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3 montres outdoor connectées

par Olivier 17 août mis à jour 04 sept. 435 lecteurs Soyez le premier à commenter Lecture 10 min.

Résumé :

Suunto Vertical versus Garmin Fenix 7 pro

et Suunto Peak Pro comme challenger

Pourquoi ?
Quel est l’intérêt de ces montres ? En ce qui me concerne, pas pour les notifications du téléphone, je me sens déjà suffisamment sollicité sans en plus rajouter des notifications au poignet ;) (en plus, en les désactivant, vous gagnerez de l'autonomie batterie). 
En revanche, ce sont de jolis joujoux très puissants, très polyvalents, très paramétrables, qui s’adaptent aux besoins de chacun. De plus, ces montres permettent de tenir un carnet centralisé d’activités avec les traces GPS, avec d’éventuels commentaires, ce qui peut être utile pour les partager ou pour retrouver un itinéraire que l’on pourra refaire plus tard. Sans montre, on pourrait bien sûr enregistrer toutes les traces avec son smartphone avec une application spécifique, mais c’est moins naturel de le faire de manière systématique.
Le suivi d’itinéraire au poignet est aussi assez pratique, pas besoin de s’arrêter pour sortir le téléphone, on voit la carte (sauf sur la Peak Pro) sur la montre avec l’itinéraire en surimpression ; de plus les montres préviennent si on se trompe de chemin. Un autre intérêt est aussi de suivre ses “performances” sportives, pas dans une optique de compétition dans mon cas, mais simplement pour avoir des données objectives sur ce qu’on est capable de faire, et d’en suivre l’évolution, de se motiver à progresser...

Le choix des montres

3 montres parmi des dizaines sur le marché, ça peut paraitre peu ; l’idée était de sélectionner des modèles outdoor très polyvalents (multi capteurs), avec cardio <3 et qui soient robustes (par exemple ces 3 montres ont des verres en cristal de saphir réputé plus difficile à rayer que du verre classique). Nous avons sélectionné des marques réputées qui ont fait leurs preuves depuis de nombreuses années, fabriquées en Europe pour Suunto, conçues aux USA et fabriquées à Taiwan pour Garmin plutôt que des marques chinoises (Coros par exemple). Il serait intéressant de rajouter à ce test la montre Polar Grit X2 Titan (marque finlandaise, fabrication en Chine ?).

Activités

Le nombre d’activités disponibles est énorme sur Suunto, et très conséquent aussi sur Garmin, 
Pour Garmin on dispose d’un vrai “store” d’applications tierces, c’est très bien car cela permet d’avoir des applications pour des activités spécifiques avec des champs et des graphiques différents que ceux disponibles de base. On y trouve par exemple une application (Avioniq) qui transforme la montre en instrument de vol, pratique en mode minimaliste en vol rando parapente, pour avoir des infos pendant le vol (il y a même un variomètre sonore, mais très amorti) et conserver la trace pour son carnet de vol.
Pour Suunto, il existe aussi un store d’application (orienté partenaires) moins fourni que celui de Garmin ; pour faire écho au précédent paragraphe il existe une appli hike&fly gratuite avec un vario pas super réactif et non sonore chez Suunto.
Les paramètres d’affichage pendant une activité sont réglables en live sur Garmin, c’est pratique quand on apprivoise la montre de modifier un peu en temps réel, pendant l’activité, les champs que l’on a envie de voir. Pour Suunto, c’est un peu plus rébarbatif, il faut créer un mode personnel car on ne peut pas modifier les modes de base (contrairement à la Fenix) et on ne peut changer les champs qu’en dehors de l’activité.
Parmi la multitude de champs disponibles, on a un temps au km corrigé selon la pente (ramené à un temps sur terrain plat), disponible sur Suunto et Garmin ; c’est bien parce qu’en montagne, un temps donné au km n’a pas vraiment de sens.
Mode multisports (par ex. randonnée puis vol en parapente, VTT suivie d’une rando puis de nouveau VTT, rando puis baignade puis rando, etc.) : les Suunto permettent un mode multisport bien fichu est flexible. Lors d’une activité, il suffit de presser longtemps le bouton supérieur pour basculer sur une autre activité, c’est facile et efficace. Pour Garmin, c’est un peu plus compliqué, il faut spécifiquement créer un mode multisport avec des activités prédéfinies, il y a moins de place à l’improvisation, mais ça fonctionne tout de même.
Arrêt intempestif de l’activité : lorsque nous avons reçu les montres, les Suunto avaient tendance à stopper l’activité un peu trop facilement via un clic involontaire sur un bouton, après une mise à jour, il faut maintenant une succession de 3 boutons pour arrêter l’activité : c’est bien car désormais peu probable de l’arrêter par erreur. La Garmin Fenix s’arrête également sur une combinaison de touches. Cependant, les deux montres se mettent en pause, via un seul appui bouton (en haut à droite), c'est un peu dommage... Il faudrait que la montre ressorte du mode pause si elle détecte du mouvement (au moins qu'elle prévienne, ce qu'elle fait après un arrêt, mais a priori pas lorsqu'on met en pause en mouvement).

