Différences entre le Baraka et le Scout river de Gumotex
Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
Les boudins du baraka ne gêne en rien la pagaie. Cependant, en pagaie double je recommande des longueurs supérieures à 2m10.
Je ne trouve pas l'assise particulièrement basse sur le baraka. On se positionne assis ou à genoux également.
Pour du solo, le baraka fait l'affaire. Le scoot n'est-il pas trop grand ?
Solidité rien à dire pour le moment. Le constructeur déclare qu'il est adapté jusqu'à C4. Le mien à percuté pas de mal de rochers sans soucis.
J'apprécie beaucoup sa maniabilité en eaux vives.
Pour de la petite balade, le baraka s'utilise en trois places. ( mais le boudin central devient vite inconfortable )
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La preuve en photo
Pour ce qui est de la différence entre le baraka et le scout river... il y en a beaucoup !
Pour faire simple, je dirais que le scout river est un vrai canoé avec une glisse moindre par rapport au rigide, ainsi que son volume d'emport du aux boudins gonflables.
Pour ce qui est du Baraka, je crois qu'il est plus taillé pour l'eau vive et peut être utilisé à la double pagaie (de kayak) comme beaucoup le font par ici avec ce genre d'engin.
Si tu veux voir plus de photos : https://picasaweb.google.com/106963741614474161180/CanoeScoutRiverGumotex
Et n'hésites pas pour d'autres question
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Grégoire, qu'en est-il de la navigation en solo avec le Scout ? n'est-il pas trop long, trop lourd et est-il bien manœuvrable ?
Est-il possible d'adapter sur les deux une dérive ?
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Pour faire simple, je dirais que le scout river est un vrai canoé avec une glisse moindre par rapport au rigide, ainsi que son volume d'emport du aux boudins gonflables.
Pour ce qui est du Baraka, je crois qu'il est plus taillé pour l'eau vive et peut être utilisé à la double pagaie (de kayak) comme beaucoup le font par ici avec ce genre d'engin.
Gregoire a très bien résumé ces différences, je rajouterais que la maitrise d'un CG en solo est beaucoup plus laborieuse qu'en KG (et ce n'est pas spécifique au scout)
Pour ce qui est de la glisse, il fait bien être conscient que ce n'est pas une qualité première des gonflables toutes marques confondues, des lors que cela devient un critère de choix , il faut se tourner vers des rigides.
Une dérive n'a d'utilité que pour une embarcation mue par une pagaie double( kayak), dans le cas d'une pagaie simple(canoé), c'est celle-ci qui corrige la trajectoire (col de signe), dans le cas du scout, sa construction spécifique canoé n'a pas besoin de cette appendice.
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Après cela, nous partirions dans des discours de préférence par rapport à soi et lieu de pratique.
Pour ma part une dérive n'a de valeur qu'en mer pour infléchir l'effet du vent sur le bateau
Le gouvernail ne sert que pour les gros gros bateau, sous voile ou ceux qui ne savent pas pagayer...
Pour ma part, le canoé seul m'est confortable que si j'ai un minimum de courant... Et sans courant, c'est pour de la petite balade et je ne fais pas plus de 10km... pour être fourbu à la fin.
A deux c'est différent, beaucoup plus simple et moins fatiguant.
Et pour info, pratiquant souvent seul je préfère le kayak rigide. Quand c'est à deux pour 20 à 30 km sur canaux et que l'on a envie d'un 7km/h : c'est en kayak... la voile aussi.
Dany me disais à l'époque qu'il avait craqué pour le canoé car sa pratique s'apparentait plus à de l'art qu'a du simple déplacement tel le kayak. Il a raison et je le rejoint même si il y va un peu fort dans la comparaison à mon gout. Le coup de simple pagaie est très intéressant, multiple, technique.... à la différence du kayak qui sans sa maitrise, t'empêcheras d'aller bien loin en canoé.
Il faut les deux
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Il est vrai que je n'ai jamais essayé le canoë... je navigue sur un solar 410 en lac, rivière et mer et j'en suis très contant. Je me renseigne pour acheter un canoë pour mon frère qui est en Guyane pour une pratique en rivière plus ou moins calme. Pour de la pratique en solo, il possède actuellement un kayak Nautiraid bois, effectivement bien plus glissant.
