LES ACORES en mode aventure de quinquagénaires
En fin de restrictions sanitaires....sans vaccins ni peurs
Quand : 22/02/2022
Durée : 24 jours
Durée : 24 jours
Carnet publié par Ces42
le 16 juil. 2022
modifié le 18 mars 2022
modifié le 18 mars 2022
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Sao Miguel
Le topo : Sao Miguel (mise à jour : 18 mars 2022)
Description :
Départ de Toulouse avec Ryanair le 22 février 2022, Luc et moi.
Sacs sur le dos, tente et test covid fait la veille à Capdenac négatif
Jour 1:mercredi 23 février : A Ponta Delgada il a fait beau plusieurs fois dans la journée. L'auberge de jeunesse est super bien rénovée bien qu'un peu froide et humide, elle est immense mais....nous sommes 5 pèlerins et la télé allumée en continue est le seul bruit qui nous relie au monde vivant.
Jour 2: j'ai attendu la fin du petit déjeuner pour le dire à Luc ...j'ai reçu ce matin le résultat du test PCR qu'ils m'ont fait en arrivant à l'aéroport des AZORES: POSITIF!!
Pour moi il y a 2 choses à faire vite....refaire un autre test PCR et partir à Vila Franca ou on a réservé un studio et où on sera bien si on doit rester confiné. On fait tous les 2 un test170 euros puis on prend le bus.
A 12h on est arrivé au studio sur le port de pêche...résultats négatifs pour Luc et moi
Je n'ai pas pu me retenir de rire...quelle grossière mascarade!!
Le stress retombe, on oublie tout.
Jour 3-4: A Vila Franca on a loué le studio sur le port pour une nuit de plus et on est parti en rando à la journée jusqu'au lac fogo. Superbe ambiance semi-tropicale avec un relief volcanique recouvert d'une multitude de lichens, fougères, bruyères, azales...de toutes les couleurs.on à acheté un parapluie= guarda chura en portugais INDISPENSABLE aux Azores.
Jour 5: dimanche 27 février: on a repris la route vers Ponta Garca. Petite étape car la météo locale annonçait un temps pluvieux et venteux à 80%....au final pas une goutte ! Pour notre plus grand plaisir on a traversé de nombreux petits villages aux murs blancs ou jaunes et aux encadrements en pierre de lave sculptés.
Les tracteurs sont garés dans les cours des maisons et les vaches sont dans des jardins au milieu du village.
Jour 6: on a voulu rejoindre Ribeira Quente par un chemin côtier et on a dû faire demi-tour car à marée haute on n'a pas pu rejoindre les escaliers à l'autre bout de la plage...retour sur la route, sous la pluie... un autre chemin pour rejoindre la côte.
Un chemin incroyable au dessus de la falaise , à travers des éboulis en surplomb de l'océan.
Aucune baleine en vue.
Jour 7 : on a bu un chocolat chaud à Ribeira Quente. on a acheté notre pain au boulanger ambulant comme hier, puis on a plié la tente qu'on avait installée dans la grotte repérée sur le chemin, face à l'océan sans horizon. Puis on a repris le chemin vers Furnas..... sous la pluie.
Jour 8 mercredi 2 mars: cela fait une semaine qu'on est sur l'île de Sao Miguel. On est arrivés au terrain de camping de Furnas, il pleut toutes les 2 heures environ...biensur on ne regarde plus les prévisions météo, on n'écoute plus les nouvelles du monde...juste avancer, marcher, regarder, écouter, manger et dormir.
Jour 9: départ de Furnas en bus pour rejoindre Povoacao, sur la côte sud . De la démarre une ascension magnifique à travers les pâturages puis la forêt dense.
Autrefois les paysans cultivait le blé et il reste de nombreux moulins - moins en portugais.
Jour 10: après notre nuit dans la forêt on a traversé le village de Agua Retorta puis on a essayé de prendre un chemin côtier marqué sur notre carte au 25000emes mais qu'on a finalement perdu par manque de signalisation et à cause du passage des vaches qui ouvrent des chemins ...retour sur la route bordée d'arbres immenses et abandonnée des touristes...on ne croise que des cars et les camionnettes de lait.
