Le VNIste, le Vélo et le Chariot
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Le vélo me sert essentiellement à rejoindre un fleuve depuis l'Alsace, en tractant le bateau.
Soit la Saône->Rhône, le Rhin et la Loire que j'ai déjà navigués.
Il me reste un 4ème fleuve à découvrir : le Danube.
Une fois arrivé au fleuve sélectionné je renvoie généralement le Dahon par la poste.
La taille et la pliabilité permettent cela aisément.
Mais je peux aussi le charger sur le bateau (pas encore essayé en mer, ce qui ne me tente guère eu égard aux conditions de navigation, et puis exposer de la belle mécanique au sel...).
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.
Ca doit pas aller bien vite en montée... mais qu'importe quand on a le temps !
Sûr !
Par contre dès que ça descend...
Merci à tous pour les éloges.
BFM va encore rougir de plaisir !
Le voici d'ailleurs dans 2 autres config. :
1) En mode 'habitable'
2) Dans la dernière version 'avec grands stabilos'
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Photo prise par Les Kanaky's :
Et ce n'est pas fini, puisque c'est une affaire qui marche (qui roule surtout) à merveille
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GPV (Génial Petit Vélo) nous a amenés au bord de l'Océan après quelques 1.600 km en mode VéloBato (le vélo mène l'attelage - PTR > 200 kg) depuis l'Alsace.
BFM (By Fair Means - mon bateau à pédales Hobie) ne s'est pas trop fatigué jusqu'à présent : 140 km seulement en mode BatoVélo (le bateau navigue et porte la charge), mais c'est lui qui va prendre les manettes puisqu'il est enfin arrivé à la mer !
Mgk (membre du forum) a pris cette photo à Lacanau-Océan ( la mer y est exceptionnellement plate).
Les pluies abondantes ont gonflé les cours d'eau dans le Sud-Ouest : la remorque qui flotte (et qui soulève l'arrière du vélo tandis que l'avant touche le fond du gué) c'est vraiment cool !
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Mon épouse m'a envoyé par la poste des flotteurs gonflables.
J'ai perdu en stabilité ce que j'ai gagné en poids et en ergonomie.
Toujours ces fameux (meilleurs) compromis à trouver...
J'ai une photo du bateau flotteurs montés pendant la traversée pointe de Grave - La Palmyre.
Je ne dispose toutefois pas des ressources pour la publier ici.
L'arrivée à La Palmyre fut épique.
Une fois BFM planté au milieu d'un hectare de vase (j'ai quitté le chenal pour prendre un raccourci mais avec un coeff de 100 le niveau d'eau baisse à une vitesse impressionnante), j'ai dû attendre 5 heures sous la lune et les étoiles que la mer, revenue avec le flot, me permette de débarquer !
Là au moins, t'es sûr que personne viendra t'emmerder pendant que tu essaies de pioncer le moins mal possible
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Le vélo est à présent arrimé à l’arrière.
Cela réduit la prise au vent sur l’avant.
La prochaine adaptation (imminente) va consister à déplacer le top case avant et le placer entre les deux autres pour la même raison.
Les photos suivantes ont été prises par mon ami Jean-Luc sur l’Erdre, une magnifique rivière qu’il me fait un peu plus découvrir chaque fois que je vais le visiter.
Associer un vélo et un bateau est fantastique.
Cela étend considérablement le rayon d’action.
Je n’avais jamais embarqué mon vélo en mer jusqu’à présent.
Avoir sauté le pas ne cesse de m’épater.
Que celles et ceux qui aimeraient creuser le sujet n’hésitent pas à me contacter !
Joyeux sourire de Paimboeuf, une escale parmi d’autres durant mon tour 2012.
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Ca fait plaisir de te voir aussi dans carnet d'aventure, savoir !!! peut etre bientot un article !!!
ca serait trop trop bon de lire tes aventures
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Pour la saison froide et humide le chariot peut aussi ressembler à ça :
c'est quoi l'intérêt par rapport à une tente ?? tu roules avec la toile monté ? y aurait pas comme qui dirait une certaine prise au vent ? par contre si c'est pour attirer les curieux çà le fait
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c'est quoi l'intérêt par rapport à une tente ?? tu roules avec la toile monté ? y aurait pas comme qui dirait une certaine prise au vent ? par contre si c'est pour attirer les curieux çà le fait
Les poncifs et le sarcasme sont ordinaires.
Se faire plaisir quoiqu’en pense ou écrive autrui aussi.
La vie est formidable.
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Je rentre d’une escapade en vélo+roulotte.
Une telle roulotte, conçue d’abord pour la saison froide et humide je le rappelle, possède quelques atouts dans son jeu :
-Les journées étant courtes, on peut malgré tout rouler tard puisque dénicher un lieu d’étape pour la soirée et le dodo est très facile de nuit ; on s’arrête quand en vient l’envie ; on balance une poignée de bois dans le brasero et la cuisine (puis la veillée au feu de bois) se met rapidement en place.
-La condensation est faible même par temps humide et t° voisine de 0. Elle disparaît entre 2 bivouacs ; l’intérieur reste bien sec.
