En vélo de Pélissanne à Lisbonne... et au delà!
De Pélissanne à Lisbonne en vélo, par tronçons de 1 à 4 semaines, au rythme des vacances scolaires.
C'était notre première grande rando à vélo. Au début on allait en hôtel/gite, puis en camping, puis presque intégralement en bivouac .
C'était notre première grande rando à vélo. Au début on allait en hôtel/gite, puis en camping, puis presque intégralement en bivouac .
Distance globale :
1976km
Dénivelées :
+20111m /
-19827m
Alti min/max : 0m/917m
Carnet publié par NarbeMimi
le 05 févr. 2016
modifié le 18 sept. 2020
modifié le 18 sept. 2020
Mobilité douce
Précisions :
Pour les premiers tronçons, arrivée et départ ne sont pas trop loin, un retour en train/ bus est facile. Plus on s'éloigne, plus c'est compliqué!
5722 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Octobre 2014 Saragosse - Bilbao, 10 jours (mise à jour : 31 mars 2016)
Distance section :
393km
Dénivelées section :
+2911m /
-3117m
Section Alti min/max : 14m/917m
Description :
Automne 2014. Saragosse Bilbao. Traversée du pays basque espagnol et du désert des Bardenas.
Magnifique!! Et pas une goutte de pluie!!!
Tous les tracés du topo sont très approximatifs, contrairement aux autres sections qui étaient presque exactes.
Magnifique!! Et pas une goutte de pluie!!!
Tous les tracés du topo sont très approximatifs, contrairement aux autres sections qui étaient presque exactes.
Le compte-rendu : Octobre 2014 Saragosse - Bilbao, 10 jours (mise à jour : 31 mars 2016)
Mercredi 22 octobre 2014
Arrivés hier à Saragosse, nous avons dormi à Pinseque chez Jose Luis, de Warmshowers. On a passé une bonne soirée ensemble, il va héberger notre voiture pendant la rando.
Nous sommes dans la vallée de l'Ebre, et nous découvrons que le vent dominant vient d'Ouest, donc de face. Vu le nombre d'éoliennes, il doit souffler souvent. Aujourd'hui il est assez fort.
Un peu de piste roulante près de l'Ebre, puis une route assez passante mais avec une bonne bande latérale. Pas mal d'oiseaux, nombreux nids de cigognes.
On arrive très tard à notre étape, l'Ermitage de Sancho Abarca. L'hôtelier, inquiet,
est venu à notre rencontre et nous embarque dans sa voiture pour les derniers kilomètres de montée. Une vraie bonne idée!
58km, surtout de la route.
Arrivés hier à Saragosse, nous avons dormi à Pinseque chez Jose Luis, de Warmshowers. On a passé une bonne soirée ensemble, il va héberger notre voiture pendant la rando.
Nous sommes dans la vallée de l'Ebre, et nous découvrons que le vent dominant vient d'Ouest, donc de face. Vu le nombre d'éoliennes, il doit souffler souvent. Aujourd'hui il est assez fort.
Un peu de piste roulante près de l'Ebre, puis une route assez passante mais avec une bonne bande latérale. Pas mal d'oiseaux, nombreux nids de cigognes.
On arrive très tard à notre étape, l'Ermitage de Sancho Abarca. L'hôtelier, inquiet,
est venu à notre rencontre et nous embarque dans sa voiture pour les derniers kilomètres de montée. Une vraie bonne idée!
58km, surtout de la route.
Jeudi 23 octobre 2014
Depuis le temps que j'y pensais, nous voilà enfin dans le désert des Bardenas Reales! Hier on est arrivé de nuit, nous le découvrons ce matin.
Cette partie Sud des Bardenas, les Bardenas Negras, est 'noire' à cause des forêts de pins d'Alep. Les hauts plateaux permettent des vues panoramiques sur l'ensemble du désert.
Le soir on arrive à Tudela. Musée d'art sacré, on va finir spécialistes en retables!
Des cigognes partout en ville. La vallée de l'Ebre héberge tout ce qu'il faut pour les nourrir, et elles rentrent en ville pour la nuit, on assiste à leur coucher.
42km
Depuis le temps que j'y pensais, nous voilà enfin dans le désert des Bardenas Reales! Hier on est arrivé de nuit, nous le découvrons ce matin.