Jour 11: sur la côte ouest les falaises sont vertigineuses , les canyons infranchissables.
Un parcours de 8 h de marches entre Lombo Cordo Calhau Grande ou nous avons déjeuné sur la place publique. Le vendeur du super marketo nous a même offert une poire et une banane....on pensait coucher au camping de Nordeste mais il était fermé et...une caméra de surveillance trônait à l'entrée alors on a décidé de continuer la route jusqu'à Lomba...pour planter notre tente à 6h du soir au bord du bout de la route ...sous la pluie qui durera toute la nuit!
Jour 12 dimanche 6 mars: départ sous la pluie pour le Pico Da vara à 1183 m d'altitude
C'est là que Marcel Serdan a perdu la vie dans l' accident d'avion qui devait le conduire à New-York.
Une ascension dans des conditions difficiles pour les chevilles, les chaussures et les pantalonsmais magnifiques pour les yeux.
Jour 13 lundi 7 mars: notre 1ere journée sans une seule goutte de pluie. On a fait plusieurs PR le long de la côte Nord face à l'océan mouvementé à cause du vent. On a vu les rouleaux devant MAYA, appréciés des surfeurs. On a couché au chaud à Porto Fonposo...un très beau petit village de pêcheurs...enfin!
Jour 14: un petit trajet en bus jusqu'à Ribeira Grande...la ville. Ballades à travers les rues étroites ou les bus froles les façades. Il pleut fort alors on prend une pizza pour manger à Vila L'aura. La plage de Santa Barbara de sable noir est impressionnante avec ses énormes rouleaux.
Jour 15 :mercredi 9 mars. On reprend le bus sur 20 km car il n'y a que de la route pour arriver à Calhetas puis on s'arrête à Santo Antonio ou il y a une piscine naturelle chaude nous a dit notre hôte hier. Il fait très beau et même chaud....je mets mon maillot...Luc n'a pas envie de se baigner...l'eau est à 17 degrés. Tant pis j'y vais, je rejoinds un papy de 88 ans ,une portugaise qui se baigne là tous les jours de l'année et une Franco/Portugaise qui vit aux acores depuis 20 ans...2 heures passent.
On reprend le chemin côtier pour un bivouac magnifique.
Jour 16: on quitte la côte pour aller au cœur du volcan de Sete Cidades, qui est le site le plus touristique de l'île mais les nuages sont revenus et les rhododendrons ne sont pas en fleur. 600 m de dénivelé. Le terrain de camping est fermé mais on peut s'y installer...un bon repas au restaurant, il n'y en a que 2 dans le village...des limpes comme les coquillages que les pêcheurs de la plage étaient venus ramasser et un beef steack d'au moins 200gr et biensur un dessert.
Jour 17: vendredi 11 mars. On reste au bord du lac azul et du lac verde mais ils sont tous les 2 de la couleur des nuages et de la pluie....tant pis on marche sans les sacs sur le chemin de ronde du cratèreet des pics environnants. On est trempés et je ressens la fatigue dans tout mon corps...j'ai besoin d'une pause et d'un peu de confort.
Jour 18: on voulait prendre la levada pour redescendre sur la côte ouest de l'île jusqu'à Mosteiros mais il a tellement plu cette nuit que toutes nos affaires ont été mouillées dans la tente et la levada est inondée et inaccessible.
Un peu découragés on se pause au soleil un peu timide pour tout faire sécher avant de remonter en haut du cratère.
