Cinq jours d'aviron sur la Sèvre Niortaise.
Le Marais Poitevin, je ne connaissais pas. Aussi, lorsqu'un ami me propose de lui donner un coup de main pendant l'été dans le petit bourg de Maillé, je saute sur l'occasion : je vais venir accompagné de Maloku Encore..., fidèle compagne depuis la Loire, le canal de Nantes à Brest et le Blavet l'été dernier. Je ne serais pas contre quelques ronds dans l'eau au cœur du Marais Poitevin.
Quand : 26/08/2022
Durée : 5 jours
Durée : 5 jours
Carnet publié par Renan
le 22 déc. 2022
modifié le 29 déc. 2022
modifié le 29 déc. 2022
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Vue d'ensemble
Le compte-rendu : Jour 5 (mise à jour : 29 déc. 2022)
Il était initialement prévu de rallier Niort dans un sens (c'est fait !) et Marans dans l'autre. Mais je ne vais pas avoir le temps pour cette seconde partie. Je décide donc de faire un dernier galop vers l'île de Charroin en aval.
L'idée est de filer jusqu'à Ô P'tit Marais, endroit vraiment chouette rive droite juste après l'île. On peut s'y baigner et siroter une boisson les doigts de pieds en éventail. Ensuite je rentrerai en passant de l'autre côté de l'île de Charroin afin d'en faire le tour. Un arrêt est prévu pour passer saluer Pascal qui habite face à l'île.
L'idée est de filer jusqu'à Ô P'tit Marais, endroit vraiment chouette rive droite juste après l'île. On peut s'y baigner et siroter une boisson les doigts de pieds en éventail. Ensuite je rentrerai en passant de l'autre côté de l'île de Charroin afin d'en faire le tour. Un arrêt est prévu pour passer saluer Pascal qui habite face à l'île.
Après donc un petit verre et quelques plongeons dans la Sèvre, demi-tour en passant entre l'île de Charroin et la rive gauche. Je repère l'endroit ou habite Pascal, il m'avait annoncé un ponton. Mais de Pascal, point. Je patiente un peu et me décide finalement à repartir. Dommage...
Je croise un équipe de l'IIBSN occupée à récolter une plante invasive, la jussie. Il faut être délicat et ne rien oublier car tout fragment donnerait naissance à un autre individu. Ici comme ailleurs, les plantes envahissantes sont aussi un problème. Plusieurs fois par saison un navire équipé à la proue d'une grosse cisaille et d'un tapis roulant coupe et récolte des plantes qui sinon gêneraient grandement la navigation en se prenant dans les hélices et les grilles des systèmes de refroidissement des bateaux à moteur. J'ai vu cette grosse tondeuse flottante à l'oeuvre.
Je croise un équipe de l'IIBSN occupée à récolter une plante invasive, la jussie. Il faut être délicat et ne rien oublier car tout fragment donnerait naissance à un autre individu. Ici comme ailleurs, les plantes envahissantes sont aussi un problème. Plusieurs fois par saison un navire équipé à la proue d'une grosse cisaille et d'un tapis roulant coupe et récolte des plantes qui sinon gêneraient grandement la navigation en se prenant dans les hélices et les grilles des systèmes de refroidissement des bateaux à moteur. J'ai vu cette grosse tondeuse flottante à l'oeuvre.
Et me voici de retour à Maillé. La boucle est bouclée, en passant du côte de l'île de La Chatte que je ne connaissais pas.
Maloku restera encore une dizaine de jours à flots puis je reviendrai la chercher.
Maloku restera encore une dizaine de jours à flots puis je reviendrai la chercher.