Itinérance dans les Monges
Connaisseurs des grands massifs montagneux (Ecrins, Queyras, Mercantour…), on ne se doute pas qu’à leurs environs se lovent de plus petits massifs, moins étendus, moins hauts, mais de toute beauté, et dont les espaces ouverts invitent comme une évidence à la randonnée.
Comme beaucoup, je n’avais jamais entendu parlé des Monges, petit massif à l’Est de Sisteron, culminant à 2115m. Il a suffi d’un petit article lu par hasard un jour sur la revue du CAF (Club Alpin Français), pour attiser ma curiosité. J’ai décidé d’aller y faire un tour à pied avec Christian, pendant quatre jours d’itinérance en automne.
De nombreux sentiers et un GR traversent ce massif, permettant d’inventer diverses boucles pour en faire le tour.
Nous avons voulu choisir un itinéraire esthétique, parcourant le massif essentiellement par les crêtes, en essayant de descendre le moins possible, si ce n’est pour se ravitailler en eau. En effet de nombreux ruisseaux marqués sur la carte, s’avèrent en réalité bien à sec.
La météo conciliante nous a offert des journées lumineuses, enchantant les couleurs de l’automne. On rentre plein d’énergie de ces escapades.
Comme beaucoup, je n’avais jamais entendu parlé des Monges, petit massif à l’Est de Sisteron, culminant à 2115m. Il a suffi d’un petit article lu par hasard un jour sur la revue du CAF (Club Alpin Français), pour attiser ma curiosité. J’ai décidé d’aller y faire un tour à pied avec Christian, pendant quatre jours d’itinérance en automne.
De nombreux sentiers et un GR traversent ce massif, permettant d’inventer diverses boucles pour en faire le tour.
Nous avons voulu choisir un itinéraire esthétique, parcourant le massif essentiellement par les crêtes, en essayant de descendre le moins possible, si ce n’est pour se ravitailler en eau. En effet de nombreux ruisseaux marqués sur la carte, s’avèrent en réalité bien à sec.
La météo conciliante nous a offert des journées lumineuses, enchantant les couleurs de l’automne. On rentre plein d’énergie de ces escapades.
Quand : 26/10/2021
Durée : 4 jours
Durée : 4 jours
Distance globale :
68.1km
Dénivelées :
+3142m /
-3346m
Alti min/max : 657m/2087m
Carnet publié par Stine
le 04 nov. 2021
Mobilité douce
Précisions :
Pour l'AR de Grenoble à Sisteron, nous avons emprunté la ligne LER 31 de bus de la compagnie ZOU.
Pas de transport en commun entre Sisteron et Bayons ou Clamensane au pied des Monges, nous avons alors fait appel à un taxi pour les 30 kms de jonct...
Pour l'AR de Grenoble à Sisteron, nous avons emprunté la ligne LER 31 de bus de la compagnie ZOU.
Pas de transport en commun entre Sisteron et Bayons ou Clamensane au pied des Monges, nous avons alors fait appel à un taxi pour les 30 kms de jonction.
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 4 : de Dormeilleuse à Clamensane (mise à jour : 04 nov. 2021)
Distance section :
16km
Dénivelées section :
+388m /
-1212m
Section Alti min/max : 657m/1842m
Description :
Plateau au-dessus de la Gourie (1520m) -> Crête de Dormeilleuse (1749m) -> Croix de Saint Jean (1886m) -> passage de Palabiouse (1448m) -> Clamensane (681m)
Environ 400m de D+ et 14 kms
Environ 400m de D+ et 14 kms
Le compte-rendu : Jour 4 : de Dormeilleuse à Clamensane (mise à jour : 04 nov. 2021)
Malgré les menaces éphémères des nuages matinaux, la dernière journée sera encore un vrai cadeau. Rapidement nous remontons sur Dormeilleuse, pour poursuivre sur la Croix de Saint Jean, et reprendre un immense plaisir à arpenter cette large crête sur la montagne de Jouère. De là-haut, le paysage est splendide, au nord comme au sud. Sur tous nos horizons, des petits massifs montagneux secrets, se déploient comme une houle prête à s’ébrouer.
Le long parcours de crêtes s’achève ; au passage de Palabiouse (encore un nom qui éveille mille contes !), nous plongeons dans une très belle forêt roussie par l’automne, pour rejoindre Clamensane un peu plus bas. Terminus à la rivière pour se donner un air de propreté avant le retour vers la civilisation.
Nous avons eu une chance incroyable d’avoir bénéficié pendant ces quatre jours, d’un temps sec et extrêmement lumineux, laissant des images fortes dans nos souvenirs. On revient plein d’enthousiasme après une telle itinérance.
Le long parcours de crêtes s’achève ; au passage de Palabiouse (encore un nom qui éveille mille contes !), nous plongeons dans une très belle forêt roussie par l’automne, pour rejoindre Clamensane un peu plus bas. Terminus à la rivière pour se donner un air de propreté avant le retour vers la civilisation.
Nous avons eu une chance incroyable d’avoir bénéficié pendant ces quatre jours, d’un temps sec et extrêmement lumineux, laissant des images fortes dans nos souvenirs. On revient plein d’enthousiasme après une telle itinérance.