Jour 19: on croise depuis hier beaucoup de voitures de location et de touristes derrière les vitres et leur téléphone. Je suis fatiguée et impossible de trouver un seul hébergement dans le coin, on reprend la route au milieu des azalées en fleurs et des bourgeons d'orthensias. Les prairies sont vertes mais les vaches et les veaux attachés me font de la peine.on arrive au bord de l'océan en empruntant des chemins extrêmement ravines par la pluie, parfois complètement détruits
Jour 20: lundi 14 mars.les oiseaux nous traitent comme des intrus et l'océan fait démonstration de sa force. Je cherche inlassablement la présence d'une baleine ou de dauphins...mais rien que l'écume blanche des vagues et quelques bateaux de pêche au loin.Le vent est très violant et la température ne dépasse guère les 14 degrés. Il reste les vestiges de nombreux moulins à vent pour le blé
. Mais aujourd'hui il n'y a plus de cultures de céréales l'agriculture se résume à l'élevage laitier subventionné par l'Europe.
Jour 21 : il nous reste peu de km avant d'arriver à Ponta Delgada. Notre périple avoisine les 300 km à pied avec un sac de 7 à 9 kg sur le dos et un dénivelé de 1000m environ.
Les villages sont toujours aussi tranquilles et propres. Les avions SATA, TAP ET RYANAIR passent au dessus de nous. On s'arrête à l'aéroport pour refaire le point sur les mesures sanitaires obligatoires...il me faut refaire un test covid et compléter en ligne des documents de tracabilite des voyageurs....vive la liberté.
Jour 22 : mercredi 16 mars on décolle à 19h pour Lisbonne mon test antigenique valable 48h à 30 euros est négatif et on a mis plus de 3 heures à compléter tous les documents. Un repas au resto TASCA recommandé par le petit futé....poulpe et morue....mais trop salé et trop gras pour nos estomacs plus habitués au pain et au fromage.
Jeudi 17 mars: une nuit à l'aéroport de Lisbonne qui grouille de vie, de rires, de voix d'enfants, de grincements de chariots. Nous ne sommes pas les seuls à passer la nuit à somnoler sous les lumières blanches et les bruits réguliers de vaisselle. Notre avion pour Toulouse décollera à 11h.
Sacs sur le dos, tente et test covid fait la veille à Capdenac négatif
Jour 1:mercredi 23 février : A Ponta Delgada il a fait beau plusieurs fois dans la journée. L'auberge de jeunesse est super bien rénovée bien qu'un peu froide et humide, elle est immense mais....nous sommes 5 pèlerins et la télé allumée en continue est le seul bruit qui nous relie au monde vivant.
Jour 2: j'ai attendu la fin du petit déjeuner pour le dire à Luc ...j'ai reçu ce matin le résultat du test PCR qu'ils m'ont fait en arrivant à l'aéroport des AZORES: POSITIF!!
Pour moi il y a 2 choses à faire vite....refaire un autre test PCR et partir à Vila Franca ou on a réservé un studio et où on sera bien si on doit rester confiné. On fait tous les 2 un test170 euros puis on prend le bus.
A 12h on est arrivé au studio sur le port de pêche...résultats négatifs pour Luc et moi
Je n'ai pas pu me retenir de rire...quelle grossière mascarade!!
Le stress retombe, on oublie tout.
Jour 3-4: A Vila Franca on a loué le studio sur le port pour une nuit de plus et on est parti en rando à la journée jusqu'au lac fogo. Superbe ambiance semi-tropicale avec un relief volcanique recouvert d'une multitude de lichens, fougères, bruyères, azales...de toutes les couleurs.on à acheté un parapluie= guarda chura en portugais INDISPENSABLE aux Azores.
Jour 5: dimanche 27 février: on a repris la route vers Ponta Garca. Petite étape car la météo locale annonçait un temps pluvieux et venteux à 80%....au final pas une goutte ! Pour notre plus grand plaisir on a traversé de nombreux petits villages aux murs blancs ou jaunes et aux encadrements en pierre de lave sculptés.
Les tracteurs sont garés dans les cours des maisons et les vaches sont dans des jardins au milieu du village.
Jour 6: on a voulu rejoindre Ribeira Quente par un chemin côtier et on a dû faire demi-tour car à marée haute on n'a pas pu rejoindre les escaliers à l'autre bout de la plage...retour sur la route, sous la pluie... un autre chemin pour rejoindre la côte.
Un chemin incroyable au dessus de la falaise , à travers des éboulis en surplomb de l'océan.
Aucune baleine en vue.
