Un nouveau portage en randonnée pédestre ?
Inscription : 15/05/2007
Lieu : Bourgogne, hips !
Pour l'instant le truc le plus "pratique" que j'ai pu tester pour emmener pas mal de matos sans se ruiner le dos en ayant les mains libres, c'est une pulka sur un chariot de kayak accroché à un harnais de trait ou une sac à dos. :p
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Pour l'instant le truc le plus "pratique" que j'ai pu tester pour emmener pas mal de matos sans se ruiner le dos en ayant les mains libres, c'est une pulka sur un chariot de kayak accroché à un harnais de trait ou une sac à dos. tongue
Bonsoir christophe, mais qu'est ce donc que que ce chariot de kayak?
Peux tu me donner plus d'infos , j'envisage de faire pas mal de voyages des que l'heure de ma retraite aura sonné et je suis preneur de toute innovation allant dans le sens de la facilité (plus de matériel de confort pour un effort moindre ).
merci d'avance
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Inscription : 15/05/2007
Lieu : Bourgogne, hips !
sur les fixations avant de la pulka et elle sont accrochées de l'autre côté dans le bas du sac à dos.
En sanglant le chariot plus ou moins en avant ou en arrière de la pulka ça permet de mieux répartir la charge qui va peser sur le bas du dos.
D'après la pub (si je ne me goure pas), avec un sac de 22kg sur un Carrix on a un poids de 4 kg sur les épaules. Le problème est que si ce poids est fixé plus loin de la roue et plus près des poignée, on peu passer à plus de 10 kg, toujours pour un sac de 22kg sur le Carrix car la roue est en porte à faux arrière.
En ayant les roues SOUS la charge, on perd en accessibilité, ça c'est sûr. Mais avec une pulka bine chargée avec 250L de matos pour un poids de 55 kg on peut se retrouver, avec une charge bien équilibré, entre un poids sur les épaules du harnais de l'ordre de 0 kg voir quelques centaines de grammes, voire quelques petits kilos.
Moins pratique qu'un sac à dos pour faire le GR20, mais bien plus efficace pour les trajets au long court.
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Même défaut que la brouette Sherpa Trek et, dans une bien moindre mesure du Carrix : on fait comment si on veut continuer à marcher en grillant une clope avec le téléphone dans l'autre main ???
En v'la une occasion qu'elle est bonne pour respirer le grand air et arrêter de fumer !
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Inscription : 15/05/2007
Lieu : Bourgogne, hips !
EN fait c'était plus une excuse à la c.n pour dire qu'on avait les mains libres.
Bon on va dire alors qu'on peut aussi surveiller la carte et son GPS en même temps tout en avançant.
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Car, j'ai une question à te poser : A quand la version électrique ?
En tout cas bravo de cogiter à de nouveaux systèmes de portage, peaufine bien ton système.
Tu n'aurais pas quelques photos de ta bestiole en action à nous proposer ?
Ted :
Et surtout, ça offre la possibilité de chausser des Trailskates sans quitter ses chaussures, et de descendre rapidement en glisse en toute sécurité.
Tu fais du Trailskates ? On est au moins deux ici, ils sont rares ce qui pratiquent cette discipline.
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Inscription : 29/03/2008
Lieu : 38500 VOIRON
EN fait c'était plus une excuse à la c.n pour dire qu'on avait les mains libres.
Bon on va dire alors qu'on peut aussi surveiller la carte et son GPS en même temps tout en avançant.
J'avais bien compris.
C'est d'ailleurs pour cela que j'ai souligné dès le départ ce qui est un inconvénient majeur, même si c'est atténué par le fait qu'on peut instantanément se libérer, mais en s'arrêtant, qu'on peut libérer temporairement une main, et qu'on surveille le GPS ou la carte sans avoir à les porter puisque qu'on les a sous les yeux.
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Salut Ted, t'es le concepteur du Skate Drive ou juste un utilisateur convaincu ?
Car, j'ai une question à te poser : A quand la version électrique ?
En tout cas bravo de cogiter à de nouveaux systèmes de portage, peaufine bien ton système.
Tu n'aurais pas quelques photos de ta bestiole en action à nous proposer ?