Autonomie

Pour ces 3 montres, il n’est pas nécessaire de recharger trop régulièrement, on peut enchaîner les activités plusieurs jours d'affilée sans avoir à penser à les recharger. 
La Suunto Vertical a un net avantage par rapport à la Garmin (la Peak se débrouille très bien aussi). Le mode cartographie, utilisé en suivi d’itinéraire, draine très vite la batterie de la Fenix. Là, en une journée d’activité, on flingue la batterie. En revanche, la Suunto Vertical s’en sort vraiment bien.
Panneau solaire de la Fenix et de la Vertical : il s’agit d’un petit anneau sur l’extérieur du cadran. Il ne recharge pas la montre, mais plutôt ralentit la décharge. Celui de la Suunto a une plus grande surface et doit donc développer plus de puissance.

Précision cardio

Net avantage pour la Garmin ; même s’il lui arrive aussi d’halluciner, c’est bien moins souvent que les Suunto. D’une manière générale, quand on voit que la montre n’affiche pas la bonne valeur (et on le sait parce qu’il lui arrive d’afficher 80 alors qu’on est plutôt à 140, on peut tenter de replacer la montre, la remonter sur le bras par exemple. Ou bien l'enlever, essuyer le capteur puis la remettre et en général, ça fonctionne (ou pas...). Si les données cardio sont pour vous essentielles, il vaut mieux associer la montre avec une ceinture cardio (option disponible sur Suunto et Garmin).
Courbe Suunto (même rando)
Courbe Suunto (même rando)
Courbe Garmin (même rando)
Courbe Garmin (même rando)
Superposition des deux courbes, en rouge les pertes de cohérence de la Suunto Vertical...
Le trait bleu, c'est la FC Suunto ; le graphe en bleu plein la FC Garmin. En surcouche grise c'est la vitesse verticale (peu lisible). La courbe bien marquée (violet / vert foncé, double à gauche) c'est l'altitude.
Superposition des deux courbes, en rouge les pertes de cohérence de la Suunto Vertical...
Le trait bleu, c'est la FC Suunto ; le graphe en bleu plein la FC Garmin. En surcouche grise c'est la vitesse verticale (peu lisible). La courbe bien marquée (violet / vert foncé, double à gauche) c'est l'altitude.

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Application

On parle ici de l’application sur le smartphone (ou éventuellement sur l’ordinateur) associée à la montre. Je trouve l’interface et la visualisation des données un peu plus sympa et claire pour Suunto, en revanche Garmin dispose d’une application web également, ce qui ne semble pas être le cas de Suunto (ou je n’ai pas trouvé). Suunto propose une carte où l'on peut visualiser les passages d’autres utilisateurs selon les activités (rando, trail, VTT, cyclisme…), aussi appelée heat map (comme sur Strava). C’est assez pratique quand on ne connaît pas un lieu et qu’on veut se construire un itinéraire en exploitant l’expérience des autres… Garmin propose un peu la même chose, il peut créer un itinéraire autour d’un lieu, en utilisant la popularité des parcours, on peut spécifier la longueur (mais pas le dénivelé). Bon, ça mériterait, pour Suunto comme pour Garmin, d’être raffiné, et puis on peut se demander si c’est forcément intéressant d’emprunter les itinéraires les plus courus… Ceci dit, on peut aussi construire un itinéraire à la main en évitant les zones populaires visibles sur la carte. Mais bon, ça peut quand même dégrossir un peu pour une zone que l’on découvre, surtout à VTT (pour éviter de se construire un itinéraire totalement inroulable :ermm:).

