Tour du Mont-Blanc
Quand : 07/09/2019
Durée : 8 jours
Durée : 8 jours
Distance globale :
124km
Dénivelées :
+9045m /
-9717m
Alti min/max : 1472m/2647m
Carnet publié par Vincent74
le 15 sept. 2019
modifié le 26 nov. 2019
modifié le 26 nov. 2019
Mobilité douce
1205 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 1 (mise à jour : 30 sept. 2019)
Distance section :
15.6km
Dénivelées section :
+1346m /
-1158m
Section Alti min/max : 1805m/2109m
Description :
Etape 1: Bellevue - Refuge de Tré La Tête
Longueur: 17 Km
Altitude Min/Max: 1342m / 2118m
Cumul D+/D-: +1448m / -1268m
Longueur: 17 Km
Altitude Min/Max: 1342m / 2118m
Cumul D+/D-: +1448m / -1268m
Le compte-rendu : Jour 1 (mise à jour : 30 sept. 2019)
Nous voilà au rendez-vous.
Le groupe de 9 personnes a fondu comme neige au soleil, désistement après désistement: nous ne sommes plus que deux à 8h devant le téléphérique de Bellevue: Pascal et moi.
Tout n'est cependant pas perdu:
Etienne doit nous rejoindre dans la journée pour nous accompagner jusqu'au lendemain.
Joan qui a dû partir dans le Sud de la France sur les Feux de Forêts devraient nous rejoindre d'ici 4 jours à Courmayeur.
Il fait gris, les nuages sont bas et accrochés à mi-hauteur sur les montagnes.
Il semble donc que ce sera raté pour les paysages aujourd'hui mais avec un peu de chance, en étant dans les nuages on devrait échapper à la pluie !
Le téléphérique amorce sa montée et s'enfonce dans les nuages.
Le groupe de 9 personnes a fondu comme neige au soleil, désistement après désistement: nous ne sommes plus que deux à 8h devant le téléphérique de Bellevue: Pascal et moi.
Tout n'est cependant pas perdu:
Etienne doit nous rejoindre dans la journée pour nous accompagner jusqu'au lendemain.
Joan qui a dû partir dans le Sud de la France sur les Feux de Forêts devraient nous rejoindre d'ici 4 jours à Courmayeur.
Il fait gris, les nuages sont bas et accrochés à mi-hauteur sur les montagnes.
Il semble donc que ce sera raté pour les paysages aujourd'hui mais avec un peu de chance, en étant dans les nuages on devrait échapper à la pluie !
Le téléphérique amorce sa montée et s'enfonce dans les nuages.
En haut, il fait frais et humide: nous sommes dans les nuages.
On met la veste, ajustons le sac à dos et c'est parti pour cette première étape qui doit nous mener jusqu'au Refuge de Trè la Tête.
Le pont himalayen apparaît à travers le brouillard: sa traversée est amusante à défaut de nous permettre d'observer le glacier de Bionnassay.
On met la veste, ajustons le sac à dos et c'est parti pour cette première étape qui doit nous mener jusqu'au Refuge de Trè la Tête.
Le pont himalayen apparaît à travers le brouillard: sa traversée est amusante à défaut de nous permettre d'observer le glacier de Bionnassay.
La montée vers le Col de Tricot s'effectue dans le brouillard et c'est un peu avec étonnement que nous l'atteignons.
Lors de la préparation de l'itinéraire, j'avais imaginé sa montée plus raide et plus pénible...
Lors de la préparation de l'itinéraire, j'avais imaginé sa montée plus raide et plus pénible...
La descente vers les Chalets de Miage est quand à elle bien prononcée.
Nous croisons quelques randonneurs à la montée qui semblent être bien dans leur zone rouge.
Le passage des chalets de Miage se fait sous un ciel très bas qui ne nous permet pas de distinguer le glacier du même nom.
Nous ne nous attardons pas et enchaînons avec la montée vers les Chalets du Truc.