Bonne journée.
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Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
Inscription : 25/03/2007
Lieu : Chateaudun - vallée du Loir
Guyane : jungle mangrove branches = ennemie du gonflable ?
voir les posts de cariacou qui connait cette région de mémoire.
J'ai effectivement eu l'occasion d'utiliser plusieurs types de gonflables pour des expéditions en Guyane :
Zodiac Jumbo, Gumotex Orinoco , et un Aquadesign...
Les branches cassées présentant des brisures pointues, sont effectivement un danger pour ce type d'embarcation. Mais en naviguant avec prudence on peut les éviter.
Autre ennemis des gonflables les épines, celles de lianes épineuses appelés "griffes de jaguar" et celles des bambous.
Par contre les gonflables se comportent biens dans les rapides, ils pardonnent plus de fautes, et ne craignent pas les roches qui sont en générale arrondies, et ont tendances a amortir des impacts qui seraient plus graves en rigide.
Autre point ou il faut être très vigilant : le surgonflage.
Dans les parties dégagés ou le soleil tape, ne pas hésiter a dégonfler les boudins, surtout lors des pauses.
Lors de ces expéditions nous avons subit une crevaison et une déchirure.
La première due surement a un épineux (trou minuscule réparé au bivouac de la soirée)
La deuxième, déchirure importante du boudin de fond d'un Jumbo. Cet incident était du a un bateau fragilisé par des années de navigations, et un équipage un peu bourrin . On a pu continuer en bricolant un peu !
En résumé : Connaissant la région et avec mon l'expérience je n'hésiterais pas a circuler sur les rivières Guyanaises avec un Scout ou un Baraka, à la condition toutefois de ne pas partir a un seul bateau, d'emmener un kit de réparation et d'emprunter des rivières connues comme étant praticables.
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Bonne journée
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Je reviens vous solliciter avant de finaliser mon achat. Je m'oriente donc certainement vers le Baraka, mais j'ai une petite inquiétude ... En cherchant sur le Net, j'ai remarqué que pas mal de personnes se plaignent de crevaisons soudaines sur les boudins en partie supérieure sans réelles explications. Pas d'épine, peut-être le soleil ? Cela me parait bizarre pour un Gumotex dont la réputation de solidité de la marque, n'est plus à faire. Pouvez-vous me renseigner ? Cela provient-il d'une mauvaise série ?
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Inscription : 17/12/2006
Lieu : Sud du Loir et Cher
Le collage s'est arraché dans une zône irréparable : pour moi c'est un défaut de conception car ce collage travaillait en arrachement.
La réparation a été prise en garantie , mais mon partenaire qui ne jurait que par des gonflables s'est empressé de le remplacer par un rigide.
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Il faut bien être conscient que le soleil est bien le pire ennemi du gonflable (toutes marques confondues).
Il faut se méfier de l'exposition (hors d'eau)qui dilate les parois et fragilises les soudures, le mieux est de ne pas sortir le bateau de l'eau, au sec, même à l'ombre d'un arbre la pression augmente quand même, de plus l'ombre tourne et il n'est pas rare de le retrouver au soleil très rapidement.
Mais, avec un peu de bon sens il est toutefois facile d' en prendre soin et de parer à cet inconvénient, le dégonfler un peu est aussi une solution aux surpressions.
L'emploie d'un mano est fort utile pour en mesurer les effets.
http://www.seaeagle.com/img/Accs/Medium/SP119.jpg
Pour ce qui est des défauts sur le Baraka, j'ai l'occasion de côtoyer plusieurs utilisateurs et seul un bateau a été confronté à un problème de décollement sur un collage à sa première utilisation,(repris par la garantie).
Et là ce n'est pas le soleil qui pouvait être mis en cause (entre -2 et 18°au plus chaud)
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Il est clair que le risque d'éclatement d'un gonflable au soleil est réel, compte tenu de la dilatation importante de l'air à la chaleur.
Mais je me demande si le Baraka n'est pas plus fragile que le Solar notamment. Y a t-il une différence d'épaisseur du tissu entre les deux et également une différence de conception du collage?
