Traversée du Vercors en ski pulka
Randonnée classique, avec quelques petites variations pour sortir des traces !
Des paysages grandioses, dignes des grands espaces plus au nord.
Départ de Correncon, histoire d'avoir le petit vent de nord annoncé dans le dos. Arrivée au Col du Rousset 3 jours plus tard.
PS : j'ai eu la chance de croiser une raquettiste qui allait dans l'autre sens, et qui avait laissé sa voiture au Rousset. Elle cherchait un moyen pour retourner à sa voiture, du coup je lui ai laissé mes clés et j'ai retrouvé ma voiture à mon arrivée à Rousset (bonne pioche, merci Coline).
Des paysages grandioses, dignes des grands espaces plus au nord.
Départ de Correncon, histoire d'avoir le petit vent de nord annoncé dans le dos. Arrivée au Col du Rousset 3 jours plus tard.
PS : j'ai eu la chance de croiser une raquettiste qui allait dans l'autre sens, et qui avait laissé sa voiture au Rousset. Elle cherchait un moyen pour retourner à sa voiture, du coup je lui ai laissé mes clés et j'ai retrouvé ma voiture à mon arrivée à Rousset (bonne pioche, merci Coline).
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour 2 (mise à jour : 13 févr. 2018)
Distance section :
13.7km
Dénivelées section :
+518m /
-368m
Section Alti min/max : 1564m/1919m
Le compte-rendu : Jour 2 (mise à jour : 13 févr. 2018)
Et le lendemain, effectivement, c'est grand bleu. Le soleil réchauffe après une nuit à peine fraîche (-7°C indiqué sur le smartphone).
Huuummmm, ça va être bon !
Huuummmm, ça va être bon !
Le passage sous le Grand Veymond est grandiose.
Tellement attiré par les crêtes, je fini par dériver inconsciemment vers le Pas des Chattons. Ce passage n'est pas garanti avec la pulka, parce que c'est une sorte de petit goulet que l'on aborde en traversée. Si la neige est dure, ça peut être assez acrobatique. Mais là, les conditions sont bonnes. Il faut forcer un peu, mais ça le fait.
Tellement attiré par les crêtes, je fini par dériver inconsciemment vers le Pas des Chattons. Ce passage n'est pas garanti avec la pulka, parce que c'est une sorte de petit goulet que l'on aborde en traversée. Si la neige est dure, ça peut être assez acrobatique. Mais là, les conditions sont bonnes. Il faut forcer un peu, mais ça le fait.
Je débarque sur les Rochers du Prayet avec vue imprenable sur le Grand Veymond, l'aiguillette du Veymond, le Mont Aiguille. Et en plus, pas de vent, et un soleil qui commence à baisser à l'horizon, laissant apparaître les belles lumières rasantes.
Le soleil va bientôt disparaître derrière les nuages qui arrivent par l'ouest, je pose ma tente peu après la Jasse de Peyre Rouge (qui est privée et fermée).