GONFLABLES. Faut-il s'attacher en mer ?
attention , non chargé le gonflable présente une très forte prise au vent et proportionnellement une très faible accroche dans l'eau . c'est pourquoi au dessus de force 4 , 5 il est préférable d e rester a terre ou dans des endroits abrités..
bonnes balades en sérénité ...
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Un gonflable vide est TRES sensible au vent et au courant, sutout lorsqu'il est léger. Lorsqu'on chavire, il a en plus tendance à être poussé par le corps à quelques mêtres et la pagaie ne permettra pas de nager avec le maximum d'efficacité.
Donc, sur le gonflable, je m'attache (un petit bout d'environ 2 m avec une boucle facile à défaire) au poignet gauche. Et au poignet droit une boucle en bout très fin pour la pagaie.
Je pense que c'est comme la ceinture de sécurité en voiture ou le harnais en bateau, les avantages l'emportent sur les inconvénients éventuels et en cas d'incident je préfère garder 1) un moyen de flotter et d'être repéré (le kayak) et 2) un moyen de manoeuvrer (la pagaie).
Ce n'est pas une question de vent, c'est systématique (courants, rafales, vague impromptue... ).
<<prudence, prudence et encore prudence !!!>>
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et la traction peut s'effectuer a la fois sur le bateau pris dans une vague et la pagaie en trainée sous l'eau .. pour ma part je ne ferai pas ce choix ....
mais chacun son choix ..
bonnes balades
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je ne m'en sert que lorsque je suis en mer et/ou par vent un peu soutenu.
En mai dernier, j'avais aussi mis un bout pour relier le gilet de sauvetage de mon fils de 5 ans (et accesoirement mon fils ) au bateau.
non pas que la météo rendait cette action nécessaire mais disons qu'au cas ou, j'étais rassuré de le savoir facilement "récupérable".
Jérôme
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pour moi la pagaie est attachée au bateau ( à une sangle des cales pieds au fond du Solar ) et non pas au poignet comme en kayak de rivière
tout est attaché au bateau sacs, bidons, pagaies, écope...
Salut Gilbert
Je sais pas où tu as déjà vu des kayakistes en rivières attachés à leur pagaie ou à leur bateau d'ailleurs , j'en ai JAMAIS vu. Ce n'est d'ailleurs pas très conseillé ! Surtout dans un rappel.
"LA PAGAIE C'EST LA VIE ! " Quand on déssale et qu'on sort du kayak, il ne faut surtout pas lacher la pagaie et il faut choper le kayak le plus vite possible. C'est ce qu'on apprend en club ! C'est vrai en rivières, mais ça l'est pas moins en mer !
Mais s'attacher au KG par vent fort est une bonne solution je pense.
Au fait, Gilbert, mon père a acheté un K2 prijon en polyéthylène d'occasion à l'échappée verte. Très cool le gars !
Déjà testé avec mon frère en mer par vent fort, on s'est bien fait rincer (surtout mon frère qui était devant) et on a surfé un peu les vagues. Bien sympa ! Pas autant de plaisir qu'en K1, mais c'était l'fun comme dirait un pote quebecquois !
Sinon Hiko en tchéquie, c'est bien 30 à 40% moins cher qu'en France !
Tchô
Jérôme
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je l'ai vu dans certaines rivières tout simplement, ( école, expérience, erreurs, véritées, je ne sais? ) j'apprends en candidat libre pour la rivière
Salut
En effet, c'est très curieux de s'attacher à la pagaie en rivières de classe III/IV.
Je n'ai pas appris comme ça mais peut-être que d'autres ont des consignes différentes. Quand on navigue à petit nombre et non en groupe, c'est peut-être préférable. Je ne sais pas.
En tout cas, dans le cas de groupe avec un niveau hétérogène, j'ai appris comme ça : on ne lache pas la pagaie, on essaie de choper le kayak mais privilégier bien sûr l'humain au matériel. Lors de toutes les sorties, on était deux à aider le prof à faire la sécu dans les passages difficiles. On se plaçait au point stratégique, et on faisait passer le groupe un par un. On lançait la corde si la personne n'arrivait pas à rejoindre la berge après avoir déssallé ou s'il était pris dans un rappel (ce qui est arrivé 3-4 fois). Si la kayakiste avait lâché le kayak, fallait sauter à l'eau et le récupérer. Ca m'est arrivé plusieurs fois dont une fois sur la Cure, où j'ai sauté pour récupérer un kayak qui m'a trainé sur 300 mètres. Expérience douloureuse pour mes tibias et mes fesses.
Pour les kayaks gonflables, je m'en remets à ton expérience. Je voulais simplement donner un avis pour les rigides. (Un peu hors sujet).