Ce sera notre pause repas de midi où Etienne nous rejoindra.
Nous croisons quelques randonneurs à la montée qui semblent être bien dans leur zone rouge.
Le passage des chalets de Miage se fait sous un ciel très bas qui ne nous permet pas de distinguer le glacier du même nom.
Nous ne nous attardons pas et enchaînons avec la montée vers les Chalets du Truc.
Ce sera notre pause repas de midi où Etienne nous rejoindra.
Il nous faut ensuite quasiment redescendre jusqu'aux Contamines avant de reprendre notre ascension en direction de la Combe d'Armancette.
Cette dernière disparaît dans les nuages au-dessus de nous: Pascal et moi décidons de changer notre itinéraire et de continuer par Les Plans. inutile de monter plus si c'est pour ne rien voir.
Etienne qui prépare la "Diagonale des Fous" part en petite foulée vers le sommet de la Combe.
Rendez-vous est pris au refuge de Tré La Tête.
La montée est sympathiques et quelques rayons de soleil viennent même égayer les sous-bois.
Au niveau de la Maison Forestière nous grimpons pour rejoindre le Chemin Claudius Bernard le plafond nuageux s'étant maintenant élevé.
Cette dernière disparaît dans les nuages au-dessus de nous: Pascal et moi décidons de changer notre itinéraire et de continuer par Les Plans. inutile de monter plus si c'est pour ne rien voir.
Etienne qui prépare la "Diagonale des Fous" part en petite foulée vers le sommet de la Combe.
Rendez-vous est pris au refuge de Tré La Tête.
La montée est sympathiques et quelques rayons de soleil viennent même égayer les sous-bois.
Au niveau de la Maison Forestière nous grimpons pour rejoindre le Chemin Claudius Bernard le plafond nuageux s'étant maintenant élevé.
L'arrivée au Refuge se fera juste avant la pluie.
Pour nous excuser de nos réservations un peu anarchiques via internet, nous offrons chacun une tablette de chocolat à la gardienne du Refuge qui apprécie le geste non sans nous avoir un petit peu au préalable et avec raison "tiré les oreilles".
Nous commandons une tournée de bière.
Une dernière randonneuse pousse la porte du Refuge: nous ne serons donc que quatre au refuge ce soir.
Kim est sud-coréenne. Nous ne le savons pas encore: c'est ici que commence une belle histoire d’amitié pour le reste du TMB.
Kim n'ayant pas de réservation pour le lendemain au refuge du Col du Bonhomme, c'est Etienne qui se charge d'appeler le refuge pour résoudre cette situation.
Kim s'exprime parfaitement en anglais, ce qui n'est pas du tout mon cas.
Mes derniers mots d'anglais remontent à 25 ans lorsque j'étais encore à l'école et mon accent franglais est absolument ignoble ce qui fera par ailleurs bien rigoler mes collègues.
Mais parait-il, je me suis amélioré au fil des jours....
Pour nous excuser de nos réservations un peu anarchiques via internet, nous offrons chacun une tablette de chocolat à la gardienne du Refuge qui apprécie le geste non sans nous avoir un petit peu au préalable et avec raison "tiré les oreilles".
Nous commandons une tournée de bière.
Une dernière randonneuse pousse la porte du Refuge: nous ne serons donc que quatre au refuge ce soir.
Kim est sud-coréenne. Nous ne le savons pas encore: c'est ici que commence une belle histoire d’amitié pour le reste du TMB.
Kim n'ayant pas de réservation pour le lendemain au refuge du Col du Bonhomme, c'est Etienne qui se charge d'appeler le refuge pour résoudre cette situation.
Kim s'exprime parfaitement en anglais, ce qui n'est pas du tout mon cas.
Mes derniers mots d'anglais remontent à 25 ans lorsque j'étais encore à l'école et mon accent franglais est absolument ignoble ce qui fera par ailleurs bien rigoler mes collègues.
Mais parait-il, je me suis amélioré au fil des jours....