Cette partie Sud des Bardenas, les Bardenas Negras, est 'noire' à cause des forêts de pins d'Alep. Les hauts plateaux permettent des vues panoramiques sur l'ensemble du désert.
Le soir on arrive à Tudela. Musée d'art sacré, on va finir spécialistes en retables!
Des cigognes partout en ville. La vallée de l'Ebre héberge tout ce qu'il faut pour les nourrir, et elles rentrent en ville pour la nuit, on assiste à leur coucher.
42km
Vendredi 24 octobre 2014
On passe à la maison du Parc des Bardenas. Et là, ça devient compliqué: on a une carte et un topo qui décrivent de nombreuses randonnées, mais,dans le parc, tout est interdit ou presque. Il ne faut pas déranger les oiseaux qui nichent là. Les fréquents bombardements sur la cible du polygone de tir ne les troublent pas, mais les randonneurs c'est pas pareil!
On change un peu nos plans : moins longtemps, moins de randos,... On découvrira un peu plus tard que tout est interdit, mais que ça n'empèche personne de faire ce qu'il veut.
On est maintenant dans les Bardenas Blancas : c'est un vrai désert, avec terre et pierres claires et très peu de végétation. On longe le polygone de tir par le sud, marche un peu vers les formations rocheuses.
On quitte la Navarre et retourne en Aragon pour une nuit à Pinsoro. C'est un village créé en 1962 pour rendre cultivables les terres en profitant de l'eau du nouveau barrage de Yesa. Une partie des colons venaient des villages inondés par le barrage, d'autres étaient des rapatriés d'Algérie; le pouvoir franquiste distribuait les terres à des gens méritants! A l'auberge, chambre sur une petite cour très "espagnole"
Petites routes et pistes larges et très roulantes. 48km
On passe à la maison du Parc des Bardenas. Et là, ça devient compliqué: on a une carte et un topo qui décrivent de nombreuses randonnées, mais,dans le parc, tout est interdit ou presque. Il ne faut pas déranger les oiseaux qui nichent là. Les fréquents bombardements sur la cible du polygone de tir ne les troublent pas, mais les randonneurs c'est pas pareil!
On change un peu nos plans : moins longtemps, moins de randos,... On découvrira un peu plus tard que tout est interdit, mais que ça n'empèche personne de faire ce qu'il veut.
On est maintenant dans les Bardenas Blancas : c'est un vrai désert, avec terre et pierres claires et très peu de végétation. On longe le polygone de tir par le sud, marche un peu vers les formations rocheuses.
On quitte la Navarre et retourne en Aragon pour une nuit à Pinsoro. C'est un village créé en 1962 pour rendre cultivables les terres en profitant de l'eau du nouveau barrage de Yesa. Une partie des colons venaient des villages inondés par le barrage, d'autres étaient des rapatriés d'Algérie; le pouvoir franquiste distribuait les terres à des gens méritants! A l'auberge, chambre sur une petite cour très "espagnole"
Petites routes et pistes larges et très roulantes. 48km
Samedi25 octobre 2014
Retour dans le Parc des Bardenas. Petite balade dans le massif de Pisquera ou Piskerra - Rallon. Les vautours fauves sortent dès qu'il fait chaud. Vue panoramique impressionnante sur le parc et ses reliefs.
Puis on repart vers le Nord. Pique nique au monument du berger des Bardenas.
Visite du Monasterio de la Oliva, ambiance un peu comme à Silvacane.
Au passage, la lagune de Pitillas. Du poste d'observation on voit de nombreux canards, mais il se fait tard et on ne reste pas.
On arrive par de petites routes à Olite où on passe la nuit. Repas gastronomique.
67 km
Retour dans le Parc des Bardenas. Petite balade dans le massif de Pisquera ou Piskerra - Rallon. Les vautours fauves sortent dès qu'il fait chaud. Vue panoramique impressionnante sur le parc et ses reliefs.
Puis on repart vers le Nord. Pique nique au monument du berger des Bardenas.
Visite du Monasterio de la Oliva, ambiance un peu comme à Silvacane.
Au passage, la lagune de Pitillas. Du poste d'observation on voit de nombreux canards, mais il se fait tard et on ne reste pas.
