Go West : Lyon-Le Cézallier
Une semaine de vacances non prévu à deux où nous décidons de rejoindre le Cézallier à vélo en passant par les monts du lyonnais, le forez et le livradois. Du dénivelé en perspective ainsi que la tournée des fromages

When : 4/24/21
Length : 7 days
Length : 7 days
Total distance :
369km
Height difference :
+5447m /
-5253m
Alti min/max : 171m/1364m
Guidebook created by Berlin71
on 02 May 2021
updated on 15 Aug 2021
updated on 15 Aug 2021
Eco travel
Details :
TER Clermont-Lyon
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Global view
Guidebook : Vodable-La Godivelle (updated : 15 Aug 2021)
Section distance :
23km
Height difference for this section :
+443m /
-73m
Section Alti min/max : 825m/1227m
Report : Vodable-La Godivelle (updated : 15 Aug 2021)
Un petit rayon bien timide pour le réveil (en dehors de cricri, mon rayon quotidien, hein)
Lente et belle ascension jusqu'au plateau.
Plus on monte, plus on s'ensauvage. Plus il fait froid.
4 degrés en haut et plus de 20 éoliennes qui brassent cet air glacé... On les apercevaient déjà depuis nos bivouacs en haut du Forez ces immenses monstres de fer.
La pluie forte est maintenant bien installé avec son copain le vent. On trouve refuge dans une auberge pour acheter un bout de St Nectaire, boire un chocolat chaud, mangé un sandwich "terrine cornichons" et savourer un bon café. Ça nous réchauffe et ça fait chaud au cœur de constater combien cela nous manque le rôle social d'un café-tabac-auberge, station-service dans un coin perdu.
Las, on se renseigne pour un gîte, à défaut on trouve une chambre d'hôte. Après tout, ce sont nos seules vacances avant octobre alors banco, un peu de réconfort après l'effort !
On passe un bonne soirée avec nos hôtes qui sont bien sympas, merci pour l'accueil.
Lente et belle ascension jusqu'au plateau.
Plus on monte, plus on s'ensauvage. Plus il fait froid.
4 degrés en haut et plus de 20 éoliennes qui brassent cet air glacé... On les apercevaient déjà depuis nos bivouacs en haut du Forez ces immenses monstres de fer.
La pluie forte est maintenant bien installé avec son copain le vent. On trouve refuge dans une auberge pour acheter un bout de St Nectaire, boire un chocolat chaud, mangé un sandwich "terrine cornichons" et savourer un bon café. Ça nous réchauffe et ça fait chaud au cœur de constater combien cela nous manque le rôle social d'un café-tabac-auberge, station-service dans un coin perdu.
Las, on se renseigne pour un gîte, à défaut on trouve une chambre d'hôte. Après tout, ce sont nos seules vacances avant octobre alors banco, un peu de réconfort après l'effort !
On passe un bonne soirée avec nos hôtes qui sont bien sympas, merci pour l'accueil.