Cinq jours d'aviron sur la Sèvre Niortaise.
Le Marais Poitevin, je ne connaissais pas. Aussi, lorsqu'un ami me propose de lui donner un coup de main pendant l'été dans le petit bourg de Maillé, je saute sur l'occasion : je vais venir accompagné de Maloku Encore..., fidèle compagne depuis la Loire, le canal de Nantes à Brest et le Blavet l'été dernier. Je ne serais pas contre quelques ronds dans l'eau au cœur du Marais Poitevin.
Quand : 26/08/2022
Durée : 5 jours
Durée : 5 jours
Carnet publié par Renan
le 22 déc. 2022
modifié le 29 déc. 2022
modifié le 29 déc. 2022
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 2 (mise à jour : 23 déc. 2022)
Le compte-rendu : Jour 2 (mise à jour : 23 déc. 2022)
Une bonne nuit en pleine nature...
Quelle (bonne) surprise de découvrir que la prochaine écluse était vraiment toute proche !
C'est un écluse automatique, je vais enfin pouvoir tester la télécommande. Je manipule donc celle-ci comme indiqué. Rien ne se passe. J'essaie encore et encore... En vain. Je me décide à téléphoner à l'agent de garde. Une erreur s'est glissée dans le guide de navigation accompagnant la télécommande. Je pouvais toujours attendre, l'écluse de La Sotterie est manuelle ! Allez hop, débarquement et manipulations.
Ici encore, comme aux deux précédentes écluses, un pont-levis automatique est présent. Pour l'actionner et permettre à un bateau plus haut que le mien de passer, il suffit d'appuyer sur un bouton. La circulation est stoppée et les voitures patientent un peu. Mais avec Maloku nous nous faisons encore une fois tous petits et passons dessous sans faire de vagues.
C'est un écluse automatique, je vais enfin pouvoir tester la télécommande. Je manipule donc celle-ci comme indiqué. Rien ne se passe. J'essaie encore et encore... En vain. Je me décide à téléphoner à l'agent de garde. Une erreur s'est glissée dans le guide de navigation accompagnant la télécommande. Je pouvais toujours attendre, l'écluse de La Sotterie est manuelle ! Allez hop, débarquement et manipulations.
Ici encore, comme aux deux précédentes écluses, un pont-levis automatique est présent. Pour l'actionner et permettre à un bateau plus haut que le mien de passer, il suffit d'appuyer sur un bouton. La circulation est stoppée et les voitures patientent un peu. Mais avec Maloku nous nous faisons encore une fois tous petits et passons dessous sans faire de vagues.
Petite promenade dans le bourg le long des quais, café devant la belle église et courses. C'est jour de marché.
Pour la prochaine écluse, celle du Marais Pin, il fallait faire appel à quelqu'un de l'IIBSN : les portes amont sont cadenassées. J'ai donc annoncé mon arrivée à l'avance. La personne de garde, c'est samedi, me rejoint avec toute sa petite famille. Malheur, sur son impressionnant trousseau de clefs ne figure pas la bonne. Je me dis que la journée va s'achever ici. Mais mon interlocuteur repart pour revenir 30 mn plus tard.
"Vous pouvez me croire, ça va faire l'ouverture des bureaux lundi !", me dit-il en pestant contre ses collègues.
Ecluse passée.
"Vous pouvez me croire, ça va faire l'ouverture des bureaux lundi !", me dit-il en pestant contre ses collègues.
Ecluse passée.
Puis c'est l'écluse de La Tiffardière, authentiquement automatique ! Et ça marche au poil. Je reste à bord pour l'ouverture des portes puis descends amarrer et tenir Maloku pendant le remplissage.
J'ai moins de chance à l'écluse suivante, La Rousille. Lorsqu'une fois l'écluse remplie je commande aux portes amont de s'ouvrir, elles se bloquent à peine leur course entamée. Nouveau coup de téléphone... L'agent parvient à réaliser le dépannage à distance devant son terminal. Ouf, j'ai cru devoir passer la nuit ici ! Merci encore M'sieur
Devant la dernière écluse, je croise Sébastien un kayakisque. Je lui propose de profiter de mon éclusage, ça lui fera toujours un portage de moins.
Nous naviguons ensemble jusqu'au joli petit port de Niort.
Cela termine bien la journée.
Nous naviguons ensemble jusqu'au joli petit port de Niort.
Cela termine bien la journée.