Bonjour à tous.
Un petit topo de notre voyage sur la Leyre avec Guy du 22 au 25 mai 2011.
Au départ de la base nautique de Mexico à Commensacq (40 - Landes) le parcours se déroule à travers leParc Naturel des Landes de Gascogne sur un peu moins de 100 km jusqu’au port de La Hume dans le sud du Bassin d’Arcachon (33 – Gironde) :
Nous avons fait le choix de passer par le bras sud du delta de la Leyre au niveau du pont de Chevron pour rejoindre le port du Teich puis l’entrée sur le Bassin vers La Hume. Sur la Leyre, de Mexico à l’embranchement par le pont de Chevron il faut compter environ 88 km :
Le samedi 21, Guy venant de Montpellier et moi de Port-Vendres, nous nous retrouvons sur l’autoroute pour arriver ensemble dans l’après-midi à Mexico. Nous laissons le matos et descendons au camping ATC à La Hume pour y laisser sa voiture en navette puis retour vers Mexico en soirée. Le cadre est génial et les responsables très sympas et accueillants. D’autres participants pour des activités diverses occupent déjà le terrain et il règne une ambiance très détendue.
Attention la base ne fait pas camping (à cette date) car ils louent leur propre matériel d’hébergement (tentes collectives, tippis) : se renseigner donc avant pour les réservations. Chose que nous n’avions pas faite et on a pu s’arranger en fixant notre bivouac pour une seule nuit au niveau du parking à quelques pas de là mais en pleine nature quand même.
Dimanche 22 mai : Mexico > Base de Testarrouman, 27,8 km
La mise à l’eau à la base de Mexico :
Le départ s’effectue vers 9 h pour cette première étape jusqu’à la base de Testarrouman à Pissos. Le temps est un peu couvert une bonne partie de la journée puis ensoleillé en milieu d’après-midi.
L’environnement est magnifique : la rivière, très étroite sur ce parcours, coule tranquillement toujours sous un couvert végétal et serpente tout le temps, les oiseaux sont omniprésents. La végétation est parfois dense et pas mal de vieux arbres de toutes tailles abattus et traités par les services d’entretien affleurent dans le lit de la rivière. Vu le faible débit de l’eau et la pente presque nulle ça n’a rien de dangereux mais oblige à être vigilant et « naviguer » constamment :
Au km 5 on arrive au pont de Pouloye :
Nombre de ponts jalonnent ainsi le parcours et sont autant de possibilités de mises à l’eau ou sorties.
Parfois même ils sont annoncés dans le cadre des procédures de récupérations prévues dans les prestations des bases nautiques :
Ici le pont de Cantegrit à 11,800 km de Mexico :
Nous arrivons vers 16 h à la base de
Testarrouman. On ne peut pas la rater : une grande plage de sable en berge gauche est située au pied du site accessible par un grand escalier aménagé :
Ici aussi un excellent accueil nous est accordé et ce soir nous seront les seuls à bivouaquer ici.
Nous sommes en mai mais il est également conseillé de téléphoner pour réserver en période estivale.
En pratique pour les kayaks :
Si on ne s’arrête pas à Testarrouman il faut passer le pont. Mais la glissière aménagée il y a quelques années n’existe plus et, par arrêté municipal, le franchissement du petit seuil/barrage en est interdit.
Le portage est très facile et court (une cinquantaine de mètres) en venant accoster sous le pont en berge gauche. Une sortie est aménagée et indiquée par un panneau très visible. Le matos est sorti sur un petit talus sableux jusqu’à la mise à l’eau facile en aval.
On peut les laisser sur la plage et remonter le matos par l’escalier (en bleu sur GE) pour le bivouac sur le terrain. Au départ suivant, pour éviter une manip supplémentaire de chargement/déchargement sous le pont, faire éventuellement un portage par le chemin marqué en vert sur l’image.