Tchô
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JayJay l'Arsouille :. Je voulais simplement donner un avis pour les rigides. (Un peu hors sujet).
tu as bien fait !!! il ne faut pas être sectaire, il est toujours bon et instructif de discuter et de transmettre sa manière de voir les choses.
@+
si tu passes près de Perpignan, tu me préviens on se fera une sortie avec le K2 par tout temps, on va s'amuser !
J'ai tout ce qu'il faut : les jupes, les pagaies en fibre, les gilets (des hiko top moumoute achetés en tchéquie), le sac étanche, du ricard...
tchô
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JayJay l'Arsouille :gilbert corbières :
tu as bien fait !!! il ne faut pas être sectaire, il est toujours bon et instructif de discuter et de transmettre sa manière de voir les choses.
@+
si tu passes près de Perpignan, tu me préviens on se fera une sortie avec le K2 par tout temps, on va s'amuser !
J'ai tout ce qu'il faut : les jupes, les pagaies en fibre, les gilets (des hiko top moumoute achetés en tchéquie), le sac étanche, du ricard...
tchô
du Ricard !!!! :snif:
avec la région où nous sommes...!!!!
toi les P/O et moi l'Aude et avec le nom que je porte , pas question!!!!!
du muscat, du banyuls, du corbières, du minervois , de la carthagène ok , mais du R.... Brrrrrrr!!!!!!
Comment ça, tu n'aimes pas le ricard ?!!! C'est bien triste ! :p
C'est ton droit !
Il n'y a pas qu'à Marseille qu'il fait beau et chaud, dans les PO aussi (ainsi que le vent), donc c'est un bon endroit pour boire du ricard ! (Tu remarqueras la perspicacité de mon argumentation )
Mais t'inquiètes pas, j'ai aussi du banyuls et du muscat, du...
Par contre, je n'ai pas de corbières ! J'espère que tu ne m'en voudras pas !
J'ai pas encore entamé la bouteille de ricard que je suis allé chercher à Portbou en vélo depuis Perpignan. Mais je peux te garantir que je vais savourer la quintessence de chaque goutte de ce fabuleux nectar (c'est mon avis) !
A part ça, j'ai la montée du canigou en vue. Comme je ne veux pas utiliser de voiture (question de principe), je compte y aller en train (avec mon vélo) à Villeneuve de Conflent. De là, je vais grimper en vélo en passant par fillols jusqu'au refuse à 2150m. Ensuite, je monte à pieds jusqu'au sommet ! Et je redescends en passant par la crête du barber pour retrouver mon compagnon d'aventures, à savoir mon tendre vélo. Pour ensuite redescendre soit sur Villeneuve soit sur Prades.
Tchô
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...A part ça, j'ai la montée du canigou en vue. Comme je ne veux pas utiliser de voiture (question de principe), je compte y aller en train (avec mon vélo) à Villeneuve de Conflent. De là, je vais grimper en vélo en passant par fillols jusqu'au refuse à 2150m. Ensuite, je monte à pieds jusqu'au sommet ! Et je redescends en passant par la crête du barber pour retrouver mon compagnon d'aventures, à savoir mon tendre vélo. Pour ensuite redescendre soit sur Villeneuve soit sur Prades...
n'oublie pas de nous faire des photos et de les mettre ici dans les récits de voyages.
ça me ferait plaisir de découvrir ce coin
Jérôme
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JayJay l'Arsouille :...A part ça, j'ai la montée du canigou en vue. Comme je ne veux pas utiliser de voiture (question de principe), je compte y aller en train (avec mon vélo) à Villeneuve de Conflent. De là, je vais grimper en vélo en passant par fillols jusqu'au refuse à 2150m. Ensuite, je monte à pieds jusqu'au sommet ! Et je redescends en passant par la crête du barber pour retrouver mon compagnon d'aventures, à savoir mon tendre vélo. Pour ensuite redescendre soit sur Villeneuve soit sur Prades...
n'oublie pas de nous faire des photos et de les mettre ici dans les récits de voyages.
ça me ferait plaisir de découvrir ce coin
Jérôme
Salut
Récit : (j'ai essayé de lui donner une petite touche romanesque pour qu'il soit plus agréable à lire...)
Je l'ai fait dimanche dernier ! J'avais décidé de faire ça quand j'étais au boulot ! En effet, en ce moment je travaille sur le chantier de la LGV qui doit relier à terme Perpignan à Barcelone. Je travaille vers le Boulou ! Donc toute la journée au boulot, je vois le Canigou ! Alors vendredi dernier, je me suis dit : "Jérôme, pas encore allé tu n'y es, y remédier tu dois !"
