Entre Grandes Rousses et Belledonne : du Chazelet à Chamrousse à skis
Une petite balade sauvage en ski de rando entre Grandes Rousses et Belledonne.
Quand : 28/02/2022
Durée : 5 jours
Durée : 5 jours
Distance globale :
68.3km
Dénivelées :
+5747m /
-5838m
Alti min/max : 1676m/3012m
Carnet publié par gb05
le 05 mars 2022
modifié le 08 mars 2022
modifié le 08 mars 2022
Mobilité douce
Précisions :
Départ Le Chazelet : navettes depuis la Grave. La Grave s'atteint en bus depuis Briançon et Grenoble.
Arrivée Chamrousse : bus jusqu'à Grenoble.
Coup de coeur !
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Vue d'ensemble
Le topo : Lundi 28 février (mise à jour : 08 mars 2022)
Distance section :
13.6km
Dénivelées section :
+1308m /
-931m
Section Alti min/max : 1759m/3012m
Description :
Départ du Chazelet. On remonte le vallon du Gâ en rive gauche, sur le chemin jusqu'aux chalets de la Buffe, puis ascension du pic du Mas de la Grave par la crête sud-ouest. Descente en face sud-est, passage de la basse sud de la Recoude, descente jusqu'au ruisseau de l'Agnelin. Bivouac en rive droite du ruisseau vers 2200 m.
Milieu traversé :
Environnement : [montagne]
Biotope : [neige]
Le compte-rendu : Lundi 28 février (mise à jour : 08 mars 2022)
Une semaine de beau temps en perspective (sauf le vendredi qui était prévu mauvais, et s'avèrera beau), une neige stable (risque limité ou faible), tous les voyants sont au vert pour partir faire un tour en montagne à skis. En plus, je viens de me tester positif au covid, petit cadeau probable du gîte où j'étais en début de semaine pour encadrer une formation de ski de rando, il faut que je m'isole.
Nous partons de St André d'Embrun lundi 28 février vers 7 h 30 en voiture. Nous nous garons à la Grave sur le parking du téléphérique et prenons la navette gratuite pour monter au Chazelet où nous arrivons à 10 h. La neige est éparse en rive gauche du Gâ, nous partons les skis sur le sac en suivant le chemin carrossable. Et en regrettant dans un premier temps de ne pas être passé rive droite, toute enneigé. La suite prouvera que le choix n'était pas si mal. Nous chaussons au Rivet de la Cime, mais restons sur la route.
La montée démarre réellement aux chalets de la Buffe. Pas grand-monde, il fait chaud. Ascension en pleine chaleur du pic du Mas de la Grave. Sommet à 15 h 15.
La face nord est déneigée, on contourne par une pente qui baigne de soleil. La neige y est pourrie en profondeur, il faut faire attention. Descente pas vraiment mémorable, passage improbable à travers les marnes noires autour du ruisseau de l'Agnelin. Quelques virages sympa. Quelques cailloux aussi. Les derniers : par la suite, il y aura suffisamment de neige : nous quittons les Alpes du sud, sèches.
La tente est posée sur un replat du Tirequeue (joli nom !) vers 16 h 30.
Je n'ai plus de symptômes du covid, en revanche Anne-Soisig a mal à la gorge : ça va être à son tour !
J'étrenne la nouvelle casserole JetBoil que j'ai eu pour mon anniversaire. Un peu plus grande que la précédente qui me suit depuis des années. J'ai l'impression qu'elle permet de produire un litre d'eau bouillante en trois fois moins de temps (avec le même réchaud)...
Nous partons de St André d'Embrun lundi 28 février vers 7 h 30 en voiture. Nous nous garons à la Grave sur le parking du téléphérique et prenons la navette gratuite pour monter au Chazelet où nous arrivons à 10 h. La neige est éparse en rive gauche du Gâ, nous partons les skis sur le sac en suivant le chemin carrossable. Et en regrettant dans un premier temps de ne pas être passé rive droite, toute enneigé. La suite prouvera que le choix n'était pas si mal. Nous chaussons au Rivet de la Cime, mais restons sur la route.
La montée démarre réellement aux chalets de la Buffe. Pas grand-monde, il fait chaud. Ascension en pleine chaleur du pic du Mas de la Grave. Sommet à 15 h 15.
La face nord est déneigée, on contourne par une pente qui baigne de soleil. La neige y est pourrie en profondeur, il faut faire attention. Descente pas vraiment mémorable, passage improbable à travers les marnes noires autour du ruisseau de l'Agnelin. Quelques virages sympa. Quelques cailloux aussi. Les derniers : par la suite, il y aura suffisamment de neige : nous quittons les Alpes du sud, sèches.
La tente est posée sur un replat du Tirequeue (joli nom !) vers 16 h 30.
Je n'ai plus de symptômes du covid, en revanche Anne-Soisig a mal à la gorge : ça va être à son tour !
J'étrenne la nouvelle casserole JetBoil que j'ai eu pour mon anniversaire. Un peu plus grande que la précédente qui me suit depuis des années. J'ai l'impression qu'elle permet de produire un litre d'eau bouillante en trois fois moins de temps (avec le même réchaud)...