En kayak de mer de la Loire à la Manche !
En kayak de mer de la Loire à la Manche !
Périple au fil de la Loire, depuis Aurec-sur-Loire (43) jusqu'à l'estuaire à Saint-Brévin-les-Pins (44) puis le long des côtes bretonnes jusqu'à Cancale (35).
Du 16 mai 2018 au 02 juillet 2018
48 jours en solo pour un peu plus de 1600 kilomètres parcourus.
Périple au fil de la Loire, depuis Aurec-sur-Loire (43) jusqu'à l'estuaire à Saint-Brévin-les-Pins (44) puis le long des côtes bretonnes jusqu'à Cancale (35).
Du 16 mai 2018 au 02 juillet 2018
48 jours en solo pour un peu plus de 1600 kilomètres parcourus.
When : 5/16/18
Length : 48 days
Length : 48 days
Total distance :
1698km
Height difference :
+5692m /
-5700m
Alti min/max : -99m/493m
Guidebook created by Rikou
on 22 Jul 2018
updated on 04 Aug 2018
updated on 04 Aug 2018
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Global view
Guidebook : Jour 17 - 01/06/2018 (updated : 01 Aug 2018)
Section distance :
52.5km
Height difference for this section :
+78m /
-85m
Section Alti min/max : 13m/13m
Report : Jour 17 - 01/06/2018 (updated : 01 Aug 2018)
01 Juin 2018
La journée s'est distinguée par deux faits marquants.
Le premier a été la rencontre inopinée avec un chevreuil qui a traversé le fleuve de la rive gauche à la rive droite, environ 1 km avant le pont de Bellevue, au niveau de Sainte-Luce-sur-Loire.
Le deuxième a été la navigation pénible pour traverser toute la zone industrielle qui s'étend depuis l'ouest de l'île de Nantes, pratiquement jusqu'au bac de Basse-Indre. Odeur nauséabonde, eau dégueulasse chargée d'immondices, ambiance lourde et malsaine ont jalonné ma sortie de la métropole.
Et pour ajouter un peu de piment, le vent et la marée se sont alliés pour me ralentir dans ma progression. Ainsi, c'est en navigant à pas plus de 4 km/h, que j'ai fini ma journée.
La journée s'est distinguée par deux faits marquants.
Le premier a été la rencontre inopinée avec un chevreuil qui a traversé le fleuve de la rive gauche à la rive droite, environ 1 km avant le pont de Bellevue, au niveau de Sainte-Luce-sur-Loire.
Le deuxième a été la navigation pénible pour traverser toute la zone industrielle qui s'étend depuis l'ouest de l'île de Nantes, pratiquement jusqu'au bac de Basse-Indre. Odeur nauséabonde, eau dégueulasse chargée d'immondices, ambiance lourde et malsaine ont jalonné ma sortie de la métropole.
Et pour ajouter un peu de piment, le vent et la marée se sont alliés pour me ralentir dans ma progression. Ainsi, c'est en navigant à pas plus de 4 km/h, que j'ai fini ma journée.