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http://helmi-sport.eshop.t-online.de/WebRoot/Store2/Shops/Shop40733/4BB2/17B8/7104/EF09/6240/AC14/504B/1905/Palava-2012-cl.jpg
Pour ta comparaison entre Baraka et Solar, je n’ai pas de réponse, mais je ne pense pas qu’il y ai réellement une différence notable sur cette base, sachant que j’ai croisé beaucoup plus de Baraka que de Solar sur l’eau, la probabilité statistique d’incidents est donc forcement au désavantage du Baraka.
Au delà de cette seule comparaison, ta question soulève un problème que tous les possesseurs de gonflables ont eu à gérer dés la première mise à l’eau de leur bateau, sans entrer dans des formules savantes de physique, la Thermodynamique des gaz est une Loi simple, qu’il vaut mieux avoir à l’esprit afin de profiter longtemps de son bateau.
Par contre, ce qui n’est surtout pas très logique c’est qu’aucun constructeur ne mentionne cette indication, à part vanter les performances en termes de glisse, de stabilité, de résistance à l’impact, etc., aucun ne fait la moindre allusion à cette marge de tolérance à la rupture.
En ce qui concerne les contenants à parois rigides HP (bouteilles de plongée, ARI..) il est réglementaire (+de 4 bars) que celles-ci soient soumises tous les 5 ans à des épreuves à 150% de la pression d’utilisation
Pour ce qui est des enveloppes extensibles, la pression interne forcement en BP n’est pas uniquement liée au volume d’air (expansé) mais aussi à la nature de l’enveloppe, à sa souplesse, à son volume(en eau), à sa résistance à l’étirement, ainsi que de la configuration des formes et des collages…
Soit tout un tas de critères propres à chaque bateau qui ne peuvent être mis à l’épreuve que par des tests en conditions de laboratoire et qu’il est dommage que les constructeurs ne soit pas très enclins à communiquer, sur des résultats qu’ils ont forcément dans leurs études, sachant toutefois que l’appréciation du risque et la protection à l’exposition est une affaire personnelle.
Cela permettrait de se faire une idée les limites acceptables en situation, le seul indice qui aujourd’hui préfigure d’une bonne résistance à la pression, est la valeur de celle préconisée par le constructeur pour le gonflage (à 20°), en dessous de 3 psi(0,2B)se méfier .:/
Pour ceux qui veulent approfondir :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Boyle-Mariotte
http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Charles
http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Gay-Lussac
http://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_d'Avogadro
Quelques exemples d'une attention défaillante:
accentué par un défaut récurent (x2) sur cet ancien modèle de fond, donc -50% de ma faute, remplacé gracieusement sous garantie depuis par un fond HP 7 PSI (le top)
Même les roues du charriot sont à protégés du soleil (100% de ma faute)
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Inscription : 12/12/2010
Lieu : Loire, Auvergne et Dordogne
L'été en moins d'une minutes après sa sortie de l'eau, j'ai entendu la valve de surpression du baraka siffler.
Donc attention sur un portage qui aurait tendance à se prolonger dans le temps.
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mis à jour le 29 nov. 2012
Inscription : 03/09/2008
Lieu : 91510
La perte ou le gain est de l’ordre de 4mb par degré en plus ou en moins de 20° (température de gonflage de référence donné par les constructeurs ) donc, un boudin gonflé à 200mb placé en plein soleil (50°) ,70° en interne est très vite atteint (200mb + (50x4)=400mb), soit le double de la pression de référence !
Il serait alors en effet très tentant de placer des valves de surpressions, j’avais pensé à cette solution pour me protéger d’éventuels accidents
MAIS :
Certes elles protègent des surpressions (les tester jusqu’au déclenchement lors du gonflage), mais elles ont l’inconvénient de rendre le bateau toujours mou (voir le fond de ceux qui en sont équipés).
Exemple : pour une température de l’air de 20° (° de référence), celle de l’eau de 10° Un Baraka gonflé sur la berge jusqu’à déclenchement de la valve affiche au mano 200mb (3psi, soit la pression normale d’utilisation préconisée), mis à l’eau le mano n’affiche plus que 180mb, (4mb par degré x 5°=20mb), le fond est mou ! Et il est impossible de le sur-gonfler un peu au dessus pour contrer la baisse (valve).