On arrive par de petites routes à Olite où on passe la nuit. Repas gastronomique.
67 km
Dimanche 26 octobre 2014
Jour de repos. On visite le château d'Olite le matin.
Après, on va au village de Tafalla, à 6 km, où il y a la Fiesta d'octobre. Les spectacles sont assez rustiques, et exaltent force et virilité.
Les uns font tirer un gros bloc de pierre sur un petit tronçon de rue par des des bœufs, et doivent faire le plus possible d'allers-retours en un temps donné. Pendant ce temps là, les spectateurs parient sur le nombre. J'ai cru toucher le gros lot, mais j'ai juste perdu 2€.
Après on recommence (pierre plus petite) avec un cheval, puis un âne.
Et puis après, il ya du levage de pièrre : il faut lever une pierre de 100kg le plus de fois possible en un temps donné, et on parie sur le résultat. La première pierre est carrée, facile à saisir, au troisième coup elle est ronde, sans prise.
Ça finira chez l'ostéopathe!
Retour et nuit à Olite.
13 km
Jour de repos. On visite le château d'Olite le matin.
Après, on va au village de Tafalla, à 6 km, où il y a la Fiesta d'octobre. Les spectacles sont assez rustiques, et exaltent force et virilité.
Les uns font tirer un gros bloc de pierre sur un petit tronçon de rue par des des bœufs, et doivent faire le plus possible d'allers-retours en un temps donné. Pendant ce temps là, les spectateurs parient sur le nombre. J'ai cru toucher le gros lot, mais j'ai juste perdu 2€.
Après on recommence (pierre plus petite) avec un cheval, puis un âne.
Et puis après, il ya du levage de pièrre : il faut lever une pierre de 100kg le plus de fois possible en un temps donné, et on parie sur le résultat. La première pierre est carrée, facile à saisir, au troisième coup elle est ronde, sans prise.
Ça finira chez l'ostéopathe!
Retour et nuit à Olite.
13 km
Lundi 27 octobre 2014 Olite - Estella
Pas trop de souvenirs de cette étape, pas trop de photos non plus. Ca devait être bien.
Quelques belles fermes en chemin.
Estella, Lizara en Basque, est une étape importante du Camino Frances de Compostelle. Plein de pélerins en sandales.
Plein d'églises, basilique au centre. Trés beau cloître de l'église San Pedro de la Rúa.
48 km
Pas trop de souvenirs de cette étape, pas trop de photos non plus. Ca devait être bien.
Quelques belles fermes en chemin.
Estella, Lizara en Basque, est une étape importante du Camino Frances de Compostelle. Plein de pélerins en sandales.
Plein d'églises, basilique au centre. Trés beau cloître de l'église San Pedro de la Rúa.
48 km
Mardi 28 octobre 2014 Estella - Vitoria Gasteiz
Belle et longue étape (plus de 80 km), avec un long tronçon de voie verte sur une ancienne voie ferrée. Un des tunnels de la voie verte est éboulé, il faut le contourner en passant au dessus, par la carrière qui couronne la colline. On en profite pour se perdre un peu, ça rajoute distance et dénivelé.(mais on reste serein)
A Vittoria (Gasteiz en Basque) nous sommes accueillis en Warmshowers par Rafa et son amie Ana. Curieusement, comme de nombreux Basques, ils ne parlent pas Basque. Fonctionnaires, ils ont du temps de travail libéré pour pouvoir l'apprendre.
Après la tortilla du dîner, ils nous proposent un tour de ville en vélo. Les muscles protestent un peu, mais c'est une belle balade, la vieille ville est très belle. Une bonne soirée!!
Belle et longue étape (plus de 80 km), avec un long tronçon de voie verte sur une ancienne voie ferrée. Un des tunnels de la voie verte est éboulé, il faut le contourner en passant au dessus, par la carrière qui couronne la colline. On en profite pour se perdre un peu, ça rajoute distance et dénivelé.(mais on reste serein)
A Vittoria (Gasteiz en Basque) nous sommes accueillis en Warmshowers par Rafa et son amie Ana. Curieusement, comme de nombreux Basques, ils ne parlent pas Basque. Fonctionnaires, ils ont du temps de travail libéré pour pouvoir l'apprendre.
