La Rochelle-Bayonne en passant par les îles
Partir trois semaines en vélo à deux, avec juste le billet aller et décider au fur et à mesure par où bifurquer. L’île de Ré et Oléron comme seuls impératifs.
Carnet publié par Berlin71
le 04 déc. 2016
modifié le 31 janv. 2020
modifié le 31 janv. 2020
Mobilité douce
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Vue d'ensemble
Le compte-rendu : Bayonne et retour à Lyon (mise à jour : 13 févr. 2019)
7 octobre 2016
Réveil tôt, à notre habitude. Magnifique lever de soleil sur les toits de Bayonne, tout rose-rouge. Il fera très beau ce jour, je sors ma robe !
Petit déjeuner copieux à l’hôtel, passage à la gare pour mon billet, passage à la laverie pour Nico puis ballade en ville. D’abord rive droite puis rive gauche.
Pique-nique au bord de l’Adour. Visite de la vielle ville, c’est très chouette. Retour à l’hôtel, il faut faire un tri pour les sacoches. Je ramènerai le surplus de Nico, il récupère le stock de nourriture.
On pose mon vélo dans son garage à la gare, merci encore à Nadège. On se pose à l’hôtel, et finalement on décide de remanger des crêpes. Les victuailles pour le train sont rangées. Dernière nuit à deux pendant longtemps.
8 octobre 2016
Départ de Bayonne en train à 7:04, il fait encore nuit, je ne verrai rien des paysages basques. J’ai laissé mon homme sur un quai de gare et je n’ai pas envie de rentrer. Du coup, j’écoute de la musique. Changement à Pau, où j’apprends que le train de nuit Hendaye-Paris circule encore…mais ne s’affiche pas avec transport vélo dans le système informatique de la SNCF. Tant pis.
Le soleil se cache et c’est sous un ciel triste, comme moi, que je longe les Pyrénées jusqu’à Toulouse. Puis en partant de la ville rose, le soleil revient et entre Carcassonne et Sète,puis après mon changement à Narbonne, je suis plusieurs fois tentée de descendre du train et de repartir à vélo.
Je profite du dernier train d’Avignon à Lyon pour faire un bilan à chaud.
Arrivée à Lyon, mon vélo, je le descends toute seule, chargé comme il est du train corail. Je suis fière. Retour à la maison, pour retrouver ma puce, impatiente de retrouver une maman à la maison.
Réveil tôt, à notre habitude. Magnifique lever de soleil sur les toits de Bayonne, tout rose-rouge. Il fera très beau ce jour, je sors ma robe !
Petit déjeuner copieux à l’hôtel, passage à la gare pour mon billet, passage à la laverie pour Nico puis ballade en ville. D’abord rive droite puis rive gauche.
Pique-nique au bord de l’Adour. Visite de la vielle ville, c’est très chouette. Retour à l’hôtel, il faut faire un tri pour les sacoches. Je ramènerai le surplus de Nico, il récupère le stock de nourriture.
On pose mon vélo dans son garage à la gare, merci encore à Nadège. On se pose à l’hôtel, et finalement on décide de remanger des crêpes. Les victuailles pour le train sont rangées. Dernière nuit à deux pendant longtemps.
8 octobre 2016
Départ de Bayonne en train à 7:04, il fait encore nuit, je ne verrai rien des paysages basques. J’ai laissé mon homme sur un quai de gare et je n’ai pas envie de rentrer. Du coup, j’écoute de la musique. Changement à Pau, où j’apprends que le train de nuit Hendaye-Paris circule encore…mais ne s’affiche pas avec transport vélo dans le système informatique de la SNCF. Tant pis.
Le soleil se cache et c’est sous un ciel triste, comme moi, que je longe les Pyrénées jusqu’à Toulouse. Puis en partant de la ville rose, le soleil revient et entre Carcassonne et Sète,puis après mon changement à Narbonne, je suis plusieurs fois tentée de descendre du train et de repartir à vélo.
Je profite du dernier train d’Avignon à Lyon pour faire un bilan à chaud.
Arrivée à Lyon, mon vélo, je le descends toute seule, chargé comme il est du train corail. Je suis fière. Retour à la maison, pour retrouver ma puce, impatiente de retrouver une maman à la maison.