En effet, si ces mêmes valves étaient mises en place sur les boudins, il faudrait alors regonfler en permanence, le bateau perdrait de son air, même en dehors du phénomène de dilatation à la chaleur, à chaque pression un peu soutenue sur les boudins (accostages, chocs avec les rochers, appuis, assises, etc.)
hors, pour être efficaces, le bateau a besoin d'une structure la moins flasque possible,donc, pour avoir cette rigidité la solution "pourrait être" alors de tarer ces valves à une valeur qui prennent en compte ces variations de pressions normales de fonctionnement.
Mais là, ça engage les constructeurs à faire des valves d’une fiabilité sans faille !!!! Qui seraient de plus, insensible à l’eau (salée), au sable, et surtout au cagnard, car c'est les boudins qui y sont le plus exposés.
Cela existe-t-il? :/
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D'où l'intéret d'avoir une petite pompe avec soi...Carlson en fait des tres bien (un peu cher mais solides) conçue pour les expés.
Je fais du rafting (professionnellement) depuis 15 ans et il m'arrive souvent d'avoir à gérer des problemes de pression, surtout dans les Alpes où les rivieres sont froides: Si je gonfle mon bateau avec de l'air exterieur à 30°C en été, puis que j'embarque sur la Romanche où l'eau est à 5°C, et ben le bateau se ramolli (et peu devenir innavigable). Si je le regonfle pour qu'il soit dur et que sa T° est à 5°C et ben il vaut mieux pas que je le laisse en plein soleil sinon gare à la hernie....
Du coup en résumé, les surpressions sont dangereuses pour les fonds et aussi pour les engins gonflables modernes à haute pression genre SUP (où il y a besoin de pression pour rigidifier). Aprés par experience, ce n'est pas la peine d'avoir le bateau "tendu à bloc". Légerement mou, il absorbera mieux les chocs, se bloquera moins sur les cailloux....Par contre trop mou, gare à la cravate et au manque de glisse. Mais bon ça dépend de la rivière et du niveau d'eau. Par exemple par gros niveau d'eau sur des rapides techniques, je ne gonfle pas trop le fond des rafts (ou des canorafts) ce qui en cas de danger en s'asseyant au fond du bateau ,permet de le rendre trés stable (en abaissant son centre de gravité) par contre les boudins latéraux restent trés gonflés...
Lorsque le niveau d'eau baisse je dégonfle un peu tout, comme ça le bateau absorbe les chocs, se bloque moins et ne rebondit pas dans tous les sens comme une balle de tennis...
Mais bon le gonflage est "tout un art", et demande de l'experience, cela peut vrament faire la difference sur des passages techniques et caillouteux...
Mais bon je suis hors sujet par rapport au baraka et au scout... Faut peut etre créer un sujet...
A bientot sur l'eau
Julien
jour-de-raft.com
voyage-kayak.com
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Je suis parfaitement d accord avec toi, qu'il faille préférer sous gonfler un gonflable sur une descente un peu hard, genre rafting (air bag).
Mais je pense que tu seras d accord avec moi que, dés que tu es sur du plus soft il est tout de même préférable de durcir les boudins pour que le bateau soit plus véloce et là, je parlais dans ce cas.
La c'est HS (désolé):
Je connais pas mal de monde sur Serre Chevalier, Manu, François, petit Phillipe.., tous monos aux Alpes d'Azur à la Salle, plus de 10 ans que j'y vais en groupe de 5 à 20
Cordialement
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Je serai intéressé par l'achat d'un canoë gonflable de chez Gumotex. J'hésite entre le Scout et le Baraka. J'ai lu quelques discussions intéressantes sur le site, mais je me pose certaines questions dont je n'ai pas trouvé réponse.
Pouvez-vous me dire s'il y à une différence importante au niveau glisse entre les deux sur plan d'eau calme ? Le Baraka semble plus lourd ?
Le Baraka possède des boudins bien plus larges que le Scout, j'ai l'impression que cela gène pour pagayer. En effet le Scout, du fait de ses boudins étroits et de son assise plus haute semble être plus pratique pour pagayer. Qu'en est-il ?
En utilisation solo, lequel est le plus adapté ?
En terme de résistance à l'abrasion, y a t-il une différence entre les deux (solidité)?
Et pour finir, quelles sont le différences de comportement en eaux vives ?
Cela fait beaucoup de questions... je vous remercie pour toutes réponses que vous pourrez m'apporter.
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