Cartographie

La Suunto Peak n’a pas de fond de carto, on voit simplement sa trace/la trace à suivre sur un fond noir. En revanche la Garmin Fenix 7 comme la Suunto Vertical intègrent une vraie cartographie. Personnellement, je préfère la lisibilité de la carto Suunto ; pour la Fenix, on peut charger d’autres fonds cartographiques (potentiellement plus lisibles) que ceux présents par défaut sur la montre, il existe des tutos sur le web.
Suunto Vertical en haut, Garmin Fenix en bas
Suunto Vertical en haut, Garmin Fenix en bas
Le mode petit poucet, sans fond de carte de la Suunto 9 Peak Pro
Le mode petit poucet, sans fond de carte de la Suunto 9 Peak Pro

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Suivi d'itinéraire

Les 3 montres proposent le suivi d'itinéraire, que l'on peut créer via l'appli, importer un gpx, ou créer directement depuis la montre (Garmin). Le suivi permet une assistance : si on sort de l'itinéraire on est notifié (son, vibration), c'est assez efficace et cela permet de ne pas s'arrêter pour sortir le téléphone (ou la carte) pour voir où on en est. On préserve en plus la batterie du téléphone. C'est une fonctionnalité que je trouve assez utile. Sur la Peak, même sans cartographie, la fonctionnalité reste tout à fait utilisable ; on peut anticiper la direction en fonction des angles du cheminement, du cap à suivre, et visuellement, on se rend vite compte quand on a pas pris la bonne intersection. 
Sur Suunto et Garmin, les outils de création sont efficaces, avec modification possible, cependant il me semble qu'il y a plus de chemins disponibles sur les Suunto, en tout cas dans la zone des Pyrénées où nous avons testé cette fonctionnalité.
Note : on peut changer de trace au cours de l'activité sur Suunto, c'est bien, mais a priori pas sur Garmin (je n'ai pas trouvé)
Possibilité de choisir des points à proximité (recherche par type, ou alphabétique) sur la Garmin, même hors connexion, c'est pas mal. A priori il n'y a pas la même fonction sur les Suunto (je n'ai pas trouvé)
Possibilité de choisir des points à proximité (recherche par type, ou alphabétique) sur la Garmin, même hors connexion, c'est pas mal. A priori il n'y a pas la même fonction sur les Suunto (je n'ai pas trouvé)
Suivi d'itinéraire sur la Garmin Fenix (en violet) ; en rouge, le tracé vraiment effectué.
Suivi d'itinéraire sur la Garmin Fenix (en violet) ; en rouge, le tracé vraiment effectué.
On est prévenu lorsqu'on se trompe d'itinéraire (ici Suunto Vertical mais il y a la même fonctionnalité pour la Peak et sur Garmin)
On est prévenu lorsqu'on se trompe d'itinéraire (ici Suunto Vertical mais il y a la même fonctionnalité pour la Peak et sur Garmin)
Profil de la rando et position sur la Garmin Fenix, 461m de d+ réalisés, il en reste 296.
Profil de la rando et position sur la Garmin Fenix, 461m de d+ réalisés, il en reste 296.
Suivi d'itinéraire sur la Suunto 9 Peak Pro, sans carto du coup
Suivi d'itinéraire sur la Suunto 9 Peak Pro, sans carto du coup
Profil de la rando et notre position sur ce profil (Suunto 9 Peak Pro). On a fait 134m de d+ et il en reste 988
Profil de la rando et notre position sur ce profil (Suunto 9 Peak Pro). On a fait 134m de d+ et il en reste 988
Suivi d'itinéraire sur la Suunto Vertical en bleu, en rouge le tracé vraiment effectué.
Suivi d'itinéraire sur la Suunto Vertical en bleu, en rouge le tracé vraiment effectué.
Profil de la rando et position sur la Suunto Vertical, 2369m de d+ réalisés, en reste 266.
Profil de la rando et position sur la Suunto Vertical, 2369m de d+ réalisés, en reste 266.