Nous avions préféré remonter le tout à l’aide de nos chariots par un sentier aménagé (en rouge au sud sur l’image GE). Le lendemain nous avons charioté jusqu’à la route puis descendu à gauche des ponts jumelés (en fait un ancien pont maintenant inutilisé) jusqu’à la berge :
Lundi 23 mai : Base de Testarrouman > aval de Saugnacq, 23 km
Il a fait froid cette nuit et encore au matin au lever pour les préparatifs avant le départ. Le chariotage est décrit ci-dessus.
Belle descente toujours sur parcours boisé et sinueux avec de nombreux arbres en travers sous lesquels il faut passer :
Arrivée au pont de Richet au km 33 pour une petite pause :
Peu après 11 h nous arrivons à la confluence avec la Petite Leyre au nord de Moustey au km 38, 500 pour un autre arrêt et profiter du coin :
Un peu plus au nord nous arrivons au pont de Saugnacq pour le pique-nique de la mi-journée. Mais la base est à près d’un kilomètre à la sortie du village : trop loin pour un portage mais surtout trop tôt pour s’arrêter à cette l’étape.
L’endroit est sympa avec de grands arbres pour trouver un peu d’ombre et nous rencontrons ici les premiers pagayeurs sur ce parcours :
Nous décidons de poursuivre un peu pour gagner quelques kilomètres sur l’étape du lendemain.
Sous le pont un petit seuil se franchit sans problème en eau. On a le choix entre l’arche gauche ou droite (plus étroite). Nous passons à gauche où, en contre bas, émergent sur les côtés des anciens pieux facilement évitables :
Arrêt vers 16 h, 7 km plus bas pour le bivouac en rive gauche sur une berge haute en lisière d’un chemin forestier :
Mardi 24 mai : Saugnacq > Salles, 20 km
La nuit et le martin ont été moins froids que les précédents. Départ vers 8 h 45 pour l’étape de Salles 20 km plus bas. Le temps est clair avec un léger vent un peu frais mais le décor est toujours aussi magique avec ces berges arborées et couvertes de magnifiques grandes fougères « Osmonde royale » :
Le pont de Mesplet, à l’ouest de Belin-Béliet très pratique pour des mises à l’eau ou récup :
Arrivée au Parc du Val de l’Eyre vers 13 h. Le portage est facile sur un petit chemin herbu qui monte un peu mais très praticable. Grand camping ouvert depuis avril mais à part les sanitaires rien ne fonctionne : bar et snack n’ouvrent qu’en juillet-août ! Il y a juste en face une grande surface pour faire quelques courses. Resto dans le village après le pont.
Mercredi 25 mai : Salles > La Hume, 28,300 km
Le départ du camping s’effectue vers 8 h et aujourd’hui il faudra compter avec la marée pour l’arrivée à la Hume.
Camping de Salles > Port du Teich : 19 km
Le port > sortie du delta : 2,800 km
Delta > La Hume : 6, 400 km
La marée sera haute au port du Teich vers 12 h 30.
Peu après le départ un arbre abattu barre tout le passage sur le cours. Il faudra passer par-dessus.
Le reste du voyage est toujours aussi sympa.
Un peu avant 11 h on laisse le cours principal de la Leyre, qui se dirige par son bras nord vers Biganos, pour prendre à gauche, au niveau du pont de Chevron, son bras sud vers le port du Teich à 1,700 km :
Au début le cours est assez étroit et encombré de branches et arbres cassés puis se jette dans un chenal élargi bordé de roselières. Le passage du Pont Neuf du Teich marque la fin de la descente sur la Leyre et nous arrivons rapidement au port du Teich :
La marée sera haute à 12 h 30. Après avoir pris l’avis d’un moniteur au Parc Ornithologique, nous décidons de poursuivre. Il est midi quand nous partons du port pour atteindre par le chenal l’entrée du bassin et traverser vers La Hume. Au loin on distingue Arcachon :
Il est 12 h 15 quand nous entrons sur le bassin et il nous reste 6 à 7 km à parcourir. Bientôt la marée va s’inverser et nous ne devons pas perdre trop de temps si nous ne voulons pas devoir nous écarter de la côte. En redescendant l’eau nous entrainerait trop vers le milieu du bassin et le courant de marée nous serait contraire pour remonter le chenal vers La Hume. Bien qu’à plusieurs centaines de mètres du bord nous essayons de naviguer au plus près. Très vite les bancs de sable deviennent apparents sous la surface. Ne connaissant pas les lieux nous nous approchons trop tôt du bord et ne sommes en fait qu’au niveau de Meyran-Est et nous devons ressortir par le chenal pour passer Meyran-Ouest et atteindre le chenal suivant celui de La Hume.