Après la tortilla du dîner, ils nous proposent un tour de ville en vélo. Les muscles protestent un peu, mais c'est une belle balade, la vieille ville est très belle. Une bonne soirée!!
Mercredi 29 octobre 2014 Vitoria Gasteiz - Durango
Le matin, visite de la vieille ville, appelée l'amande (almendra) à cause de sa forme.
La Cathédrale, construite à partir du 13ème siècle, avait initialement des voûtes en bois. Au 16éme siècle, elles sont remplacées par des arches en pierre, et c'est le début des ennuis! Les soubassement et la structure n'étaient pas de taille à supporter ce poids. Au fil des siècles on rajouta des contreforts, des piliers... pour lutter contre ces désordres, ce qui changea pas mal le style de la cathédrale.
La restauration la plus violente fut celle des années 1960, où on voulut restituer le style gothique initial, en allégeant un peu la structure et en supprimant les piliers qui avaient stabilisé l'ensemble depuis le 17ème siècle.
Au début des années 90 la cathédrale était prête à s'écrouler, elle fut fermée au public en 1994 et la restauration commença en 1997.
Pourquoi je vous raconte tout ça? Parce que à mesure de l'avancée des travaux ils ont installé des passerelles et des cheminements qui permettent aujourd'hui de tout visiter du (sous) sol au plafond, de circuler dans les cryptes, sous les voûtes, en haut de la nef, sur le toit, et que c'est magnifique et passionnant! Si seulement la guide avait accepté de parler un peu moins vite j'aurais dix fois plus de trucs à vous raconter. Mais ça vous aurait peut-être gonflés!
Aussi, en ville, un circuit pour visiter les nombreuses fresques murales.
Oui, décidément, Vitoria/Gasteiz est une chouette ville étape!
Après les pintxos de midi, on commence la descente vers l'Océan. Vitoria est à 525m d'altitude, ya qu'à se laisser aller, ou presque.
Ca commence par une voie verte, puis de la route, le long du lac de Legutiano et forêt automnale qui emméne au col de Urkiola (bonne montée) Descente dans paysage de falaises calcaires, pour arrivée crépusculaire à Durango. Patatas bravas
38km
Le matin, visite de la vieille ville, appelée l'amande (almendra) à cause de sa forme.
La Cathédrale, construite à partir du 13ème siècle, avait initialement des voûtes en bois. Au 16éme siècle, elles sont remplacées par des arches en pierre, et c'est le début des ennuis! Les soubassement et la structure n'étaient pas de taille à supporter ce poids. Au fil des siècles on rajouta des contreforts, des piliers... pour lutter contre ces désordres, ce qui changea pas mal le style de la cathédrale.
La restauration la plus violente fut celle des années 1960, où on voulut restituer le style gothique initial, en allégeant un peu la structure et en supprimant les piliers qui avaient stabilisé l'ensemble depuis le 17ème siècle.
Au début des années 90 la cathédrale était prête à s'écrouler, elle fut fermée au public en 1994 et la restauration commença en 1997.
Pourquoi je vous raconte tout ça? Parce que à mesure de l'avancée des travaux ils ont installé des passerelles et des cheminements qui permettent aujourd'hui de tout visiter du (sous) sol au plafond, de circuler dans les cryptes, sous les voûtes, en haut de la nef, sur le toit, et que c'est magnifique et passionnant! Si seulement la guide avait accepté de parler un peu moins vite j'aurais dix fois plus de trucs à vous raconter. Mais ça vous aurait peut-être gonflés!
Aussi, en ville, un circuit pour visiter les nombreuses fresques murales.
Oui, décidément, Vitoria/Gasteiz est une chouette ville étape!
Après les pintxos de midi, on commence la descente vers l'Océan. Vitoria est à 525m d'altitude, ya qu'à se laisser aller, ou presque.
Ca commence par une voie verte, puis de la route, le long du lac de Legutiano et forêt automnale qui emméne au col de Urkiola (bonne montée) Descente dans paysage de falaises calcaires, pour arrivée crépusculaire à Durango. Patatas bravas
38km
Jeudi 30 octobre 2014 Durango - Mundaka
Nous avons décidé de ne pas aller à Bilbao en vélo : trop grande ville, trop compliqué. Nous rejoindrons l'océan à Berméo, un port de pêche au Nord Est de Bilbao, au Nord de Guernica.
