200 km de Kayak au Québec : Aventure à la conquête de la nature sauvage !
Dans notre quête incessante de repousser nos limites et de découvrir de nouveaux horizons, nous allons entreprendre une expédition en kayak bivouac de 200 km à travers les magnifiques paysages du Québec grâce à notre kayak gonflable !
Cette aventure unique nous emmènera à travers des rivières majestueuses, des lacs sereins et des canaux pittoresques, mettant en avant la beauté naturelle de la province.
Nous cherchons à explorer la nature sauvage du Canada, à défier les éléments, à découvrir des endroits isolés, et à nous immerger pleinement dans l'essence de cette région magnifique et préservée.
Comment va-t-on se rendre à 200km au-dessus de Saguenay ? En Hydravion grâce à Hydravion Québec qui nous permet d’accéder à des endroits reculés !
On part avec 10 jours de nourriture, une bombe au piment de Cayenne anti-ours et nos caméras évidemment !
Départ : Réservoir de Pipmuacan.
Retrouve les deux vidéos de l'aventure sur notre chaîne YOUTUBE NVK EXPLORE
Retrouve nos conseils ainsi que le détails de notre matériel sur notre site internet NVK EXPLORE
Cette aventure unique nous emmènera à travers des rivières majestueuses, des lacs sereins et des canaux pittoresques, mettant en avant la beauté naturelle de la province.
Nous cherchons à explorer la nature sauvage du Canada, à défier les éléments, à découvrir des endroits isolés, et à nous immerger pleinement dans l'essence de cette région magnifique et préservée.
Comment va-t-on se rendre à 200km au-dessus de Saguenay ? En Hydravion grâce à Hydravion Québec qui nous permet d’accéder à des endroits reculés !
On part avec 10 jours de nourriture, une bombe au piment de Cayenne anti-ours et nos caméras évidemment !
Départ : Réservoir de Pipmuacan.
Retrouve les deux vidéos de l'aventure sur notre chaîne YOUTUBE NVK EXPLORE
Retrouve nos conseils ainsi que le détails de notre matériel sur notre site internet NVK EXPLORE
262 lecteur(s)
-
Vue d'ensemble
Le topo : Jour 5 (mise à jour : 14 févr. 2024)
Distance section :
34.6km
Dénivelées section :
+49m /
-49m
Section Alti min/max : 292m/312m
Description :
Reservoir La Mothe / Lac du Brochet
Le compte-rendu : Jour 5 (mise à jour : 14 févr. 2024)
On s'en doute en voyant notre position sur la carte, le retour à la civilisation est pour bientôt, et nous savourons profondément tous ces derniers moments.
Les premiers coups de pagaie sur le petit lac Onatchiway sont fabuleux. L'effet miroir, cette symétrie naturelle qui donne l'impression de pagayer à l'envers : c'est splendide.
La journée se poursuit sur la rivière Shipshaw. Elle est assez large et sans rapides pour l'instant. Seul bémol comme toujours, le vent de face contre lequel on doit se battre pour avancer.
Nous adoptons tous les deux la même technique : on passe en mode Automatique. On débranche notre cerveau et on pagaie en rythme sans se rendre compte que l'on pagaie. Cette sensation est fabuleuse, elle nous propulse directement dans l'instant présent.
Après 30 km, nous entamons la recherche d'un bivouac.
On se rend compte que cela est assez compliqué pour deux raisons : le niveau de la rivière est haut, ce qui ne laisse pas de place à des plages naturelles (c'est direct une forêt dense ou des maraîchages) ou alors des pontons privés d'habitation. Après quelques kilomètres, on trouve un ponton abandonné. Tout devient aussi automatique : on pose rapidement la tente, on chauffe l'eau pour les lyophilisés, et on profite comme toujours du magnifique coucher de soleil.
Les premiers coups de pagaie sur le petit lac Onatchiway sont fabuleux. L'effet miroir, cette symétrie naturelle qui donne l'impression de pagayer à l'envers : c'est splendide.
La journée se poursuit sur la rivière Shipshaw. Elle est assez large et sans rapides pour l'instant. Seul bémol comme toujours, le vent de face contre lequel on doit se battre pour avancer.
Nous adoptons tous les deux la même technique : on passe en mode Automatique. On débranche notre cerveau et on pagaie en rythme sans se rendre compte que l'on pagaie. Cette sensation est fabuleuse, elle nous propulse directement dans l'instant présent.
Après 30 km, nous entamons la recherche d'un bivouac.
On se rend compte que cela est assez compliqué pour deux raisons : le niveau de la rivière est haut, ce qui ne laisse pas de place à des plages naturelles (c'est direct une forêt dense ou des maraîchages) ou alors des pontons privés d'habitation. Après quelques kilomètres, on trouve un ponton abandonné. Tout devient aussi automatique : on pose rapidement la tente, on chauffe l'eau pour les lyophilisés, et on profite comme toujours du magnifique coucher de soleil.