Tu fais du Trailskates ? On est au moins deux ici, ils sont rares ce qui pratiquent cette discipline.
Je suis à la fois le concepteur et un utilisateur convaincu, puisque je l’utilise personnellement tous les jours pour effectuer tous mes déplacements perso et professionnels, mais pas en randonnée pédestre dont je n’ai pas l’expérience.
La version électrique existe, mais n’est pas commercialisée. L’inconvénient, c’est qu’elle pèse 17 kg et que là, il vaut mieux oublier le portage pour les passages difficiles. En revanche, elle peut être équipée de panneaux solaires sur le coffre et améliorer ainsi l’autonomie, et permettre la recharge de petits appareils électriques. Mais ça ne peut suffire à offrir l’autonomie totale, et donc en pleine nature, on risque de manquer cruellement de prises de courant. Et là du coup, ça fait un poids supplémentaire à pousser quand les batteries sont vides. C’est bien si on arrive dans un gîte où on peut recharger la nuit.
Je pratique plus les Coyotes que les Trailskates. Mais aujourd’hui sur le marché, on ne trouve facilement que les Trailskates qui ont l’avantage d’être plus accessibles aux skieurs ( plus nombreux que les rollers), et aussi de pouvoir les chausser sans déchausser, et sans qu’il y ait de problème de tailles qui sont des problèmes de taille.
Maintenant, faut essayer la descente de chemins en Trailskates, c’est quelque chose ! C’est relativement facile et bien sécurisé puisqu’on maîtrise parfaitement sa vitesse. Lolo va essayer bientôt, mais je n’ai malheureusement pas à Melun des pistes de 10 km d’affilée comme on trouve en montagne. S’il y en a d’autres qui veulent venir essayer, pas de problèmes…
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Je suis avec intérêt tout les sujets , les avantages ou inconvénients , j'ai encore un an avant de faire un choix sur le mode de portage sur longue distance afin de préparer une rando sur les chemins de compostelle sur plusieurs mois
Cela me changera de mes rand'eau , ou le portage et donc le poids est une affaire de flottaison(hors infranchissables).
Quand je fait le compte du superflue que je traine(rame) ,j'ai tout de suite compris qu'il fallait que je trouve autre chose qu'un sac a dos pour faire les chemins a pieds , je ne suis pas un fan du voyage ultra- léger , j'aime le confort même en rando, désolé pour les puristes
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Vous avez le trollix comme mode de portage ,les mains totalement libres,sans autres contreinte que le ceinturon pour le tirer.
C'est aussi pour cette raison que Christophe Hardy pour son tour du monde et Robert Membré (12000 km de Lyon à Pékin,pour les JO 2008, en 300 jours avec 45 kg sur le trollix)ont choisi ce mode de transport.
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Mais il présente aussi de l’intérêt pour la randonnée pédestre, avec pas mal d’avantages sur ce qui existe déjà. Mais hélas aussi deux inconvénients majeurs : Il ne laisse pas les mains libres, et les passages techniques en montée sont plus difficiles. Il vaut mieux alors le porter ou l’aider.
La conduite poussée est très réactive et c’est très maniable. On suit une trajectoire très précise, et on évite facilement les obstacles.
Sur plat et faux plat, c’est très facile à pousser, et le corps ne porte qu'un kg environ, quelque soit la charge, 25 kg par exemple. C’est très bénéfique aux articulations, notamment les genoux et les chevilles. On supprime aussi tous les inconvénients liés au sac à dos et aux bretelles ou harnais, transpiration et meurtrissures notamment.
En montée moyenne, ça passe encore au poussage, mais en forte montée irrégulière, il vaut mieux passer au tirage. Et là, à la différence du Sherpa Trek, on ne peut pas le tirer derrière soi, sauf si un autre le guide. En effet, autant c’est simple de maintenir la charge en équilibre tant qu’on a les yeux dessus, autant ça devient difficile quand on ne la ressent que par les mains. Pour ces passages difficiles, escaliers par exemple, il vaut donc mieux tirer en marche arrière si on a pas d’autre solution. Si on est d’eux, l’autre peut saisir la poignée avant du coffre soit pour porter, soit pour guider et pousser.