Sortie de Durango par une voie verte, puis un bout de grande route. Pour l'éviter, on bifurque sur une petite route qui monte assez raide (col de Munikagane) avant de redescendre sur Guernica.
Il reste peu de temps avant la fermeture du musée. Une des salles offre une reconstitution d'une maison de 1937, sons et lumière évoquent le bombardement.
Quelques pintxos plus tard, on repart sur la route qui longe la ria de l'Urdabai jusqu'à Mundaka et l'océan. Petit bain juste avant de passer à l'ombre!!!!!
Joli village, belle vue sur la ria, une célèbre vague pour les surfeurs
Hôtel du port.
39km
Nous avons décidé de ne pas aller à Bilbao en vélo : trop grande ville, trop compliqué. Nous rejoindrons l'océan à Berméo, un port de pêche au Nord Est de Bilbao, au Nord de Guernica.
Sortie de Durango par une voie verte, puis un bout de grande route. Pour l'éviter, on bifurque sur une petite route qui monte assez raide (col de Munikagane) avant de redescendre sur Guernica.
Il reste peu de temps avant la fermeture du musée. Une des salles offre une reconstitution d'une maison de 1937, sons et lumière évoquent le bombardement.
Quelques pintxos plus tard, on repart sur la route qui longe la ria de l'Urdabai jusqu'à Mundaka et l'océan. Petit bain juste avant de passer à l'ombre!!!!!
Joli village, belle vue sur la ria, une célèbre vague pour les surfeurs
Hôtel du port.
39km
Vendredi 31 octobre 2014 Mundaka - Bermeo
Mini étape jusqu'à Bermeo (3km). Visite rapide du port et de la vieille ville, puis train jusqu'à Bilbao. ( 30mn)
Là, pas le temps de se promener : traversée de la ville en vélo jusqu'au Terminobus. On emballe les vélos dans du plastique alimentaire pour pouvoir les charger dans le bus. Il faut un rouleau par vélo. Puis bus jusqu'à Saragosse.
On visite l'Aljaferia, palais arabe de la même époque que la mosquée de Cordoue et l'Alhambra de Grenade. Beaux jardins, stucs, patios, colonnes, fontaines... la routine! Magnifique!! Depuis la dernière restauration, une partie du palais a été transformée pour être le siège du parlement d'Aragon.
Après, on essaie de prendre de petites routes pour retourner chez Jose Luis, et on erre misérablement dans des zones pas éclairées, avec personne pour nous renseigner, et une carte très imprécise, et la nuit qui tombe, des tas de chiens dans les jardins...une vraie soirée d'Halloween mais sans bonbons.
On finit par y arriver. Accueil sympa, bon repas, on a plein de choses à se raconter. Après, on reprend la route (en voiture) et on va dormir à la mer, à Sitges, un peu au sud de Barcelone.
Le samedi, bain et petit dèj, puis route jusqu'à Pélissanne
Mini étape jusqu'à Bermeo (3km). Visite rapide du port et de la vieille ville, puis train jusqu'à Bilbao. ( 30mn)
Là, pas le temps de se promener : traversée de la ville en vélo jusqu'au Terminobus. On emballe les vélos dans du plastique alimentaire pour pouvoir les charger dans le bus. Il faut un rouleau par vélo. Puis bus jusqu'à Saragosse.
On visite l'Aljaferia, palais arabe de la même époque que la mosquée de Cordoue et l'Alhambra de Grenade. Beaux jardins, stucs, patios, colonnes, fontaines... la routine! Magnifique!! Depuis la dernière restauration, une partie du palais a été transformée pour être le siège du parlement d'Aragon.
Après, on essaie de prendre de petites routes pour retourner chez Jose Luis, et on erre misérablement dans des zones pas éclairées, avec personne pour nous renseigner, et une carte très imprécise, et la nuit qui tombe, des tas de chiens dans les jardins...une vraie soirée d'Halloween mais sans bonbons.
On finit par y arriver. Accueil sympa, bon repas, on a plein de choses à se raconter. Après, on reprend la route (en voiture) et on va dormir à la mer, à Sitges, un peu au sud de Barcelone.
Le samedi, bain et petit dèj, puis route jusqu'à Pélissanne