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Lisibilité écran

Elle est bonne sur ces 3 montres, encore mieux en plein soleil, cool :), la luminosité est de plus réglable.

Précision

Les dénivelés cumulés annoncés sont plutôt bons. Dans l’ensemble nous avons trouvé que les capteurs étaient suffisamment précis pour les 3 montres testées (le système combiné baromètre + GPS est très utile).

La nuit

On entend souvent les gens dire qu’ils n’ont pas dormi de la nuit. C’est bien souvent une impression amplifiée tant le temps d’insomnie paraît long... Ces montres tentent d’analyser notre sommeil : cela peut être intéressant d'avoir une idée de sa qualité - objectivement - au bivouac ou à la maison. La Garmin parait plus fiable dans cette analyse (cardio plus fiable).
Ces montres ont un mode lampe de poche. Pour Suunto, il s’agit d’éclairer l’ensemble de l’écran ce qui génère un halo suffisant pour chercher un objet à proximité. Sur la Fenix, il s’agit de 2 vraies leds dédiées, une blanche et une rouge. Bon ça reste de l’utilisation d’appoint (et c’est dommage de vider la batterie comme ça), mais ça peut rendre service.
Rapport nocturne, même nuit, poignet droit pour la Suunto, poignet gauche la Garmin, on dirait qu'elles ne sont pas tout à fait d'accord sur le temps de sommeil profond, entre autres ;-)
Rapport nocturne, même nuit, poignet droit pour la Suunto, poignet gauche la Garmin, on dirait qu'elles ne sont pas tout à fait d'accord sur le temps de sommeil profond, entre autres ;)

Facilité d’usage

Ces montres sont très complètes et chacun pourra trouver des fonctions selon ses besoins. Nous n’avons sans doute exploité qu’une toute petite partie de leur potentiel. Leur configurabilité permet de les adapter à son usage. Et finalement malgré leur complexité, on peut dire qu'elles sont assez faciles d'utilisation. La Garmin a 5 boutons, alors que les Suunto en ont 3. Stratégies différentes d’ergonomie, chacun pourra trouver des avantages et des inconvénients à ces 2 solutions.

Communication

Ces montres communiquent avec vous, elles collectent pas mal d’informations et peuvent au bout d’un certain temps vous donner des informations sur votre état de forme, votre potentiel, etc. Je dirais que la communication de Suunto est plus agréable et positive que celle de Garmin ; c’est tout bête mais quand la Garmin te dit que tu as mal dormi, que tu as besoin de récupérer, que ta préparation à l'entraînement est mauvaise, eh bien ce n’est pas super encourageant, surtout quand tu te sens en parfaite forme…

Confort

La Fenix et la Vertical ne sont pas de petites montres, mais elles restent faciles à porter, je dirais que c’est la limite supérieure en termes de taille. La Peak, plus petite, est plus agréable au poignet. 

Recharge 

Les Suunto se rechargent via un petit socle aimanté, très pratique, moins si on doit recharger lorsqu’on est en action, par exemple pendant qu’on roule lors d’un voyage à vélo.
Garmin utilise une fiche qui se branche sur l’envers de la montre, le câble est plus compact que celui de son concurrent et s’utilise facilement en mouvement.
Les deux types de câbles se connectent bien sûr sur des ports USB.

Evolutivité

Un intérêt de ces montres connectées et de se mettre à jour automatiquement, de même que l’application smartphone. Peut-être que les petits défauts mentionnés ici auront disparu dans les prochaines versions ?

Améliorations ?

