les nuitées au fil de l'eau.
mis à jour le 11 nov. 2012
Inscription : 03/09/2008
Lieu : 91510
Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
Gardons également à l'esprit la durée moyenne que l'on met a installer le camp. ( surtout par temps froid car plus de matos ). Cela aura une influence sur quand arrêter la descente et donc sur quand commencer à chercher un coin adapté.
Idem pour l'heure de levé et de couché du dieu soleil.
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Gardons également à l'esprit la durée moyenne que l'on met a installer le camp. ( surtout par temps froid car plus de matos ). .
Justement quel serai ce surplus de matos...? Ce serai intéressant de rassembler ces infos dans ce post.
Avez vous des astuces pour ne pas avoir les pieds gelés par exemple.
J'imagine que tout le monde n'a pas un pantalon-chaussettes (soudées) étanches.
Peut on faire confiance à la T° optimale d'utilisation, indiquée sur les sacs de couchage ?
Bonne idée Jak91 d'avoir ouvert ce post j'éviterais les hors sujets dans l'avenir
Concernant le choix d'un emplacement, il est certain qu'il faut savoir faire preuve d'opportunisme comme tu dis.
On peut aussi avant de partir, tenter via internet , de repérer une zone qui serai propice à une nuit de rêve : pas d'habitation proche, pas de chemin ni route, une zone boisée, etc...
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Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
par période froide, j'abandonne le hamac pour ma part. Si très humide j'emporte le réchaud gaz ( avec une bombonne en plus ) en plus de mon réchaud bois.
J'ai plus de vêtements surtout pour le haut du corps. Le matin avant l'effort tu n'es pas chaud donc tu te couvres. Et puis au fil des coups de pagaies, tu enlèves les couches qui sont en trop. L'été, baches en nylon + moustiquaire me suffisent. L'hiver = tente.
Pour les mains => gants néo et si ça ne suffit pas j'ai de bonnes mouffles "dry cold"
pour le corps => combi néo mais en salopette seulement. semi étanche sur laquelle je rajoute un sur-pantalon goretex si vraiment froid ou vent glacial.
pour le haut, des couches inspirantes qui se termines par une veste goretex si necessaire.
tête : cagoule ( + casque si besoin ) la goretex à une capuche.
pieds : j'utilise mais anciens chaussons de plongée sous marine.
Après au camp, chaussures chaudes + polaire + collants + bouillote pour madame + jogging coton ( très agréable après le néo )
en fait je m'aperçois que ma réponse est un peu bordélique. Du coup je vais peu être faire quelques photos de la tenue sur l'eau et de la tenue au camp ainsi que le matériel été et hiver.
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mis à jour le 13 nov. 2012
Inscription : 03/09/2008
Lieu : 91510
Trappeur :
]Gardons également à l'esprit la durée moyenne que l'on met a installer le camp. ( surtout par temps froid car plus de matos ). Cela aura une influence sur quand arrêter la descente et donc sur quand commencer à chercher un coin adapté.
Idem pour l'heure de levé et de couché du dieu soleil.
Oui, cela peut avoir une influence sur l’arrêt pour bivouac, en ce qui me concerne, à par la pluie qui peut effectivement me poser problème je compte une heure maxi pour l’installation;
Je n’emmène pas plus de matériel par temps froid (rien de significatif), à quelques détails prés, j’ai le même matériel quelque soit la période (les situations m’ont souvent donné raison de prévoir), il n’y a que le duvet qui change de température de confort, un 0° remplace éventuellement le 10°
Cependant, je ne fait pas de (longue) sortie à partir de novembre jusqu’à avril/mai, la période est trop incertain et j’y trouve plus de désagréments que de plaisir, c’est le temps pour justement en parler (d’où ma présence assidue en ce moment)
Jean Batiste :
le temps passef a s'installer peut varier enormement , suivant la saison, le lieux et le nombre de personnes
Pourquoi, le nombre n’augmente que la surface nécessaire aux X installations, de fait, rend le choix plus sélectif ce qui peux rajouter du temps à sa recherche, mais pas a l'installation.
A pierre :
Avez vous des astuces pour ne pas avoir les pieds gelés par exemple.
Oui, des chaussettes en néoprène (épaisseur au choix), ou mieux étanches.
A pierre :
On peut aussi avant de partir, tenter via internet, de repérer une zone qui serai propice à une nuit de rêve : pas d'habitation proche, pas de chemin ni route, une zone boisée, etc.