Pour ne pas sortir trop loin on coupe d’un chenal à l’autre en passant au dessus des bancs de sable. Sur le dernier le niveau d’eau est à moins de 30 cm et la progression à la pagaie est maintenant difficile. Nous le finirons en tractant nos kayaks pour les remettre à l’eau sur le chenal à l’entrée de La Hume :
Arrivée vers 14 h à la mise à l’eau du port puis un petit portage sur 500 m environ vers le camping ATC pour notre installation jusqu’à 16 h et enfin, repas et une bonne sieste bien méritée :
Les prestations des différents loueurs prévoient de remonter en navette les descendeurs arrivés au niveau du Teich. Mais pour une randonnée autonome, en fin de parcours, l’idéal serait qu’il y est un ou deux campings sur le delta.
La Leyre est une destination vivement conseillée pour une escapade sur un ou plusieurs jours en groupe ou en famille. La navigation y est tranquille en pleine nature et se prête bien à la détente et l’émotion.
Nos SOT n’étant pas des embarcations idéales pour jouer avec les marées et ne proposant donc pas un rayon d’action suffisant nous avons fait, le jeudi et vendredi suivant, un peu de tourisme dans les environs sans oublier l’ostréiculture et les restos locaux.
Autour du port et du chenal de la Hume :
Sur le port à Gujan-Mestras chez nos amis ostréiculteurs…
… et le Schtroumpf tracteur :
Pour finir, un petit détour vers Arcachon jusqu’à la plage du Moulleau d’où l’on peut voir la dune du Pilat :
Un petit topo de notre voyage sur la Leyre avec Guy du 22 au 25 mai 2011.
Au départ de la base nautique de Mexico à Commensacq (40 - Landes) le parcours se déroule à travers leParc Naturel des Landes de Gascogne sur un peu moins de 100 km jusqu’au port de La Hume dans le sud du Bassin d’Arcachon (33 – Gironde) :
Nous avons fait le choix de passer par le bras sud du delta de la Leyre au niveau du pont de Chevron pour rejoindre le port du Teich puis l’entrée sur le Bassin vers La Hume. Sur la Leyre, de Mexico à l’embranchement par le pont de Chevron il faut compter environ 88 km :
Le samedi 21, Guy venant de Montpellier et moi de Port-Vendres, nous nous retrouvons sur l’autoroute pour arriver ensemble dans l’après-midi à Mexico. Nous laissons le matos et descendons au camping ATC à La Hume pour y laisser sa voiture en navette puis retour vers Mexico en soirée. Le cadre est génial et les responsables très sympas et accueillants. D’autres participants pour des activités diverses occupent déjà le terrain et il règne une ambiance très détendue.
Attention la base ne fait pas camping (à cette date) car ils louent leur propre matériel d’hébergement (tentes collectives, tippis) : se renseigner donc avant pour les réservations. Chose que nous n’avions pas faite et on a pu s’arranger en fixant notre bivouac pour une seule nuit au niveau du parking à quelques pas de là mais en pleine nature quand même.
Dimanche 22 mai : Mexico > Base de Testarrouman, 27,8 km
La mise à l’eau à la base de Mexico :
Le départ s’effectue vers 9 h pour cette première étape jusqu’à la base de Testarrouman à Pissos. Le temps est un peu couvert une bonne partie de la journée puis ensoleillé en milieu d’après-midi.
