Le matos au fil de l'eau
Un long John, des gants, un chapeau, des lunettes de soleil, un poncho de pluie, un coupe vent,
Des chaussures qui tiennent aux pieds
Peux tu en dire un peu plus sur le long John ? est ce indispensable en canoé ?
et pour les chaussures que préconises tu ??
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
je preferre une veste etanche et un pentalon etanche aussi en basse saison ou si la t° de l'eau est vraiment basse sinon c'est en shorte tout con
pour les chaussures pareil a chacun de choisir se qu'il lui convient le mieux, perso c'est des veilles pompe de rando tige basse en mesh qui seche asser vite, en sason basse je met une paire de chaussette en neoprene trés fine avec
mais chacun fait a sa sauce le mieux etant d'essayer diver trucs
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
En canoé, pour moi, ce serait plutôt short ou bermuda, sauf à ce qu'on me démontre le côté utile du Long John...
Pour les chaussures, je cherche quelque chose qui soit adapté à la marche dans l'eau et qui sèche vite; ça doit bien exister! Jak91 parle de chaussures type aqua....
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
malgré tout, je trouve celui de D., vraiment pas mal pour le prix, d'autant plus, que je leur avait laissé un message pour leur faire part de mes remarques (sur l'ancien modèle) et que ces propositions de modifs ont étés prises en compte.
Je le porte souvent roulé sur les hanches (voir mes photos) ce qui me permet si le temps se rafraichis de pouvoir le remonter comme un col roulé, l'intérieur est tissé ce qui le rend plus agréable au contact, en pagayant c'est les jambes qui sont le plus exposées aux ruissellement
En général le soir au bivouac, je le retourne et le fait sécher puis je le rentre dans la tente avant que l' humidité ne tombe, ce qui lui permet d’être sec au matin, de plus celui-ci permet une aide non négligeable à la flottaison en cas de dessalage.
Pour ce qui est des chaussures, effectivement une simple paire de baskets peux faire l'affaire, mais (par expérience) elles supportent très mal et pas longtemps d’être en permanence trempées, sans compter l'odeur !
En ce qui concerne le port des chaussettes en néoprène, c'est vraiment un plus au niveau du confort quand la température n'est pas à la baignade, mais également pour éviter d'avoir toujours du sable ou des cailloux entre les doigts de pieds notamment sur la Loire
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
/voyage/viewtopic.php?id=6510
___________________________________________________
Chapitre 2
Le matériel :
Je passe volontairement sur les qualités propres à l’embarcation pour ne mettre en avant que la nécessité expresse que celle-ci doit transporter avec aisance passager(s) et matériel dans le cadre du projet (Il y a ici suffisamment de post sur le sujet pour se forger un avis).
Concernant le matériel de bivouac, une grande partie ne diffère pas d’une randonnée à pied ou en vélo, cependant certains sont spécifiques à cette activité et d’autres sont mieux adaptés aux conditions, en revanche le poids et le volume sont nettement moins handicapants, ce qui permet un confort supérieur. (C’est le bateau qui porte, désolé pour les adeptes du MUL).
Lors d’une descente sur plusieurs jours en autonomie, (peu importe le nombre) que ce soit en solo ou à plusieurs (le nombre importe peu), il est nécessaire et prudent de se faire une liste du matériel à embarquer, qu’il est conseillé de ne pas négliger au risque de se pourrir le périple.
Toutefois, à plusieurs, Il est possible de mutualiser une partie du matos (pour 2 voir 3: Pagaie de secours, réchaud, eau, pompe, machette, etc.), cependant Je déconseille la tente à cause des ronfleurs.
( j'ai perdu deux collègues comme ça )
L’expérience m’a également appris à être prudent en matière de météo et pas seulement en début ou fin de saison, il m’est souvent arrivé de devoir faire face à des différences de températures, variant de 20°en quelques heures, donc il est prudent d’en tenir compte lors du choix du matériel et de prévoir cette éventualité. (Qui peu le plus peut le moins).
Le matos spécifique à la navigation (que je considère comme indispensable) :
La pompe, les raccords et le nécessaire de réparation (avec un tube de colle récent);
Un gilet de flottaison (même si je ne suis pas fan, je l’ai toujours à disposition à portée de mains)
Un casque d'eau vive (suivant le parcours)
Une pagaie de réserve (casser n’est pas rare,) ;
Deux cordes d’une dizaine de mètres (1AV et 1AR), (cordelle, amarre, etc.)
Un charriot de transport en rapport avec le poids total à rouler, soit environ 80/100
Bidons ou sacs étanches, (moi c’est bidons, plus solides et plus étanches, mais ne se compactent pas)
Une corde de sécurité en sac d’au moins 15m
Un long John, des gants, un chapeau, des lunettes de soleil, un poncho de pluie, un coupe vent,
Des chaussures qui tiennent aux pieds
Des sacs poubelles pour ramasser ses déchets, mais souvent pas que (désolant)
Dans la catégorie du conseil:
Leash de pagaie, cordon de liaison avec le bateau, bien utile en cas de dessalage, amarre provisoire.
Des vêtements thermiques (pour la navigation et un change au bivouac),
Préférer les fringues qui sèchent vite (lycra),
Un bon matelas qui isole bien du sol (souvent humide),
Une veste chaude pour le soir (humidité),
Des chaussettes en néoprène (températures fraiches, sable),
Une boussole (soleil levant),
Crème solaire (sur l’eau on passe vite du à point au trop cuit),
Une éponge (nettoyage du sable, boue, graviers dans le fond du bateau),
Machette (ronces, herbes hautes, etc.).
Un petit siège pliant (c'est pas un luxe le soir venu)
«Certains sont mieux adaptés aux conditions » :
Une tente tunnel pose des problèmes de montage dans le sable, une auto-porté de bonne dimension est préférable, c’est toujours par mauvais temps que l’on en apprécie l’espace.
Le sac de couchage avec une garniture en synthétique est à préférer au duvet, la plume n’aime pas trop l’humidité. L’indice thermique de confort est à adapter avec la saison ou la météo (qui peut le plus peut le moins).
Préférer des chaussures de types aqua qui ont l’avantage de sécher plus vite (deux paires, une sèche, une active).
Cette réflexion n’a pas vocation à répertorier tout le matériel nécessaire, mais juste mettre en avant celui qui est spécifiques d’une descente de rivière. Chacun complétera à son gré, suivant ses propres critères. Sachant que c’est toujours au bivouac du soir, que l’on fait le compte des manques. Les magasins spécialisés sont rarement sur les berges.
A vous de compléter.
cordialement
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)