La Rochelle-Bayonne en passant par les îles
Partir trois semaines en vélo à deux, avec juste le billet aller et décider au fur et à mesure par où bifurquer. L’île de Ré et Oléron comme seuls impératifs.
Carnet publié par Berlin71
le 04 déc. 2016
modifié le 31 janv. 2020
modifié le 31 janv. 2020
Mobilité douce
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Vue d'ensemble
Le topo : Ile d'Oléron-Royan (mise à jour : 31 janv. 2020)
Distance section :
71.3km
Dénivelées section :
+168m /
-170m
Section Alti min/max : 6m/21m
Le compte-rendu : Ile d'Oléron-Royan (mise à jour : 31 janv. 2020)
29 septembre 2016
Réveil tôt et déplantage rapide, la tente est toute trempée de rosée. Petit-déjeuner sur la plage avec trois classes d’écoliers venus en classe verte. Encore une plage immense et vu l’heure et marée basse, pas trop d’embrun. L’immensité nous rappelle notre statut de fourmi.
Café et marché dans le joli village de St Trojan. Pique-nique vers la plage du Gatseau avec vue sur le continent. Et s’il y avait un bateau pour traverser ? Après vérification au port de plaisance, le bac s’arrête le 15 septembre. Dommage. Du coup direction le pont par les salines. Traversée du pont avec vent de face, pas terrible, en plus il y a plein de circulation.
Après, route agréable le long de la Seudre pour rejoindre le pont de Marennes bien mieux aménagé pour les cyclos.
Au rond point de la Tremblade, on se trompe de route, il faut bien prendre la direction de St Ronce les bains…et non la Trembalde. Et faire le pleins d’eau avant de s’engager sur la Véloroute car la piste traverse 20 km de forêt avant d’arriver à la Palmyre, sans aucun point d’eau. Et il y a un coin bivouac 3km en amont de la Palmyre qui est bien sympa, mais faute d’eau, pas pris.
Arrivée à la Palmyre vers 18:30, une bière, difficile à trouver car hors saison. Elle sera finalement accompagné d’un menu galette, il est déjà 19:30. On trouvera bien un coin bivouac un peu plus loin, on a presque 6km de forêt devant nous…quenini.
Requinqués par le repas et sans trouver de bivouac, nous roulerons jusqu’à Royan quelques 20km plus loin ! C’est rigolo de rouler de nuit, nous sommes seuls au monde avec les grenouilles, et les jolis maisons fin de siècle sont belles !
On repère le départ du Bac et on se pose la question : dormir ou pas ? Finalement la raison l’emporte et on plante le bivouac plus ou moins à l’arrache minuit passé pour se lever à 6h du matin. Etape de 88 km dont plus de 20 km de nuit.
Réveil tôt et déplantage rapide, la tente est toute trempée de rosée. Petit-déjeuner sur la plage avec trois classes d’écoliers venus en classe verte. Encore une plage immense et vu l’heure et marée basse, pas trop d’embrun. L’immensité nous rappelle notre statut de fourmi.
Café et marché dans le joli village de St Trojan. Pique-nique vers la plage du Gatseau avec vue sur le continent. Et s’il y avait un bateau pour traverser ? Après vérification au port de plaisance, le bac s’arrête le 15 septembre. Dommage. Du coup direction le pont par les salines. Traversée du pont avec vent de face, pas terrible, en plus il y a plein de circulation.
Après, route agréable le long de la Seudre pour rejoindre le pont de Marennes bien mieux aménagé pour les cyclos.
Au rond point de la Tremblade, on se trompe de route, il faut bien prendre la direction de St Ronce les bains…et non la Trembalde. Et faire le pleins d’eau avant de s’engager sur la Véloroute car la piste traverse 20 km de forêt avant d’arriver à la Palmyre, sans aucun point d’eau. Et il y a un coin bivouac 3km en amont de la Palmyre qui est bien sympa, mais faute d’eau, pas pris.
Arrivée à la Palmyre vers 18:30, une bière, difficile à trouver car hors saison. Elle sera finalement accompagné d’un menu galette, il est déjà 19:30. On trouvera bien un coin bivouac un peu plus loin, on a presque 6km de forêt devant nous…quenini.
Requinqués par le repas et sans trouver de bivouac, nous roulerons jusqu’à Royan quelques 20km plus loin ! C’est rigolo de rouler de nuit, nous sommes seuls au monde avec les grenouilles, et les jolis maisons fin de siècle sont belles !
On repère le départ du Bac et on se pose la question : dormir ou pas ? Finalement la raison l’emporte et on plante le bivouac plus ou moins à l’arrache minuit passé pour se lever à 6h du matin. Etape de 88 km dont plus de 20 km de nuit.