  • J’aurais aimé pouvoir intégrer un poids total en mouvement selon les activités (ou un poids transporté puisque la montre dispose de notre poids corporel nu), parce qu’une randonnée avec tout le matériel de bivouac, ou un parapente sur le dos, versus une rando en mode léger, ce n’est pas du tout pareil, l’effort n’est pas le même ! Comment la montre peut-elle savoir si l'on est en forme ou non si elle ne sait pas ce que l’on transporte sur le dos ? Ça me parait une amélioration aussi simple qu’essentielle.
  • Une autre amélioration serait l’intelligence de l’interprétation du capteur de fréquence cardiaque. Clairement, quand la montre indique 90 bpm quand on monte à 800 m/h, alors qu’elle nous a déjà capté précédemment sur le même taux de montée plutôt à 160 bpm, elle pourrait se dire que son info n’est pas pertinente et adapter son interprétation !
  • Si l'on se baigne pendant une rando, le baromètre détecte une grosse variation de dénivelé (pression dans/sous l’eau très importante par rapport aux variations de pression dues aux changements d’altitude) et on peut se retrouver avec 1000m de dénivelé en plus en 1mn de baignade ! Vu que le GPS indique qu’on n’a pas bougé et qu’en plus la vitesse de variation est complètement inhumaine, la montre pourrait détecter le problème et supprimer l'aberration. J'ai l'impression que si on ne plonge pas trop profondément, la Garmin se débrouille un peu mieux que la Suunto, mais je n'en suis pas vraiment sûr...
  • Améliorer le mode pause pour éviter une mise en pause intempestive via un clic accidentel sur le bouton en haut à droite (solutions possibles : combinaison de touches, ou prévenir régulièrement qu'on est en mode pause via une vibration).

Fabrication

Suunto est un fabricant finlandais qui fabrique ses montres en Finlande ; il revendique la neutralité carbone pour ses produits, dit utiliser de l’énergie 100% renouvelable...
Garmin est américain, La Fenix est fabriquée à Taiwan.
La Suunto 9 Peak Pro dans les montagnes du Valais suisse.
La Suunto 9 Peak Pro dans les montagnes du Valais suisse.
La Suunto 9 Peak Pro, prête pour aller kiter
La Suunto 9 Peak Pro, prête pour aller kiter
La Suunto 9 Peak Pro, au retour d'un vol en parapente
La Suunto 9 Peak Pro, au retour d'un vol en parapente
La Suunto 9 Peak Pro
La Suunto 9 Peak Pro
En paddle (ici la Garmin Fenix 7 pro)
En paddle (ici la Garmin Fenix 7 pro)
En paddle, la Suunto Vertical
En paddle, la Suunto Vertical
En paddle, la Suunto 9 Peak Pro
En paddle, la Suunto 9 Peak Pro
La Garmin Fenix 7 Pro en kayak
La Garmin Fenix 7 Pro en kayak
La Suunto 9 Peak Pro en parapente
La Suunto 9 Peak Pro en parapente

Fin Mosaic

Voir les fiches des éléments de ce dossier :

9 Peak Pro Suunto
64 g 349 €
Fenix 7 Pro Sapphire Solar Garmin
75 g 949 €
Vertical Titanium Solar Suunto
74 g 799 €

Circonstances du test

Je ne suis pas un compétiteur, donc toute mon analyse ne parlera pas à un athlète qui s'entraîne et utilise ces outils dans un cadre de recherche de performance et d'entraînement.
Je suis en revanche un pratiquant de sports nature variés, et c’est dans ce cadre que j’ai utilisé ces montres. D’autre part je souhaite rester en forme, tant qu’à faire, et pourquoi pas avoir une aide à la motivation pour progresser et ces montres me semblaient utiles dans cette optique.
J’ai pu tester les montres sur plusieurs mois en randonnée, à VTT, à ski de rando, en parapente, en kitesurf, en footing, en snorkeling, gravel, escalade, stand-up paddle, kayak…
plus de 120 activités avec la Suunto Vertical, une centaine d'activités avec la Garmin Fenix 7, plus de 140 activités avec la Suunto Peak. Parfois en mettant une montre sur chaque poignet pour les comparer sur la même activité.


Les testeurs ayant participé à ce dossier :

Olivier Olivier Johanna Johanna
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