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Des Alpes à l'Atlantique avec deux ânes

(réalisé)
Nous sommes Carole et Dom, 
Notre voyage devait s'étaler sur quatre mois entre mi avril et mi août. Nous ne partirons finalement qu'en mai, Covid oblige avec son lot de consignes. En partant à cette date, nous resterons dans le rayon des 100 km pendant 12 étapes, en attendant début juin et les nouvelles possibilités de se déplacer. A cette date nous continuerons sur l'itinéraire initial, sinon nous en tracerons un nouveau dans le périmètre imposé. L'essentiel sera de se mettre en marche.
Nous partons en autonomie accompagnés de deux ânes bâtés (Vanille et Pépito). Nous souhaitons rejoindre l'île d'Oléron au départ de notre village haut savoyard de Serraval, dans le massif des Aravis.


Nous poursuivons plusieurs objectifs : Prendre le temps, revenir à l'essentiel, rencontrer les acteurs d'autres territoires, ne pas regarder la montre...
Nous compléterons notre carnet le plus souvent possible pour vous faire partager notre aventure.

En regardant la carte et notre itinéraire, peut-être allez-vous reconnaitre votre village. Si vous voulez partager un bout de notre voyage, nous proposer un coin de prairie pour planter une tente et faire brouter les ânes, laissez nous un message.
âne / randonnée/trek âne
Quand : 22/05/2020
Durée : 90 jours
Distance globale : 1094km
Dénivelées : +9164m / -9947m
Alti min/max : 3m/1085m
Carnet publié par Domecaro le 21 sept. 2019
modifié le 13 févr. 2021
Mobilité douce
C'est possible (ou réalisé) en train bus stop
8573 lecteur(s) -
Vue d'ensemble

Le topo : Section 28 (mise à jour : 23 juin 2020)

Description :

Lundi 22 juin

Nous quittons notre refuge en laissant à regret les chaises confortables. 

Nous traversons  une forêt de chêne  pendant une bonne  partie du matin. Les chemins se succèdent de forêt en culture (blé, orge, avoine). 

C'est une étape courte de 12 km environ qui nous oblige à  passer par le village de Longues-Vic le Comte afin de passer l'Allier. Après une petite pluie à 6 heures du matin, le temps est très chaud. Nous faisons une halte vers la source Sainte Marguerite (en hommage à  la reine Margot qui aurait fait un arrêt à cet endroit pendant son exil en Auvergne). 

En se rapprochant des zones urbanisées il est plus facile de trouver de la nourriture pour nous que pour les ânes.  Paradoxalement, cette nuit, nous dormirons en pleine ville  dans l'arrière cour d'un bar restaurant. Cédric et sa sœur Isa nous accueille. Il y a de l'herbe pour Pépito et Vanille, une grande tente, et un matelas. La classe. Après une bonne douche, nous partageons la soirée.

Le compte-rendu : Section 28 (mise à jour : 23 juin 2020)

Notre bivouac à La Roche
Notre bivouac à La Roche
Pépito très volontaire dans les chemins forestiers. Les ânes attendent chaque jour de se mettre en marche.,
Pépito très volontaire dans les chemins forestiers. Les ânes attendent chaque jour de se mettre en marche.,
La vue s'ouvre sur la plaine de Limagne
La vue s'ouvre sur la plaine de Limagne
Bivouac urbain
Bivouac urbain
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