En rentrant du boulot (vendredi 24 août 2006 à 15h, merci les 35h ), j'attrape la carte IGN de mes parents intitulé "Masif du Canigou", regarde par où je peux partir et passer en vélo...
Ensuite je regarde la météo pour le WE : samedi nuageux, dimanche belles éclaircies. Ni une ni deux, je commande les billets pour l'aller (Perpignan - Villeneuve de Conflent). Le site de la sncf ne proposant pas de trajet jusqu'à Villeneuve de Conflent, je dois me rabattre sur Prades, m'ajoutant au passage 100m de Dénivelée+ et 1,5 km de montée en plus ! Plus à ça près, après tout !
Dimanche matin, lever à 6h40 ! Pas bien dormi ! Je doute un peu devant l'effort qui m'attend, d'autant plus que je n'ai aucune préparation physique mis à part les 40km de route de la veille. Arrivé devant la gare de Perpignan, je décide de rentrer comme un grand directement sur mon vélo ! Et là c'est le drame ! A 2 mètres de l'entrée de la gare se trouvent des bornes en béton d'une longueur de 2mètres et d'une hauteur d'une vingtaine de centimètres ! Arrivant remonté à bloc devant ce défi sportif, j'aborde l'entrée de la gare concentré comme jamais en regardant directement le panneau affichant les quais ! Je sens d'un coup la roue avant du vélo qui se bloque, l'arrière du vélo se soulève comme lorsque je m'amuse à faire des roues avant pour m'amuser (très fréquent) ! Sauf que là c'était pas trop prévu ! J'arrive à me rétablir j'ne sais comment ! Ca commence bien ! En plus le train est remplacé par un bus, je retire les billets au guichet automatique et me mets à la recherche du bus ! Le parking de la gare étant en travaux, je fais tout le tour de la place pour finalement m'apercevoir qu'il se situait à 30 mètres à gauche de l'entrée de la gare ! Le conducteur très cool accepte que je mette mon vélo dans une soute rien que pour moi sans même controler mon billet !
J'arrive à Prades à 8h31 (altitude 350m), je monte mon fidèle destrier, tendrement appelé pour l'occasion Bubulle ! Direct ça monte, hop hop hop, après 11 km de montée sur la route traversant deux villages très mignons et serpentant dans la montagne, j'arrive à Fillols charmant patelin ! 750m d'altitude ! 400m de D+ avalés en 50 minutes à un rythme de sénateur aux alentours de 15km/h !
Les deux premiers kilomètres du sentier menant au chalets des cortalets sont assez roulants, pas cassants mais assez pentus !
Après et jusquà la fin (c'est-à-dire sur encore 14km), le terrain est assez cassant avec une pente aux alentours des 9% et par moment bien plus ! A mi-chemin du sentier, gros coup de barre, gros mal de dos (forcement avec un sac de 9 kilos, ça n'arrange rien). Pendant ce coup de moins bien, je sens l'air s'échapper de mon pneu avant. Le pneu se dégonfle mais me permet encore de rouler sur 500 mètres. Finalement, la crevaison arrive au bon moment. J'attends que le peu de préventif restant dans mon pneu fasse effet, je regonfle le pneu et je mange mon super mega casse croute préparé avec amour le matin à 6h45. Après 30 minutes de digestion et de contemplation du panorama, je repars. Ca va mieux. Le coup de barre est parti ! Toujours mal aux dos mais ça va ! Le mal de cuisses commence à arriver ! Deux 4*4 me doublent dans la montée ! J'arrive enfin au chalet des cortalets après 2h15 de montée dans le sentier. Ce qui me fait 3h05 de montée non stop, soit 27 km (11 + 16), et 1800m de D+ (400m + 1400m). J'en ai quand même bien chié pour en arriver là ! Mais j'en ai gardé encore pas mal sous les pédales et les pieds !
Arrivé au Chalet, j'attache consciencieusement mon vélo à un panneau, puis prends le temps de taper un brin de causette avec quelques chevaux (et oui c'est un don rare que je possède, je parle cheval) pour qu'ils ne bouffent pas mes pneus mais pour qu'ils gardent mon vélo, je fous mes chaussures de rando (des Merrel Chameleon Wrap achetés en Rép. Tchèque en solde et super pas chers mais super confortables), enlève mon cuissard, met mon short, mange 2-3 barres de céréales... et commets une faute tactique. En effet, j'achète 3 litres d'une eau minérale catalane. L'erreur n'est pas que l'eau soit d'origine catalane mais... je vais m'allourdir au moins d'une bouteille que j'aurais pu acheter au retour de la marche. Tant pis, c'est fait !