Jour 7 : on a bu un chocolat chaud à Ribeira Quente. on a acheté notre pain au boulanger ambulant comme hier, puis on a plié la tente qu'on avait installée dans la grotte repérée sur le chemin, face à l'océan sans horizon. Puis on a repris le chemin vers Furnas..... sous la pluie.
Jour 8 mercredi 2 mars: cela fait une semaine qu'on est sur l'île de Sao Miguel. On est arrivés au terrain de camping de Furnas, il pleut toutes les 2 heures environ...biensur on ne regarde plus les prévisions météo, on n'écoute plus les nouvelles du monde...juste avancer, marcher, regarder, écouter, manger et dormir.
Jour 9: départ de Furnas en bus pour rejoindre Povoacao, sur la côte sud . De la démarre une ascension magnifique à travers les pâturages puis la forêt dense.
Autrefois les paysans cultivait le blé et il reste de nombreux moulins - moins en portugais.
Jour 10: après notre nuit dans la forêt on a traversé le village de Agua Retorta puis on a essayé de prendre un chemin côtier marqué sur notre carte au 25000emes mais qu'on a finalement perdu par manque de signalisation et à cause du passage des vaches qui ouvrent des chemins ...retour sur la route bordée d'arbres immenses et abandonnée des touristes...on ne croise que des cars et les camionnettes de lait.
Jour 11: sur la côte ouest les falaises sont vertigineuses , les canyons infranchissables.
Un parcours de 8 h de marches entre Lombo Cordo Calhau Grande ou nous avons déjeuné sur la place publique. Le vendeur du super marketo nous a même offert une poire et une banane....on pensait coucher au camping de Nordeste mais il était fermé et...une caméra de surveillance trônait à l'entrée alors on a décidé de continuer la route jusqu'à Lomba...pour planter notre tente à 6h du soir au bord du bout de la route ...sous la pluie qui durera toute la nuit!
Jour 12 dimanche 6 mars: départ sous la pluie pour le Pico Da vara à 1183 m d'altitude
C'est là que Marcel Serdan a perdu la vie dans l' accident d'avion qui devait le conduire à New-York.
Une ascension dans des conditions difficiles pour les chevilles, les chaussures et les pantalonsmais magnifiques pour les yeux.
Jour 13 lundi 7 mars: notre 1ere journée sans une seule goutte de pluie. On a fait plusieurs PR le long de la côte Nord face à l'océan mouvementé à cause du vent. On a vu les rouleaux devant MAYA, appréciés des surfeurs. On a couché au chaud à Porto Fonposo...un très beau petit village de pêcheurs...enfin!
Jour 14: un petit trajet en bus jusqu'à Ribeira Grande...la ville. Ballades à travers les rues étroites ou les bus froles les façades. Il pleut fort alors on prend une pizza pour manger à Vila L'aura. La plage de Santa Barbara de sable noir est impressionnante avec ses énormes rouleaux.
Jour 15 :mercredi 9 mars. On reprend le bus sur 20 km car il n'y a que de la route pour arriver à Calhetas puis on s'arrête à Santo Antonio ou il y a une piscine naturelle chaude nous a dit notre hôte hier. Il fait très beau et même chaud....je mets mon maillot...Luc n'a pas envie de se baigner...l'eau est à 17 degrés. Tant pis j'y vais, je rejoinds un papy de 88 ans ,une portugaise qui se baigne là tous les jours de l'année et une Franco/Portugaise qui vit aux acores depuis 20 ans...2 heures passent.
On reprend le chemin côtier pour un bivouac magnifique.
Jour 16: on quitte la côte pour aller au cœur du volcan de Sete Cidades, qui est le site le plus touristique de l'île mais les nuages sont revenus et les rhododendrons ne sont pas en fleur. 600 m de dénivelé. Le terrain de camping est fermé mais on peut s'y installer...un bon repas au restaurant, il n'y en a que 2 dans le village...des limpes comme les coquillages que les pêcheurs de la plage étaient venus ramasser et un beef steack d'au moins 200gr et biensur un dessert.