Non, pour les bivouacs ce n’est pas fiable, j’ai essayé, les indications (+ de 3ans) recueillies ne représentent pas l’état du lieu (bétail, privée, barbelés, boueuse, inaccessible, etc.), mais en ce qui concerne les ouvrages (barrages, empierrements, glissières) c’est en effet un précieux outil de reconnaissance virtuelle du trajet (cela ne dédouane pas de la reconnaissance indispensable sur place)
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Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
autant pour moi Jak91
question terrain, si le ciel est sans nuage = glagla donc rechercher à planter le camp sous les arbres éventuellement.
rechercher aussi ( dans l'idéal ) un lieu qui sera rapidement aux rayons du soleil le matin. ( c'est souvent au levé du jour qu'il fait le plus froid )
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question terrain, si le ciel est sans nuage = glagla donc rechercher à planter le camp sous les arbres éventuellement.
rechercher aussi ( dans l'idéal ) un lieu qui sera rapidement aux rayons du soleil le matin. ( c'est souvent au levé du jour qu'il fait le plus froid )
Absolument, dans la mesure du possible, établir le camps face à l'Est aussi une de mes préoccupations et c'est aussi une des raisons qui me font préférer la tente au tarp ou au hamac.
Une tente s'installera facilement sur un endroit dégagé(plage, prairie) face au soleil levant, alors qu'un tarp ou un hamac s’installera plutôt sur le territoire des moustiques, sous les arbres, donc à l'ombre du soir, mais aussi le matin.
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ce qui permettra de mettre un « chapitre 2 : le matos (en gestation)
fait: /voyage/viewtopic.php?id=6519
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Suite à un hors sujet sur un autre fil, j’ai trouvé intéressant d’ouvrir celui-ci afin de répondre à ceux qui s’interrogent sur les possibilités de nuitées au bord de l’eau, d’autant plus que les bivouacs sont un moment important du plaisir de la descente.
La nuitée est un moment incontournable à une descente de rivière sur plusieurs jours, quelque soit le choix, en hamac, à la belle étoile, ou en tente, Immanquablement il faut que le soir venu la berge nous accueille, que le lieu soit un camping ou une île, avec comme objectif que la nuit soit la plus agréable possible.
La rand’ eau a ceci de particulier par rapport à toutes autres randonnées, c’est que la rivière a un cours qui n’est pas négociable et que le soir venu c’est sur ses berges qu’il va falloir trouver un arrêt pour la nuit (l’option charriotage n’est possible que sur une courte distance). :/
Sur ce point, toutes les rivières n’offrent pas les mêmes possibilités, les berges privées, boueuses, inaccessibles ou pentues nous amènent quelque fois (pour ne pas dire souvent) à prolonger le temps de navigation sur de longues distances avant de trouver son gite, et là, le maitre mot est opportunisme (Un lieu passé est une possibilité perdu).
Dans le cas d’une descente en autonomie, il est impossible de planifier les arrêts (le contraire oblige à des contraintes qui ne sont plus dans l’esprit de l’activité), l’heure de départ, le temps, le courant, les pauses, les obstacles, la fatigue, etc., sont autant de facteurs qui font qu’il est impossible de prévoir la distance parcourue (en plus ou en moins) et donc l’arrêt du soir.
La saison, la météo, la hauteur d’eau, les crues passées sont également des éléments qui influencent l’état des lieux, les profils des berges s’en trouvent notablement modifiées et cette perpétuelle évolution rend trop aléatoire un quelconque recensement des lieux où l’on s’était arrêté l’année passée (Ceci est surtout vrai pour des rivières comme la Loire ou l’Allier).
Il est raisonnable de penser que 5 à 6 heures de pagaie(s) correspondent à une activité satisfaisante pour une journée d'été,(Pour une rivière de type Loire en situation normale, cela représente environ 30kms en KG), sachant que le coin rêvé n’est pas toujours là au moment souhaité, il est prudent de commencer à chercher avant (être opportuniste). :
Je privilégie toujours le lieu, au temps de navigation, il est important de disposer d’un endroit agréable afin de passer une bonne nuit réparatrice, cependant, je me suis souvent fait avoir en croyant trouver mieux plus loin, donc méfiance, surtout si le temps se gâte.
Il avait raison Monsieur De La Fontaine (Le syndrome du héron)!
Le terrain de camping est également une solution (-de 8€), en dehors de la douche chaude, quelques fois c’est le seul recours à un possible lieu d’hébergement satisfaisant, il a aussi l’avantage de pouvoir être le garant du matériel lors de visites de villages ou monuments mais aussi lors d’évènements météo bloquants, orage, forte pluie, etc., il est plus agréable de pouvoir profiter des installations plutôt que de passer l’événement en bivouac sur une île déserte (quand cela est prévisible).
Penser aussi aux interdictions de bivouacs(zones protégées), en résumé, quelque soit la rivière, et d’après mon approche, il n’y a pas de règle absolue en la matière et s’il devait m’en venir qu’une à l’esprit, je retiendrais (l’opportunisme), ou l’art de s’adapter.
Cette réflexion n’a qu’une vocation à conseils et n’est que le fruit de mes propres erreurs (pas que) et d'observations lors de mes rand ‘eau, elle n’a donc pas prétention à être un référentiel, ni même d’être exhaustive, mais simplement une base où chacun pourra apporter ses propres remarques et expériences.
Qu’en pensez-vous ?
Chapitre 2: le matos
/voyage/viewtopic.php?pid=45134#p45134
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