L’environnement est magnifique : la rivière, très étroite sur ce parcours, coule tranquillement toujours sous un couvert végétal et serpente tout le temps, les oiseaux sont omniprésents. La végétation est parfois dense et pas mal de vieux arbres de toutes tailles abattus et traités par les services d’entretien affleurent dans le lit de la rivière. Vu le faible débit de l’eau et la pente presque nulle ça n’a rien de dangereux mais oblige à être vigilant et « naviguer » constamment :
Au km 5 on arrive au pont de Pouloye :
Nombre de ponts jalonnent ainsi le parcours et sont autant de possibilités de mises à l’eau ou sorties.
Parfois même ils sont annoncés dans le cadre des procédures de récupérations prévues dans les prestations des bases nautiques :
Ici le pont de Cantegrit à 11,800 km de Mexico :
Nous arrivons vers 16 h à la base de Testarrouman. On ne peut pas la rater : une grande plage de sable en berge gauche est située au pied du site accessible par un grand escalier aménagé :
Ici aussi un excellent accueil nous est accordé et ce soir nous seront les seuls à bivouaquer ici.
Nous sommes en mai mais il est également conseillé de téléphoner pour réserver en période estivale.
En pratique pour les kayaks :
Si on ne s’arrête pas à Testarrouman il faut passer le pont. Mais la glissière aménagée il y a quelques années n’existe plus et, par arrêté municipal, le franchissement du petit seuil/barrage en est interdit.
Le portage est très facile et court (une cinquantaine de mètres) en venant accoster sous le pont en berge gauche. Une sortie est aménagée et indiquée par un panneau très visible. Le matos est sorti sur un petit talus sableux jusqu’à la mise à l’eau facile en aval.
On peut les laisser sur la plage et remonter le matos par l’escalier (en bleu sur GE) pour le bivouac sur le terrain. Au départ suivant, pour éviter une manip supplémentaire de chargement/déchargement sous le pont, faire éventuellement un portage par le chemin marqué en vert sur l’image.
Nous avions préféré remonter le tout à l’aide de nos chariots par un sentier aménagé (en rouge au sud sur l’image GE). Le lendemain nous avons charioté jusqu’à la route puis descendu à gauche des ponts jumelés (en fait un ancien pont maintenant inutilisé) jusqu’à la berge :
Lundi 23 mai : Base de Testarrouman > aval de Saugnacq, 23 km
Il a fait froid cette nuit et encore au matin au lever pour les préparatifs avant le départ. Le chariotage est décrit ci-dessus.
Belle descente toujours sur parcours boisé et sinueux avec de nombreux arbres en travers sous lesquels il faut passer :
Arrivée au pont de Richet au km 33 pour une petite pause :
Peu après 11 h nous arrivons à la confluence avec la Petite Leyre au nord de Moustey au km 38, 500 pour un autre arrêt et profiter du coin :
Un peu plus au nord nous arrivons au pont de Saugnacq pour le pique-nique de la mi-journée. Mais la base est à près d’un kilomètre à la sortie du village : trop loin pour un portage mais surtout trop tôt pour s’arrêter à cette l’étape.
L’endroit est sympa avec de grands arbres pour trouver un peu d’ombre et nous rencontrons ici les premiers pagayeurs sur ce parcours :
Nous décidons de poursuivre un peu pour gagner quelques kilomètres sur l’étape du lendemain.
Sous le pont un petit seuil se franchit sans problème en eau. On a le choix entre l’arche gauche ou droite (plus étroite). Nous passons à gauche où, en contre bas, émergent sur les côtés des anciens pieux facilement évitables :
Arrêt vers 16 h, 7 km plus bas pour le bivouac en rive gauche sur une berge haute en lisière d’un chemin forestier :
Mardi 24 mai : Saugnacq > Salles, 20 km
La nuit et le martin ont été moins froids que les précédents. Départ vers 8 h 45 pour l’étape de Salles 20 km plus bas. Le temps est clair avec un léger vent un peu frais mais le décor est toujours aussi magique avec ces berges arborées et couvertes de magnifiques grandes fougères « Osmonde royale » :
Le pont de Mesplet, à l’ouest de Belin-Béliet très pratique pour des mises à l’eau ou récup :
Arrivée au Parc du Val de l’Eyre vers 13 h. Le portage est facile sur un petit chemin herbu qui monte un peu mais très praticable. Grand camping ouvert depuis avril mais à part les sanitaires rien ne fonctionne : bar et snack n’ouvrent qu’en juillet-août ! Il y a juste en face une grande surface pour faire quelques courses. Resto dans le village après le pont.
