Testé dans le test de gamme suivant :
Quel matériel pour purifier et transporter l’eau en voyage ? | mis à jour 28/03/2023 | Anthony |
Voyons d’emblée les avantages de ce réservoir :
Et quelques bémols :
Rangement : pour transporter le système, on démonte l’ensemble filtre + tuyau. Dommage qu’une petite poche de rangement ne soit pas fournie pour stocker ces éléments, notamment le filtre (qui stocke toujours un peu d’eau, et que l’on souhaite protéger).
La durée de vie du filtre est annoncée à 2000 L. À un rythme de 2L/jour, cela reviendrait à un voyage de presque 3 ans ! L’entretien se fait par rétrolavage, avec une seringue fournie (22g). Notons que celle-ci a particulièrement été améliorée dans la dernière version de la gamme Peak : plus légère et plus compacte, elle dispose d’un pas de vis adapté pour se fixer directement sur le filtre. Ainsi, l’opération de rétrolavage s’effectue en un tournemain.
Stockage : pour un stockage long (plus de 3 mois), comme tout filtre léger, il est recommandé de rincer intégralement le filtre avec une solution d’eau de Javel, afin d’éviter le développement de moisissure. Lifestraw propose une alternative, en utilisant une solution d’eau salée (expliquée dans la notice). Ensuite, intuitivement, je croyais qu’il suffisait de le faire sécher parfaitement… Surtout pas ! La membrane, si elle s'assèche, bloque le passage de l’eau et le filtre devient inopérant. Que ce soit une solution salée ou à base d’eau de Javel, il faut stocker le filtre imprégné par cette solution.
Le réservoir Peak est également décliné en version 8L.
- Polyvalence : la filtration est amovible (filtre+tuyau), remplaçable par un bouchon fourni. On peut ainsi utiliser le réservoir comme une simple vache à eau.
- Durabilité : encrassé ou en fin de vie, le filtre peut être remplacé seul. C’est d’ailleurs le moins cher du marché (25€).
- Facile à installer, avec sa sangle équipée d’un mousqueton. Dommage qu’elle ne soit pas amovible (dans le cas où l’on souhaite s’en servir comme une vache à eau).
- Tuyau : il est assez long (1,2m), et la valve-robinet s’opère facilement à une main (notamment pour couper l’eau)
Et quelques bémols :
- Goût : pas de miracle, le réservoir – en TPU – donne un goût marqué à l’eau.
- Réglage : il manque un petit système pour ajuster la hauteur du tuyau (un petit blocage au niveau du bouchon par exemple).
Rangement : pour transporter le système, on démonte l’ensemble filtre + tuyau. Dommage qu’une petite poche de rangement ne soit pas fournie pour stocker ces éléments, notamment le filtre (qui stocke toujours un peu d’eau, et que l’on souhaite protéger).
La durée de vie du filtre est annoncée à 2000 L. À un rythme de 2L/jour, cela reviendrait à un voyage de presque 3 ans ! L’entretien se fait par rétrolavage, avec une seringue fournie (22g). Notons que celle-ci a particulièrement été améliorée dans la dernière version de la gamme Peak : plus légère et plus compacte, elle dispose d’un pas de vis adapté pour se fixer directement sur le filtre. Ainsi, l’opération de rétrolavage s’effectue en un tournemain.
Stockage : pour un stockage long (plus de 3 mois), comme tout filtre léger, il est recommandé de rincer intégralement le filtre avec une solution d’eau de Javel, afin d’éviter le développement de moisissure. Lifestraw propose une alternative, en utilisant une solution d’eau salée (expliquée dans la notice). Ensuite, intuitivement, je croyais qu’il suffisait de le faire sécher parfaitement… Surtout pas ! La membrane, si elle s'assèche, bloque le passage de l’eau et le filtre devient inopérant. Que ce soit une solution salée ou à base d’eau de Javel, il faut stocker le filtre imprégné par cette solution.
Que ce soit pour l’entretien ou le stockage, il est vivement conseillé de lire la notice à tête reposée (oui, c’est utile les notices ). Ceci afin d’éviter d’endommager le filtre prématurément !
Le réservoir Peak est également décliné en version 8L.
Fin Mosaic
Caractéristiques générales
Poids total (constaté) : 240 g
Seringue de rétrolavage : 22g.
Pays de fabrication
Corée du Sud
marque :
Lifestraw