactée nous mène jusqu'à Port Maria.
Notre optimisme et notre volonté de ne rien planifier à l'avance sera mis à l'épreuve lorsque prenant notre billet pour Belle île nous sommes mis en liste d'attente. Misère ... Finalement on embarque avec nos vélos quelques (longues) minutes plus tard, pour presqu'une une heure de traversée.
Arrivée au port du Palais nous décidons de boucler vers la pointe sud, plus sauvage. Nous découvrons une île tranquille, presque déserte. Nous nous laissons guider par les nombreux itininaires vélos fléchés sur l'ensemble de l'île. Et enfouissons nos pieds dans le sable au gré des plages rencontrées.
Nous prenons le bateau du retour en fin d'après midi, pas trop tard car nous avons repéré quelques conserveries à Quiberon dont les produits devraient améliorer notre ordinaire ... Et effectivement, le Thon (à tous les parfums) accomodé de tomates en salade deviendra la star de nos diners les jours suivants.
Laissant tente et barda au camping on se lève au petit matin (07h ... ouf), pour rejoindre Port Maria à Quiberon.
La "côte sauvage" de la presqu'île nous offre un joli spéctacle matinal. Une piste cyclable de terre compactée nous mène jusqu'à Port Maria.
Notre optimisme et notre volonté de ne rien planifier à l'avance sera mis à l'épreuve lorsque prenant notre billet pour Belle île nous sommes mis en liste d'attente. Misère ... Finalement on embarque avec nos vélos quelques (longues) minutes plus tard, pour presqu'une une heure de traversée.
Arrivée au port du Palais nous décidons de boucler vers la pointe sud, plus sauvage. Nous découvrons une île tranquille, presque déserte. Nous nous laissons guider par les nombreux itininaires vélos fléchés sur l'ensemble de l'île. Et enfouissons nos pieds dans le sable au gré des plages rencontrées.
Nous prenons le bateau du retour en fin d'après midi, pas trop tard car nous avons repéré quelques conserveries à Quiberon dont les produits devraient améliorer notre ordinaire ... Et effectivement, le Thon (à tous les parfums) accomodé de tomates en salade deviendra la star de nos diners les jours suivants.