Cantal : la route des transhumances au Pays de Salers
Depuis longtemps, j'avais repéré ce circuit sur le site de l'Office de Tourisme du Pays de Salers et je m'étais promis de le faire un jour.
Comme j'avais quelques jours de vacances sans rien avoir programmé, j'ai préparé mes affaires vite fait...
J'ai étudié les étapes au fur et à mesure en remaniant le tracé qui me convenait (j'ai zappé l'aller/retour entre St Bonnet et Salers car trop de monde en plein été).
Malgré certains passages sur des petites routes, ce périple est très tranquille, même au mois d'août.
On peut respecter le topo à la lettre et choisir des hébergements plus confortables mais ce sera différent.
J'ai préféré garder un côté un peu plus aventureux avec des bivouacs au hasard et je n'ai pas regretté cette option. Il y a aussi les petits campings en fond de vallée qui sont franchement sympas et pas chers.
Le dernier jour, j'ai un peu cherché mon chemin car j'avais une ancienne version du topo mais ça fait partie du jeu quand on part sans vérifier les circuits... Outre le topo et les grandes lignes du tracé, il faut avoir une carte Top 25 pour bien se repérer.
Cette région est magnifique en toutes saisons et je la recommande fortement :
- En automne : le GR400 rencontre un vif succès mais c'est la tranquilité assurée si on y va en octobre comme je l'ai fait une année (4 jours : le Fau/Le Lioran/Thiézac/Mandailles/Le Fau)
- L'hiver : si on évite la région de la station du Lioran, il y a plein de balades très sauvages à faire en raquettes sur les crêtes, dans la forêt et sur les plateaux. Il faut juste être bien équipé !
Comme j'avais quelques jours de vacances sans rien avoir programmé, j'ai préparé mes affaires vite fait...
J'ai étudié les étapes au fur et à mesure en remaniant le tracé qui me convenait (j'ai zappé l'aller/retour entre St Bonnet et Salers car trop de monde en plein été).
Malgré certains passages sur des petites routes, ce périple est très tranquille, même au mois d'août.
On peut respecter le topo à la lettre et choisir des hébergements plus confortables mais ce sera différent.
J'ai préféré garder un côté un peu plus aventureux avec des bivouacs au hasard et je n'ai pas regretté cette option. Il y a aussi les petits campings en fond de vallée qui sont franchement sympas et pas chers.
Le dernier jour, j'ai un peu cherché mon chemin car j'avais une ancienne version du topo mais ça fait partie du jeu quand on part sans vérifier les circuits... Outre le topo et les grandes lignes du tracé, il faut avoir une carte Top 25 pour bien se repérer.
Cette région est magnifique en toutes saisons et je la recommande fortement :
- En automne : le GR400 rencontre un vif succès mais c'est la tranquilité assurée si on y va en octobre comme je l'ai fait une année (4 jours : le Fau/Le Lioran/Thiézac/Mandailles/Le Fau)
- L'hiver : si on évite la région de la station du Lioran, il y a plein de balades très sauvages à faire en raquettes sur les crêtes, dans la forêt et sur les plateaux. Il faut juste être bien équipé !
Quand : 10/08/2021
Durée : 4 jours
Durée : 4 jours
Distance globale :
65.4km
Dénivelées :
+1918m /
-1906m
Alti min/max : 648m/1537m
Carnet publié par Luciole17
le 20 oct. 2021
modifié le 22 oct. 2021
modifié le 22 oct. 2021
633 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : J 4 (mise à jour : 22 oct. 2021)
Distance section :
22.3km
Dénivelées section :
+518m /
-381m
Section Alti min/max : 648m/851m
Le compte-rendu : J 4 (mise à jour : 22 oct. 2021)
Départ à 8 H par de jolis petits vallons, j'ai pris des chemins plus judicieux que ceux du topo jusqu'à St Martin Valmeroux : ravitaillement. Puis, j'ai fui la foule pour une rude montée jusqu'au point de vue. A partir de là, le tracé a été de moins en moins évident et les sentiers pas entretenus. J'ai souffert de la chaleur après la pause de midi et suis arrivée à St Bonnet avec une grosse soif. Pause au bistrot du coin. Au hameau "les planches" l'endroit où je comptais m'arrêter au bord de l'eau était squatté par les vaches (disons plutôt que j'avais prévu de m'arrêter au bord de l'eau dans un pré ). J'ai voulais continuer mais aucun balisage et une propriété privée m'ont barré la route. Détours, passages de barbelés, pauses à l'ombre, recherches dans les fourrés : rien ! J'ai donc repris le goudron et retrouvé mon chemin plus loin. Comme la recherche d'un lieu de bivouac était compliquée (prés clôturés) et qu'il ne me restait que quelques kilomètres, j'ai fini le parcours jusqu'à Anglards. Mais ce fut une grosse journée ! Je l'ai terminée au camping municipal à manger mes pâtes à la frontale ! Mais j'ai pu passer une bonne nuit réparatrice...