Munich- retour à la maison
(réalisé)
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Après une boucle au départ de Munich en 2020, l’idée d’une traversée Munich- retour à la maison fait son chemin. Gros avantage : pas de contrainte de temps puisque nous ne serons pas dépendants d’un moyen de transport nécessitant une réservation.
Nous sommes 4 (3 femmes et 1 homme) pour cette traversée et nous reviendrons en région lyonnaise. Pour rejoindre Munich, nous utilisons un flixbus au départ de Lyon. Par chance, nous trouvons un bus direct Lyon-Munich qui accepte nos 4 vélos et qui voyage en journée.
Nous sommes 4 (3 femmes et 1 homme) pour cette traversée et nous reviendrons en région lyonnaise. Pour rejoindre Munich, nous utilisons un flixbus au départ de Lyon. Par chance, nous trouvons un bus direct Lyon-Munich qui accepte nos 4 vélos et qui voyage en journée.
vélo de randonnée
Quand : 27/08/2022
Durée : 15 jours
Durée : 15 jours
Distance globale :
979km
Dénivelées :
+4703m /
-4402m
Alti min/max : -264m/1016m
Carnet publié par la Creuzette
le 19 oct. 2022
modifié le 21 oct. 2022
modifié le 21 oct. 2022
Mobilité douce
Précisions :
Flix bus direct au départ de Lyon pour rejoindre Munich avec 4 vélos
779 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Section 4 (mise à jour : 19 oct. 2022)
Distance section :
43.6km
Dénivelées section :
+243m /
-332m
Section Alti min/max : 713m/1016m
Le compte-rendu : Section 4 (mise à jour : 19 oct. 2022)
Mercredi 31 août : lac de Grütensee, Oberstauffen
44km, D+ 410 m
Départ sous un ciel bien maussade. La pluie ne tarde pas à arriver dans la première grande descente. Nous perdons Jean-Pierre qui n’a pas vu l’embranchement à gauche. Nous le retrouvons au village suivant où un autochtone nous conseille de poursuivre notre route jusqu’au village de Rettenberg où nous pourrions trouver un bar ouvert. Il y a bien un bar mais l’arrivée de 4 cyclistes trempés et dégoulinants ne déclenche pas l’enthousiasme. Nous nous réfugions finalement au restaurant de la brasserie située un peu plus loin. C’était le bon plan car cette fois nous sommes bien accueillis. Nous pouvons faire sécher nos affaires, recharger nos portables et autres batteries. Un délicieux repas, de la bonne bière, et nous avons vite oublié la pluie du matin.
La pluie ayant cessé, nous poursuivons notre route vers Lindau. Nous longeons le lac Alpsee, en début d’après-midi. Il y a bien 2 campings mais nous préférons poursuivre notre route. Vers 16h30, l’arrivée de nuages menaçants nous incite à faire notre provision d’eau (sur un stade) et à chercher un lieu de camping sauvage idéal. Peu après Oberstauffen, Un petit chalet avec auvent, à l’écart de la route, attire notre regard. L’abri s’avère parfait car nous n’avons pas besoin de monter nos tentes. Il y a même une petite table et un banc et nous n’en demandons pas plus.
44km, D+ 410 m
Départ sous un ciel bien maussade. La pluie ne tarde pas à arriver dans la première grande descente. Nous perdons Jean-Pierre qui n’a pas vu l’embranchement à gauche. Nous le retrouvons au village suivant où un autochtone nous conseille de poursuivre notre route jusqu’au village de Rettenberg où nous pourrions trouver un bar ouvert. Il y a bien un bar mais l’arrivée de 4 cyclistes trempés et dégoulinants ne déclenche pas l’enthousiasme. Nous nous réfugions finalement au restaurant de la brasserie située un peu plus loin. C’était le bon plan car cette fois nous sommes bien accueillis. Nous pouvons faire sécher nos affaires, recharger nos portables et autres batteries. Un délicieux repas, de la bonne bière, et nous avons vite oublié la pluie du matin.
La pluie ayant cessé, nous poursuivons notre route vers Lindau. Nous longeons le lac Alpsee, en début d’après-midi. Il y a bien 2 campings mais nous préférons poursuivre notre route. Vers 16h30, l’arrivée de nuages menaçants nous incite à faire notre provision d’eau (sur un stade) et à chercher un lieu de camping sauvage idéal. Peu après Oberstauffen, Un petit chalet avec auvent, à l’écart de la route, attire notre regard. L’abri s’avère parfait car nous n’avons pas besoin de monter nos tentes. Il y a même une petite table et un banc et nous n’en demandons pas plus.