-En cas de grosse saucée à découvert l’abri est immédiatement prêt. Ceci dit, j’emporte un parapluie pour cette éventualité (et aussi en cas de balade à pied loin de la roulotte).
-La levée du camp est très rapide et ne passe pas par la case ‘gestion de la tente humide, voire boueuse’.
-Les enfants l’adorent.
-Sur route les bagnoles lui manifestent plus d’égard qu’à un simple vélo.
-Elle passe bien dans les chicanes ordinaires des pistes cyclables.
-La tracter sur le plat est un jeu d’enfant.
-Emporter le nécessaire à ses hobbies pour occuper les longues soirées d’hiver est une simple affaire de conception (l’intégrale de Gérard de Nerval, le piano, le violoncelle et la lunette astronomique devraient faire l’objet d’une étude passionnante
)
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Flo :il se pose tout de même le problème du vent non ?
Non
C'est un peu court comme réponse..., c'est quoi le truc ? tu peux rabattre les parois comme une caravane pliante ?
Née dans la vallée du Rhône, je ne me vois pas circuler avec un tel attelage, y'a pas vent en Alsace ? ou tu attends qu'il tombe
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Les problèmes comme la vision de la vie.
Voici comment j'ai interprété ton 'problème du vent' :
- Résistance à l'avancement.
- Risque de renversement par fort vent traversier.
J'ai répondu 'Non' car :
- La vitesse en voyage n'est pas une vraie préoccupation pour moi. Le 'carpe diem' me convient très bien. Et le 'qui va piano va sano' aussi. D'autant que je m'arrête plutôt souvent pour observer, photographier, parler à l'Autre quand il en a l'envie. Quand j'étais jeune et beau je fonçais. Maintenant (alors que je ne suis plus que 'et') je me préoccupe surtout de l'instant présent et beaucoup moins du "tout à l'heure" et, bien entendu, du "lendemain". Alors le nombre de km dans la journée (je sais quand même en faire plus de 100 avec les 130 kg de mon bateau aux fesses) est-ce cardinal durant un voyage ?
- Je suis convaincu qu'un vrai coup de Mistral saurait renverser la roulotte. J'attends d'avoir testé pour pouvoir préciser à partir de quelle Force (selon Beaufort). Mais rien oblige à circuler quand les conditions ne sont pas 'plaisir' ; cela nous renvoie au point précédent.
- Au vent portant la roulotte accélère. Cela permet aux adeptes de la vitesse de ne circuler que 'vent arrière'. Tu imagines un voyage en roulotte sur le thème 'nez sous le vent' ? Je suis sûr que cela serait plein d'inattendus et donc très rigolo.
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Marrant le RMU !!! Je voudrais bien d'autres photos sous d'autres angles ! (et de la caravane aussi).
Je ne fais pas beaucoup de photos en ce moment.
Une autre fois, donc.
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Ce dernier, tracté en remorque, consiste par exemple en :
- Matériel d’escalade ou spéléo
- Canoë ou kayak
- Pulka + tipi, poêle à bois, skis, …
- Parapente + équipement de vol sur site ou cross
- Deltaplane
- Matériel de plongée
- Caravane UL avec table, chaises, plumard, cuisinière à bois, parasol, piscine gonflable
- Etc…
Concernant ce convoi, 2 points sont très importants :
- La liaison vélo-remorque
- Le dispositif de roulage de la remorque que nous appellerons ‘chariot’ pour simplifier
La liaison vélo-remorque doit être :
- Solide
- Ergonomique
- Polyvalente
Sur la base de mon expérience je recommande :
- Le dispositif ‘Urban System’ de KlickFix + la boule RadicalDesign coté vélo
- L’attache RadicalDesign coté remorque
Urban System monté sur un porte-bagages
Boule montée sur plaque ad hoc
Plaque clipsée sur l'Urban System
Attache côté remorque
Lien vélo-remorque en place
Le chariot de la remorque doit être :
- Solide
- Très roulant (faible résistance à l’avancement)
- Facile à entretenir
Je recommande des roues à axe-fusée-broche à billes et roulement top qualité.
Je n’ai pas d’action chez RadicalDesign mais c’est là que j’ai trouvé chaussure à mon pied ou plutôt les (bonnes) roues pour mes chariots.
Les pièces ne sont pas spécialement bon marché mais l’approvisionnement est très simple et les délais très rapides.
Concernant le dispositif de fixation des roues cela va du simple essieu à la pièce plus ou moins travaillée pour l’adapter à un objet donné.
Essieu simple
Exemple de support de roue pour un bateau en polyéthylène
Ensemble prêt à partir en VNI
Pour preuve de l’efficacité de ce genre de solution, avec un poids vélo+remorque > 140 kg :
- J’arrive à atteindre 55 km/h dans les descentes (en montée, heu...
- J’ai réalisé des milliers de km.
- Je ne suis vraiment pas un athlète.
- J’aurai (très) bientôt 60 ans (tin, la vie passe vraiment vite :/ ).
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