Jour 17: vendredi 11 mars. On reste au bord du lac azul et du lac verde mais ils sont tous les 2 de la couleur des nuages et de la pluie....tant pis on marche sans les sacs sur le chemin de ronde du cratèreet des pics environnants. On est trempés et je ressens la fatigue dans tout mon corps...j'ai besoin d'une pause et d'un peu de confort.
Jour 18: on voulait prendre la levada pour redescendre sur la côte ouest de l'île jusqu'à Mosteiros mais il a tellement plu cette nuit que toutes nos affaires ont été mouillées dans la tente et la levada est inondée et inaccessible.
Un peu découragés on se pause au soleil un peu timide pour tout faire sécher avant de remonter en haut du cratère.
Jour 19: on croise depuis hier beaucoup de voitures de location et de touristes derrière les vitres et leur téléphone. Je suis fatiguée et impossible de trouver un seul hébergement dans le coin, on reprend la route au milieu des azalées en fleurs et des bourgeons d'orthensias. Les prairies sont vertes mais les vaches et les veaux attachés me font de la peine.on arrive au bord de l'océan en empruntant des chemins extrêmement ravines par la pluie, parfois complètement détruits
Jour 20: lundi 14 mars.les oiseaux nous traitent comme des intrus et l'océan fait démonstration de sa force. Je cherche inlassablement la présence d'une baleine ou de dauphins...mais rien que l'écume blanche des vagues et quelques bateaux de pêche au loin.Le vent est très violant et la température ne dépasse guère les 14 degrés. Il reste les vestiges de nombreux moulins à vent pour le blé
. Mais aujourd'hui il n'y a plus de cultures de céréales l'agriculture se résume à l'élevage laitier subventionné par l'Europe.
Jour 21 : il nous reste peu de km avant d'arriver à Ponta Delgada. Notre périple avoisine les 300 km à pied avec un sac de 7 à 9 kg sur le dos et un dénivelé de 1000m environ.
Les villages sont toujours aussi tranquilles et propres. Les avions SATA, TAP ET RYANAIR passent au dessus de nous. On s'arrête à l'aéroport pour refaire le point sur les mesures sanitaires obligatoires...il me faut refaire un test covid et compléter en ligne des documents de tracabilite des voyageurs....vive la liberté.
Jour 22 : mercredi 16 mars on décolle à 19h pour Lisbonne mon test antigenique valable 48h à 30 euros est négatif et on a mis plus de 3 heures à compléter tous les documents. Un repas au resto TASCA recommandé par le petit futé....poulpe et morue....mais trop salé et trop gras pour nos estomacs plus habitués au pain et au fromage.
Jeudi 17 mars: une nuit à l'aéroport de Lisbonne qui grouille de vie, de rires, de voix d'enfants, de grincements de chariots. Nous ne sommes pas les seuls à passer la nuit à somnoler sous les lumières blanches et les bruits réguliers de vaisselle. Notre avion pour Toulouse décollera à 11h.
Le compte-rendu : Sao Miguel (mise à jour : 18 mars 2022)
Jour 1: A Ponta Delgada, la plus grande ville de l'île de Sao Miguel, on a parcouru les ruelles pavées et mangé des sardines grillées. Comme je m'y attendais il a fait beau plusieurs fois dans la journée.
L'île de Sao Miguel est la plus grande de l'archipel des Acores qui en compte 9. Elle fait 64 km de long sur 16 km de large. Elle est la plus peuplée avec 150 000 habitants sur les 250 000 que compte l'archipel.avec Santa Maria elle fait parti des îles dites orientales.
Finalement à cause des risques et des surtout liés aux tests du covid on ne visitera que elle.
L'île de Sao Miguel est la plus grande de l'archipel des Acores qui en compte 9. Elle fait 64 km de long sur 16 km de large. Elle est la plus peuplée avec 150 000 habitants sur les 250 000 que compte l'archipel.avec Santa Maria elle fait parti des îles dites orientales.
Finalement à cause des risques et des surtout liés aux tests du covid on ne visitera que elle.