Mercredi 25 mai : Salles > La Hume, 28,300 km
Le départ du camping s’effectue vers 8 h et aujourd’hui il faudra compter avec la marée pour l’arrivée à la Hume.
Camping de Salles > Port du Teich : 19 km
Le port > sortie du delta : 2,800 km
Delta > La Hume : 6, 400 km
La marée sera haute au port du Teich vers 12 h 30.
Peu après le départ un arbre abattu barre tout le passage sur le cours. Il faudra passer par-dessus.
Le reste du voyage est toujours aussi sympa.
Un peu avant 11 h on laisse le cours principal de la Leyre, qui se dirige par son bras nord vers Biganos, pour prendre à gauche, au niveau du pont de Chevron, son bras sud vers le port du Teich à 1,700 km :
Au début le cours est assez étroit et encombré de branches et arbres cassés puis se jette dans un chenal élargi bordé de roselières. Le passage du Pont Neuf du Teich marque la fin de la descente sur la Leyre et nous arrivons rapidement au port du Teich :
La marée sera haute à 12 h 30. Après avoir pris l’avis d’un moniteur au Parc Ornithologique, nous décidons de poursuivre. Il est midi quand nous partons du port pour atteindre par le chenal l’entrée du bassin et traverser vers La Hume. Au loin on distingue Arcachon :
Il est 12 h 15 quand nous entrons sur le bassin et il nous reste 6 à 7 km à parcourir. Bientôt la marée va s’inverser et nous ne devons pas perdre trop de temps si nous ne voulons pas devoir nous écarter de la côte. En redescendant l’eau nous entrainerait trop vers le milieu du bassin et le courant de marée nous serait contraire pour remonter le chenal vers La Hume. Bien qu’à plusieurs centaines de mètres du bord nous essayons de naviguer au plus près. Très vite les bancs de sable deviennent apparents sous la surface. Ne connaissant pas les lieux nous nous approchons trop tôt du bord et ne sommes en fait qu’au niveau de Meyran-Est et nous devons ressortir par le chenal pour passer Meyran-Ouest et atteindre le chenal suivant celui de La Hume.
Pour ne pas sortir trop loin on coupe d’un chenal à l’autre en passant au dessus des bancs de sable. Sur le dernier le niveau d’eau est à moins de 30 cm et la progression à la pagaie est maintenant difficile. Nous le finirons en tractant nos kayaks pour les remettre à l’eau sur le chenal à l’entrée de La Hume :
Arrivée vers 14 h à la mise à l’eau du port puis un petit portage sur 500 m environ vers le camping ATC pour notre installation jusqu’à 16 h et enfin, repas et une bonne sieste bien méritée :
Les prestations des différents loueurs prévoient de remonter en navette les descendeurs arrivés au niveau du Teich. Mais pour une randonnée autonome, en fin de parcours, l’idéal serait qu’il y est un ou deux campings sur le delta.
La Leyre est une destination vivement conseillée pour une escapade sur un ou plusieurs jours en groupe ou en famille. La navigation y est tranquille en pleine nature et se prête bien à la détente et l’émotion.
Nos SOT n’étant pas des embarcations idéales pour jouer avec les marées et ne proposant donc pas un rayon d’action suffisant nous avons fait, le jeudi et vendredi suivant, un peu de tourisme dans les environs sans oublier l’ostréiculture et les restos locaux.
Autour du port et du chenal de la Hume :
Sur le port à Gujan-Mestras chez nos amis ostréiculteurs…
… et le Schtroumpf tracteur :
Pour finir, un petit détour vers Arcachon jusqu’à la plage du Moulleau d’où l’on peut voir la dune du Pilat :
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