VTT dans les Cerces-Thabor
Chaque été, c'est le rituel : dégotter un coin accessible en transport en commun, pour 5 jours de VTT, en montagne. Et le massif des Cerces-Thabor s'y prête à merveille : sommets magnifiques et singletracks joueurs, à condition d'aimer les terrains un peu techniques tout de même !
Carnet publié par Anthony
le 09 août 2018
modifié le 05 déc. 2019
modifié le 05 déc. 2019
Mobilité douce
Précisions :
Le train permet d'accéder soit à Briançon pour un accès par le sud, ou à Modane par le nord. De ces gares, il faut faire un petit peu de route/chemin pour accéder à notre boucle, mais plein de petites variantes sont envisageables pour partir de la...
Le train permet d'accéder soit à Briançon pour un accès par le sud, ou à Modane par le nord. De ces gares, il faut faire un petit peu de route/chemin pour accéder à notre boucle, mais plein de petites variantes sont envisageables pour partir de la gare même.
Le bus permet d'aller à Névache directement, mais il faudra bien penser à réserver. Il faut appeler la compagnie Résalp pour prévoir les places pour les vélos.
Coup de coeur !
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 5 (mise à jour : 21 juin 2019)
Distance section :
22km
Dénivelées section :
+1328m /
-1752m
Section Alti min/max : 2114m/2657m
Le compte-rendu : Jour 5 (mise à jour : 21 juin 2019)
Comme nous sommes à deux pas du refuge de Buffère, nous y retournons le matin pour prendre un bon café. Mon frère y répare sa crevaison pour la deuxième fois Ensuite, c'est parti pour redescendre dans la vallée de la Clarée, par une descente très sympathique. L'objectif est ensuite de rejoindre le col de Roche Noire, en passant par le refuge du Chardonnet.
La fin de la montée est très minérale : on traverse un bon gros tas de cailloux pour se retrouver sur une arête où l'on ne devine même pas où l'on va descendre. Ok, la descente s'annonce technique ! Et en effet, sur toute sa première partie, ce n'est pas de la tarte, et ça penche. On s'amusera quand même bien, tandis que la seconde partie est bien plus douce.
À la fin de la descente, on rejoint le GR50, qui est un superbe sentier balcon. Il nous permet à la fois de progresser très facilement vers le nord, avec peu de dénivelé, et de contempler les Ecrins sous tous les angles. Un passage qui fait beaucoup de bien après 4 jours de VTT technique !
On quitte ce sentier balcon (qui mène pourtant directement à notre point de départ !) pour une dernière montée, en direction du col des Aiguillettes (enfin du sommet "point 2717m" voisin). Les sacs légers, ça donne des ailes ! La montée est progressive, mais la chaleur bien présente nous rappelle tout de même qu'on a accumulé un peu de dénivelé ces derniers jours. On prend le temps, et on arrive tranquillement au sommet escompté.
Longue redescente vers le point de départ, sans frein arrière pour mon frère ! On se fait plaisir tout en sentant la fatigue poindre le bout de son nez. Au bilan, c'était une boucle idéale pour découvrir tous les recoins du massif, en cherchant à exploiter toutes les descentes sympas du coin... mais il en reste encore plein, faudra revenir. Ça tombe bien, c'est à portée de train !