Au Portugal, à grands coups de pédales...
10 jours de vacances, une grosse envie de dépaysement, des vélos qui sortent d'hibernation, pleins idées en vrac...
C'est finalement au Portugal que nous sommes allés faire notre trace.
Avec une arrivée en avion à Lisbonne et un retour de Faro, l'objectif est de rallier les deux aéroports dans le temps imparti !
C'est finalement au Portugal que nous sommes allés faire notre trace.
Avec une arrivée en avion à Lisbonne et un retour de Faro, l'objectif est de rallier les deux aéroports dans le temps imparti !
Quand : 14/04/2019
Durée : 10 jours
Durée : 10 jours
Carnet publié par Mag
le 24 juin 2019
modifié le 02 mai 2020
modifié le 02 mai 2020
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Vue d'ensemble
Le compte-rendu : Section 2 (mise à jour : 26 juin 2019)
14 avril 2019 :
Arrivée à Paris Beauvais avec 2h30 d'avance sur l'horaire de décollage. Bien nous en a pris. On savait que voyager avec les vélos risquerait d'être compliqué. On avait tout anticipé conformément aux règles de Ryanair...
Sauf...
Sauf que l'aéroport est dépourvu de chariot à bagages. Nous devons acheminer nos cartons de vélos, notre carton/bagage en soute et nos bagages à main... à la main...
Vérification du poids de l'ensemble avant fermeture définitive et cellophanage pour préserver le tout et éviter de semer outils, pédales ou tout autre élément indispensable pour la suite.
Puis c'est le moment de l'enregistrement. 2ème déconvenue. Il faut ouvrir les cartons pour que l'hôtesse vérifie le bon dégonflage des pneus... maintenant que tout était si bien emballé... et que les couteaux sont eux aussi dans l'emballage vu qu'il est interdit de les avoir dans l'avion. Heureusement qu'un autre employé compréhensif est finalement intervenu. Pour finir on a pris 11 euros de supplément pour quelques centaines de grammes de trop sur le bagage en soute. Tolérance zéro. On a sans doute trop forcé sur les tours de cellophane...
Mais cette fois ça y est les bagages sont partis et nous voilà dans l'avion.
Direction Lisbonne !
Le décollage que je trouvais autrefois grisant réveille des sensations assez désagréables... je ne parlerai même pas de l'atterrissage.
Mais voilà nous y sommes. L'attente à la récupération des bagages hors format fût un peu longue et pleine d'interrogations sur l'état final de nos précieux.
Ceux-ci sont finalement arrivés quasi intacts. Deux petits accrocs dans les cartons. Le cellophane aura été salvateur de l'ensemble.
Deux heures de montage, cassecroutage et rechangage dans un recoin de l'aéroport, nous voici enfin devant la porte de sortie...
En route pour de nouvelles aventures !!!
On commence par une halte au Décathlon le plus proche pour nous approvisionner en gaz.
Les vélos semblent n'avoir pas trop souffert du voyage. Quoi qu'un petit réglage de transmission ne serait pas de trop.
Nous longeons la côte direction le camping de l'autre côté de Lisbonne. Les abords de la ville sont peu engageants. Nous traversons des zones portuaires et industrielles. Puis enfin nous apercevons le quartier d'Alfama. Avec ses immeubles colorés. La visite sera pour demain. Les pistes cyclables ne sont pas toujours bien indiquées. Et souvent plutôt inexistantes. Nous côtoyons des routes à circulation rapide. Heureusement que nous sommes dimanche.
Vers 19h15, quelques 27 km de vélo et 300m de dénivelé en guise d'échauffement plus tard (on confirme Lisbonne c'est tout sauf plat !!), nous posons enfin la tente. Le cadre est très moyen pour cette première nuit mais c'est le seul camping de la ville. Nous sautons ensuite dans le premier bus que nous trouvons pour nous rendre au Time Out Market. Vu l'heure tardive, nous rassasier est la seule chose que nous aurons le temps de faire ce soir.
Arrivée à Paris Beauvais avec 2h30 d'avance sur l'horaire de décollage. Bien nous en a pris. On savait que voyager avec les vélos risquerait d'être compliqué. On avait tout anticipé conformément aux règles de Ryanair...
Sauf...
Sauf que l'aéroport est dépourvu de chariot à bagages. Nous devons acheminer nos cartons de vélos, notre carton/bagage en soute et nos bagages à main... à la main...
Vérification du poids de l'ensemble avant fermeture définitive et cellophanage pour préserver le tout et éviter de semer outils, pédales ou tout autre élément indispensable pour la suite.
Puis c'est le moment de l'enregistrement. 2ème déconvenue. Il faut ouvrir les cartons pour que l'hôtesse vérifie le bon dégonflage des pneus... maintenant que tout était si bien emballé... et que les couteaux sont eux aussi dans l'emballage vu qu'il est interdit de les avoir dans l'avion. Heureusement qu'un autre employé compréhensif est finalement intervenu. Pour finir on a pris 11 euros de supplément pour quelques centaines de grammes de trop sur le bagage en soute. Tolérance zéro. On a sans doute trop forcé sur les tours de cellophane...
Mais cette fois ça y est les bagages sont partis et nous voilà dans l'avion.
Direction Lisbonne !
Le décollage que je trouvais autrefois grisant réveille des sensations assez désagréables... je ne parlerai même pas de l'atterrissage.
Mais voilà nous y sommes. L'attente à la récupération des bagages hors format fût un peu longue et pleine d'interrogations sur l'état final de nos précieux.
Ceux-ci sont finalement arrivés quasi intacts. Deux petits accrocs dans les cartons. Le cellophane aura été salvateur de l'ensemble.
Deux heures de montage, cassecroutage et rechangage dans un recoin de l'aéroport, nous voici enfin devant la porte de sortie...
En route pour de nouvelles aventures !!!
On commence par une halte au Décathlon le plus proche pour nous approvisionner en gaz.
Les vélos semblent n'avoir pas trop souffert du voyage. Quoi qu'un petit réglage de transmission ne serait pas de trop.
Nous longeons la côte direction le camping de l'autre côté de Lisbonne. Les abords de la ville sont peu engageants. Nous traversons des zones portuaires et industrielles. Puis enfin nous apercevons le quartier d'Alfama. Avec ses immeubles colorés. La visite sera pour demain. Les pistes cyclables ne sont pas toujours bien indiquées. Et souvent plutôt inexistantes. Nous côtoyons des routes à circulation rapide. Heureusement que nous sommes dimanche.
Vers 19h15, quelques 27 km de vélo et 300m de dénivelé en guise d'échauffement plus tard (on confirme Lisbonne c'est tout sauf plat !!), nous posons enfin la tente. Le cadre est très moyen pour cette première nuit mais c'est le seul camping de la ville. Nous sautons ensuite dans le premier bus que nous trouvons pour nous rendre au Time Out Market. Vu l'heure tardive, nous rassasier est la seule chose que nous aurons le temps de faire ce soir.