En descente, c’est un régal. Non seulement on n’a aucun effort à fournir pour retenir la charge puisque la roue est freinée à la demande, mais encore cela permet de trouver un appui pour ralentir la progression du corps et ainsi éviter la meurtrissure des orteils.
Et surtout, ça offre la possibilité de chausser des Trailskates sans quitter ses chaussures, et de descendre rapidement en glisse en toute sécurité.
Le pilotage des Trailskates s’inspire davantage de la technique du ski que de celle du roller, si bien qu’un skieur se sent vite à l’aise même avoir jamais chaussé de rollers. Ca permet de combiner des sensations très différentes de la seule randonnée pédestre, et d’augmenter beaucoup la distance parcourue. C’est la randonnée mixte.
La descente s’effectue ainsi à la vitesse désirée, réglée du bout des doigts grâce aux deux freins de la roue avant. Dans les descentes très pentues avec une mauvaise accroche, cailloux par exemple, on couple le freinage avec celui hydraulique des Trailskates, et passer ainsi des pentes à 60 %.
Les Trailskates sont transportés sur le coffre. Celui-ci est étanche à l’eau, l’humidité et la poussière. Le contenu reste au sec sous une pluie d’orage ou au passage d’un gué. Celui de la photo fait 100 litres, et il en existe un de 60 litres.
Sur sol irrégulier ou cailloux, les chocs de la roue ne sont que peu renvoyés au corps, grâce à la tenue souple et articulée.
Les mains sont occupées, ce qui présente incontestablement un inconvénient pour prendre des photos ou tenir une carte en marchant. Heureusement, on peut rapidement se libérer les mains en s’arrêtant, et en béquillant instantanément l’appareil par basculement vers l’avant (en serrant un des freins). Pour repartir, il suffit de bloquer la roue avec un frein en saisissant les poignées, et de le basculer en arrière, sans devoir se baisser ou se contorsionner.
A l’arrêt, on ne supporte donc aucun poids. L’appareil peut alors faire office de pied photo avec une petite adaptation, et même porte manteau ! lol
En position marche, il supporte un compteur kilométrique multifonctions tenant compte de la déclivité, un navigateur, une carte, un avertisseur sonore, des bidons d’eau, un éclairage avant et arrière, etc.
Sur plat et faux plat, on peut le tenir temporairement d’une main pour téléphoner, manger ou boire en attrapant le bidon fixé au bras télescopique. L’effet gyroscopique de la roue faite le reste.
Le chargement est facilité par un grand volume sans coins ni recoins, et un tapis antidérapant.
L’accès au chargement reste aisé et rapide à tout moment, car il n’y a pas besoin d’arrimer ou de désangler. Le coffre s’ouvre indifféremment d’un coté ou de l’autre, et le couvercle peut être fermé partiellement ou totalement enlevé pour servi de plateau repas. Il sert aussi de support aux Trailskates ou à un sur chargement à arrimer.
La face arrière du coffre peut recevoir une sacoche avec un porte-carte, type guidon de cycle, contenant des effets personnels.
Le dessous du coffre peut recevoir deux bouteilles de deux litres (ou un litre et demi pour le 60 l), accessibles sans ouvrir le coffre. Elles n’affectent Le bras télescopique peut recevoir un bidon accessible en marchant.
La roue de 16 pouces montée sur roulement à billes étanches est très roulante et gonflable pour plus de confort et d’accroche, mais peut être remplie d’increvable. Sur terrains difficiles, on peut l’équiper d’un pneu à crampons.
Le cadre et la roue sont en aluminium durci pour poids de 4.3 kg. Le porte charges de 1 kg peut recevoir un sac à dos, mais l’arrimage seul est une vraie galère. Mieux vaut utiliser le coffre à bien des égards.
Avec le porte charge suspendu et le coffre de 60 litres, il faut ajouter 2.7 kg, soit un total de 7 kg à vide à comparer au poids d’un sac à dos capable de porter la même charge. Le bras télescopique permet de régler instantanément et sans outil à la taille du randonneur.
Le coffre peut laisser sa place à un siège d’enfant, du type vélo, tourné soit vers l’avant, soit vers l’arrière.
Replié, l’appareil tient dans son coffre avec les effets et peut ainsi voyager en soute : Pratique pour partir randonner à l’étranger…
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