La Cour des comptes sans concession pour le secours en montagne
Salut Bixente,
Effectivement pour les non-initiés, le document, au demeurant intéressant, semble un peu lourd.
As tu lu le document ? si oui qu'en ressort-il essentiellement ? que peux-tu nous en dire ?
Enzo
Effectivement pour les non-initiés, le document, au demeurant intéressant, semble un peu lourd.
As tu lu le document ? si oui qu'en ressort-il essentiellement ? que peux-tu nous en dire ?
Enzo
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Enzo007 :
C'est un énième rapport de plus qui a débouché sur une circulaire qui donne des orientations mais ne réduit pas le nombre d'intervenants.
En gros :
- La Cour chiffre à 8 600 euros le coût moyen d'une intervention. Et surtout, pointent de nombreuses difficultés.
- Le problème de la concurrence entre gendarmes, CRS et pompiers revient en boucle (la guéguerre a toujours existé et existera toujours malheureusement, tout ça au détriment des personnes en détresse) car dans la plupart des départements de montagne, il n'y a pas un, mais plusieurs services appelés à intervenir, c'est ce que l'on appelle la mixité (pompiers-gendarmes, gendarmes-CRS, gendarmes-CRS-pompiers).
Ces rivalités, alimentées par le prestige de ce type de secours exigeants et périlleux, ont pris ces dernières années une ampleur particulière, notamment par le biais des médias,
- Dans certains cas, cette compétition peut conduire à des doublons, les services se disputant les interventions,
- La départementalisation du secours en montagne, dont l'organisation dépend des préfets, dans certains cas, cette logique ne paraît pas adaptée et ne permet pas toujours un emploi optimum des moyens aériens,
- Pour y remédier, la Cour préconise une approche interdépartementale, qui s'inscrit dans une logique de massif et appelle les préfets à veiller à la plus grande cohérence de l'emploi des moyens humains et matériels,
- Ce rapport devait en finir avec les guerres de clocher, c'est loin d'être réglé !
qu'en ressort-il essentiellement ?
C'est un énième rapport de plus qui a débouché sur une circulaire qui donne des orientations mais ne réduit pas le nombre d'intervenants.
En gros :
- La Cour chiffre à 8 600 euros le coût moyen d'une intervention. Et surtout, pointent de nombreuses difficultés.
- Le problème de la concurrence entre gendarmes, CRS et pompiers revient en boucle (la guéguerre a toujours existé et existera toujours malheureusement, tout ça au détriment des personnes en détresse) car dans la plupart des départements de montagne, il n'y a pas un, mais plusieurs services appelés à intervenir, c'est ce que l'on appelle la mixité (pompiers-gendarmes, gendarmes-CRS, gendarmes-CRS-pompiers).
Ces rivalités, alimentées par le prestige de ce type de secours exigeants et périlleux, ont pris ces dernières années une ampleur particulière, notamment par le biais des médias,
- Dans certains cas, cette compétition peut conduire à des doublons, les services se disputant les interventions,
- La départementalisation du secours en montagne, dont l'organisation dépend des préfets, dans certains cas, cette logique ne paraît pas adaptée et ne permet pas toujours un emploi optimum des moyens aériens,
- Pour y remédier, la Cour préconise une approche interdépartementale, qui s'inscrit dans une logique de massif et appelle les préfets à veiller à la plus grande cohérence de l'emploi des moyens humains et matériels,
- Ce rapport devait en finir avec les guerres de clocher, c'est loin d'être réglé !
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Incroyable, je ne pensais pas que des rivalités existaient sur les secours......j'imagine que tout le monde veut être le premier pour toucher le pactole et le prestige ??!
En France, j'ai toujours cette impression que pour enterrer un débat ou éviter de mettre de l'ordre (et donc remuer les habitudes), on créé une commission qui pond un rapport.
Enzo
En France, j'ai toujours cette impression que pour enterrer un débat ou éviter de mettre de l'ordre (et donc remuer les habitudes), on créé une commission qui pond un rapport.
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