Traversée par les crêtes Baugiennes
4 jours de "baugisme" en partant du col de Plainpalais et en arrivant à Ecole, en passant par des chemins parfois aériens, mais toujours tracés de petits points bleus ou jaunes.
Une belle découverte que ce massif des Bauges à pieds.
Une belle découverte que ce massif des Bauges à pieds.
1312 lecteur(s)
-
Vue d'ensemble
Le topo : Jour 1 (mise à jour : 31 juil. 2016)
Distance section :
10.7km
Dénivelées section :
+727m /
-892m
Section Alti min/max : 1168m/1799m
Le compte-rendu : Jour 1 (mise à jour : 31 juil. 2016)
Quelques jours de relatif beau temps en perspective, nous choisissons de randonner dans les Bauges. Ce massif est pourtant proche de chez nous, et, nous n'y avons quasiment jamais mis les pieds !
Un ami accompagnateur nous donne quelques idées, et nous voici partis sacs sur le dos.
Petit à petit, les sentiers se font de plus en plus raides, et le poids pourtant raisonnable de nos sacs se fait quand même sentir. Mais cela n'entame pas notre motivation. Il n'y a personne dans les environs, les quelques nuages donnent du relief au paysage, il ne fait pas trop chaud, bref, que demander de plus ?
Arrivés à proximité de la falaise du Margeriaz, on se demande vraiment par où ça va passer. Le seul passage imaginable demanderait au minimum une corde, peut être même un piolet !
Et finalement, le sentier part franchement à gauche et rejoint un collet au pied de la falaise où tout s'explique : une faille presque parallèle à la paroi permet de déboucher au sommet, moyennant quelques traction sur des barreaux un peu rouillés.
Un ami accompagnateur nous donne quelques idées, et nous voici partis sacs sur le dos.
Petit à petit, les sentiers se font de plus en plus raides, et le poids pourtant raisonnable de nos sacs se fait quand même sentir. Mais cela n'entame pas notre motivation. Il n'y a personne dans les environs, les quelques nuages donnent du relief au paysage, il ne fait pas trop chaud, bref, que demander de plus ?
Arrivés à proximité de la falaise du Margeriaz, on se demande vraiment par où ça va passer. Le seul passage imaginable demanderait au minimum une corde, peut être même un piolet !
Et finalement, le sentier part franchement à gauche et rejoint un collet au pied de la falaise où tout s'explique : une faille presque parallèle à la paroi permet de déboucher au sommet, moyennant quelques traction sur des barreaux un peu rouillés.
Étonnant ce passage, qui s'appelle le Golet de l'Agneau.
Pause pic-nique au sommet, où un petit vent nous fait sortir les polaires. S'en suit une petite sieste digestive (ben oui, faut pas marcher le ventre plein !), et on attaque tranquillement la descente en suivant les crêtes.
Pause pic-nique au sommet, où un petit vent nous fait sortir les polaires. S'en suit une petite sieste digestive (ben oui, faut pas marcher le ventre plein !), et on attaque tranquillement la descente en suivant les crêtes.
Nous arrivons en fin de journée à Aillon le Jeune, où il n'y a pas foule, et pas de commerce à part une fromagerie. Heureusement on avait pas compté sur un ravito ici, et, après avoir fait le plein d'eau, on poursuit un tout petit peu notre route jusqu'aux chalets de la Fontaine où il est possible de monter notre abri Olivier.