GR5 - De Saint Gindolph à Briançon
Cela faisait longtemps que l'idée de faire un bout du GR5 me titillait, je me suis donc lancée cet été, d'abord avec une amie jusqu'à la Vanoise, puis seule jusqu'à Briançon.
Quand : 20/07/2017
Durée : 20 jours
Durée : 20 jours
Distance globale :
202km
Dénivelées :
+14891m /
-12667m
Alti min/max : 372m/2795m
Carnet publié par Miaq
le 09 sept. 2017
modifié le 24 oct. 2017
modifié le 24 oct. 2017
Mobilité douce
1926 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : Jour4 : Du refuge de Chesery à Samoëns (ou presque) (mise à jour : 16 sept. 2017)
Distance section :
11.5km
Dénivelées section :
+486m /
-1123m
Section Alti min/max : 1991m/2075m
Le compte-rendu : Jour4 : Du refuge de Chesery à Samoëns (ou presque) (mise à jour : 16 sept. 2017)
Du refuge de Chesery à Samoens
Il fallait s'y attendre, il s'est mis à pleuvoir très tôt le matin... on replie la tente trempée, et on va prendre notre petit dej' au refuge. On profite ensuite d'un semblant d'accalmie pour partir, mais la pluie se remet vite à tomber. On passe le col de Coux (frontière avec la France) sans voir grand-chose.
En redescendant du col, on tombe sur un ruisseau qu'on est censées traverser pour continuer. Sauf qu'avec la pluie, c'est devenu un énorme torrent, avec beaucoup de courant! Résultat, je me découvre des talents d'escalade pour trouver un endroit pour traverser plus en amont.
Une fois de l'autre côté, on a plus rien de sec. Un chocolat chaud s'impose! Ça tombe bien, le refuge de Chardonnière n'est pas loin. Une fois là-bas, on retrouve d'autres randonneurs croisés le matin au refuge, eux aussi trempés comme des souches. On apprend que deux d'entre eux on commandé un taxi pour aller à Samoens, et ainsi éviter de passer le col de la Golèse et de tout redescendre sous la flotte. Vu que la météo à l'air d'être de pire en pire, on se résigne à venir avec eux. Au final on se retrouve à six dans le taxi, qui nous ramène à Samoens, fin de cette étape assez mémorable!
(Cette étape étant assez humide, je n'ai pas pu sortir mon appareil photo, de peur qu'il meure noyé. Donc désolée pour ceux qui aiment quand il y a beaucoup d'images
Pour me faire pardonner, je vous mets cette magnifique photo d'un caneton rencontré au Lac Vert, et qui avait l'air d'être le seul à apprécier la météo
)
Il fallait s'y attendre, il s'est mis à pleuvoir très tôt le matin... on replie la tente trempée, et on va prendre notre petit dej' au refuge. On profite ensuite d'un semblant d'accalmie pour partir, mais la pluie se remet vite à tomber. On passe le col de Coux (frontière avec la France) sans voir grand-chose.
En redescendant du col, on tombe sur un ruisseau qu'on est censées traverser pour continuer. Sauf qu'avec la pluie, c'est devenu un énorme torrent, avec beaucoup de courant! Résultat, je me découvre des talents d'escalade pour trouver un endroit pour traverser plus en amont.
Une fois de l'autre côté, on a plus rien de sec. Un chocolat chaud s'impose! Ça tombe bien, le refuge de Chardonnière n'est pas loin. Une fois là-bas, on retrouve d'autres randonneurs croisés le matin au refuge, eux aussi trempés comme des souches. On apprend que deux d'entre eux on commandé un taxi pour aller à Samoens, et ainsi éviter de passer le col de la Golèse et de tout redescendre sous la flotte. Vu que la météo à l'air d'être de pire en pire, on se résigne à venir avec eux. Au final on se retrouve à six dans le taxi, qui nous ramène à Samoens, fin de cette étape assez mémorable!
(Cette étape étant assez humide, je n'ai pas pu sortir mon appareil photo, de peur qu'il meure noyé. Donc désolée pour ceux qui aiment quand il y a beaucoup d'images
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