Après avoir donné les consignes de sécurité aux chevaux, je pars à la conquête du pic du canigou avec mes petits pieds. 637m de D+ me séparent du sommet, tayo tayo ! Au fur et à mesure de l'ascenscion, la température ne descend pas vraiment. Le petit vent qui souffle est même chaud. Je me suis timballé pour RIEN une veste GoreTex, ainsi qu'un coupe vent de vélo, et... ! Tant pis. Mais heureusement, mon t-shirt respirant d'une célèbre marque suédoise marche du tonnerre !
Après 1h30 de marche depuis le Chalet, avec un mal de cuisses constant (la petite pause octroyée à l'arrivée au chalet m'a un peu coupé les pattes mais bon faut bien que je profite du paysage, de l'ombre des arbres...) je parviens finalement au sommet du pic du canigou (2784m d'altitude) ! Yeah ! VICTORY ! J'ai réussi, youhou ! Je contemple le paysage non sans un peu de fierté ! Dommage qu'il y ait un peu de brume m'empêchant de prendre de belles photos avec des montagnes bien visibles ! Tant pis, à l'oeil on voit super bien !
Je redescends au chalet en un peu moins d'une heure ! Maintenant, je le sais ce n'est que du bonheur, 26km non stop de descente rien que pour bibi ! Héhé ! Je remets mon cuissard, mon casque (que je n'ai pas mis à l'allée) et mes chaussures de vélo ! Il est 16h15 quand j'enfouche la bête ! Je décide de redescendre par le même chemin par lequel je suis monté, par soucis d'optimiser le plaisir de descente (mais aussi car l'autre chemin que je comptais prendre à l'ébauche de ce projet n'est pas en totalité sur la carte ign en ma possession - à savoir redescendre sur Estoher puis rejoindre Vinça !) Connaissant la descente, je vais pouvoir y aller comme un porc !
Mon objectif : choper le train de Prades de 17h10 en trouvant la gare et en m'arrêtant en route à St Michel de Cuxa pour admirer sa belle abbaye ! Dès le départ, je suis applaudi, que dis-je ovationné par les huits premiers randonneurs pédestres (et les seuls de la descente) voyant un gars assez fou pour venir ici en vélo et entamant la descente au taquet. Je descends à fond à fond à fond comme Alesi (avec une pointe à 51km/h sur un terrain cassant avec une grosse sueur froide à un moment), j'ai des crampes dans les doigts mais je m'en fous ! Youhou ! Je double les 4*4 les uns après les autres ! Les randonneurs transportés par les 4*4 sont ahuris à chaque fois de voir un taré en vélo qui tient pas à sa vie ! A l'arrivée dans un virage en lacet, un 4*4 cabriolet m'ayant vu se met sur l'extérieur du virage ! Et là sous les applaudissement des randonneurs dans le 4*4, je sors la plus belle trajectoire de ma jeune vie, puis relance dans la foulée en sortie de virage ! J'arrive à Fillols au bout de 30 minutes (un peu moins) à plus de 32 de moyenne. J'entame ensuite la descente sur la route, fais une petite halte de 5 minutes pour profiter de la beauté de l'abbaye !
Arrivé à Prades, il ne me reste plus qu'à trouver la gare ! Je trouve un panneau Gare SNCF ! Puis ensuite, ben plus de panneau ! Gauche ou droite, une chance sur deux ! A ce moment-là, j'aperçois le train qui passe devant moi ! C'est celui-là, m'reste plus qu'à le suivre ! Malgré le mal de cuisses, je m'arrache et parvins à choper le train ! Finalement j'aurai mis 48 minutes pour descendre ce que j'ai monté en 3h05 (sans compter la marche). Mais ça valait franchement le coup ! Dommage que je sois obligé de ne pas faire beaucoup de pause pour ne pas me couper les jambes !
J'arrive chez moi peu après 18h avec une nouvelle semaine de travail qui m'attend !
Voici quelques photos !
Au refuge de Batalg ou Balatg ou...
Au ras des Cortalets
Bodyguard de mon vélo
En route vers le Canigou
Le Canigou à portée de vue
Le sommet du Canigou ou Canigo
En espérant que ce récit romanesque vous ait plu, je vous souhaite une bonne soirée !
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J'ai lu dans l'article de Gaël Auffret qu'il est conseillé de s'attacher en mer afin qu'en cas de chavirage, le KG ne soit emporté en dérive par le vent. Par contre, le vendeur me dit exactement le contraire, prétextant que l'on pourrait s'emmêler le corps dans l'attache avec des conséquences encore plus graves. Je suis perplexe ! Que conseillez-vous ?
Merci d'avance, bien cordialement, Marc.
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