Du Triglav à la mer : 3500 bornes sans carbone, ni nucléaire.
55 jours d'itinérance en vélo solaire le long de l'arc alpin pour pouvoir marcher et voler en montagne aussi souvent que possible.
kayak gonflable
alpinsime
vélo de randonnée
randonnée/trek
parapente vol-rando
/
Quand : 05/07/2015
Durée : 55 jours
Durée : 55 jours
Distance globale :
3549km
Carnet publié par voleur de cimes
le 06 sept. 2015
modifié le 25 nov. 2015
modifié le 25 nov. 2015
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
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Vue d'ensemble
Le topo : Cime de Restaud
(mise à jour : 28 oct. 2015)
Distance section :
11.5km
Description :
Cime de Restaud (1148m)
Depuis Menton, derrière la gare, on trouve le départ du GR52 qui conduit jusqu'au Col du Berceau (1050m). Un petit sentier vers l'E conduit au sommet.
Déco possible en S, quand c'est alimenté... (voir CR)
Attérro sur la plage des sablettes hors été
Depuis Menton, derrière la gare, on trouve le départ du GR52 qui conduit jusqu'au Col du Berceau (1050m). Un petit sentier vers l'E conduit au sommet.
Déco possible en S, quand c'est alimenté... (voir CR)
Attérro sur la plage des sablettes hors été
Le compte-rendu : Cime de Restaud
(mise à jour : 28 oct. 2015)
23-08, où comment finir en beauté !
Le vol du Col du Berceau, c'est un peu la cerise sur le gateau à la fin d'une traversée de l'arc alpin.
Après une belle rencontre sur le port hier soir, j'ai passé une courte nuit sur le voilier de Alain et Catherine ; comme l'attérro sur la plage n'est pas des plus autorisé en cette fin d'été, je compte me poser bien tôt, avant que les estivants n'étalent leurs serviettes.
Départ très tôt donc, à 4h30, sous une légère bruine. A 6h30, je suis au col, mais il bruine encore un peu et le vent est mal orienté. Je monte faire un tour à la Cime du Restaud toute proche pour admirer les magnifiques lumières du lever de soleil sur l'Italie. A 7h, de retour au col, il ne pleut plus, et il n'y a qu'un très léger vent de cul au déco. J'étale donc ma voile sur la seule petite tache d'herbe du coin, en pestant un peu car les pins au dessus ont tendance à s'égoutter dessus. Une bonne course bien dynamique plus tard, et je me retrouve étalé dans le champ de cailloux en contre-bas, contusioné de partout et assez incapable d'expliquer pourquoi la voile d'est reposée. Pendant 10', c'est quand même une grosse bagarre pour ne pas tomber dans les pommes. Reprenant peu à peu mes esprits, je constate qu'une toute petite brise s'est installée et je remonte étaler proprement ma voile, mais alors que je réfléchis au bien fondé de cette idée, il se met à pleuvoir... décidément, quand çà ne veut pas ! Redescente au milieu des chasseurs, longue et humide ; arrivé au voilier, café, croissant et longue douche à la capitainerie ne sont pas de trop pour retrouver moral et aspect présentable. Merci encore les amis pour votre super accueil sur ce port ; entre romanos de la mer ou de la route, on se comprends !
Le vol du Col du Berceau, c'est un peu la cerise sur le gateau à la fin d'une traversée de l'arc alpin.
Après une belle rencontre sur le port hier soir, j'ai passé une courte nuit sur le voilier de Alain et Catherine ; comme l'attérro sur la plage n'est pas des plus autorisé en cette fin d'été, je compte me poser bien tôt, avant que les estivants n'étalent leurs serviettes.
Départ très tôt donc, à 4h30, sous une légère bruine. A 6h30, je suis au col, mais il bruine encore un peu et le vent est mal orienté. Je monte faire un tour à la Cime du Restaud toute proche pour admirer les magnifiques lumières du lever de soleil sur l'Italie. A 7h, de retour au col, il ne pleut plus, et il n'y a qu'un très léger vent de cul au déco. J'étale donc ma voile sur la seule petite tache d'herbe du coin, en pestant un peu car les pins au dessus ont tendance à s'égoutter dessus. Une bonne course bien dynamique plus tard, et je me retrouve étalé dans le champ de cailloux en contre-bas, contusioné de partout et assez incapable d'expliquer pourquoi la voile d'est reposée. Pendant 10', c'est quand même une grosse bagarre pour ne pas tomber dans les pommes. Reprenant peu à peu mes esprits, je constate qu'une toute petite brise s'est installée et je remonte étaler proprement ma voile, mais alors que je réfléchis au bien fondé de cette idée, il se met à pleuvoir... décidément, quand çà ne veut pas ! Redescente au milieu des chasseurs, longue et humide ; arrivé au voilier, café, croissant et longue douche à la capitainerie ne sont pas de trop pour retrouver moral et aspect présentable. Merci encore les amis pour votre super accueil sur ce port ; entre romanos de la mer ou de la route, on se comprends !