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yvanquoi -
10 avr. 2007
mis à jour le 14 juil. 2007
Inscription : 20/12/2006
110 messages
Sterne arctique Lieu : toulouse
Conseil bouquin: Longue marche de Bernard Olivier
"il ne faut pas rajouter des années à sa vie,mais plutôt essayer de rajouter de la vies à ses années" JF Kennedy
Peggy Bouchet va défier le vieil océan en 2008, à bord d'un dirigeable-prototype conjuguant les énergies de la mer, du vent et du soleil.
Peggy Bouchet, la première femme à avoir réussi une traversée de l'Atlantique à la rame, s'est lancé un nouveau défi pour 2008 : traverser le vieil océan à bord d'un dirigeable, en utilisant les énergies de la mer, du vent et du soleil. Pour cette aventure inédite, elle sera en tandem avec Stéphane Rousson, un pilote-aérostier. Son objet volant mesurera 28,5 mètres de long. Il sera gonflé à l'hélium (ininflammable) et doté de panneaux solaires pour alimenter un petit moteur électrique. Son "chien de mer" (ancre flottante) n'a encore qu'une existence virtuelle dans les ordinateurs de son constructeur. "Windream One" (c'est le nom du dirigeable à enveloppe souple) doit être construit cet été à Toulon et les premiers essais en vol auront lieu en septembre.
La traversée de l'Atlantique sur la route des alizés, entre Dakar (Sénégal) et la Martinique, est prévue pour février/mars 2008. Une distance de 5000 km que le couple espère parcourir en une petite dizaine de jours, à une vitesse moyenne et constante d'une vingtaine de km/h. "Nous volerons à une altitude moyenne de 50 mètres, a indiqué Peggy Bouchet. Lorsque le chien de mer sera plongé dans l'eau, il fonctionnera comme la dérive d'un voilier, aidant à garder le cap alors que nous serons poussés par les alizés. La nuit, c'est le moteur électrique qui assurera notre propulsion grâce à l'énergie solaire emmagasinée la journée. De l'énergie supplémentaire sera aussi récoltée par l'hélice du moteur qui, à l'arrêt, fera office d'éolienne. "
Pendant dix jours, le couple de "fous volants", sera confiné dans une petite nacelle de 3,5m2, accrochée sous le ballon. "Le plus gros risque est la déchirure de l'enveloppe du ballon par surpression accidentelle. Nous n'aurions alors qu'une seule option: l'amerrissage d'urgence", a expliqué la jeune femme. L'aventure doit se faire sans assistance. "Notre nacelle est aéromaritime, légère, autonome, insubmersible et à même de nous permettre d'attendre les secours en sécurité", a assuré la navigatrice-aérostière.
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"il ne faut pas rajouter des années à sa vie,mais plutôt essayer de rajouter de la vies à ses années" JF Kennedy
Adepte de la pulka depuis une reconstruction du bas du dos (interdiction de porter plus de 15 kg !!)."Ca ne sert à rien de se ruiner le dos à porter des trucs qu'on peut tracter !" (c'est de moi !)
yvanquoi :
qu'en pensez vous de cette nouvelle experience??
Qu'il va falloir faire un forum "Voyager dans les airs" !
OK, j'ai trouvé la sortie....... :fouet:
Bon courage et BON VENT pour cette traversée...
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Peggy Bouchet, la première femme à avoir réussi une traversée de l'Atlantique à la rame, s'est lancé un nouveau défi pour 2008 : traverser le vieil océan à bord d'un dirigeable, en utilisant les énergies de la mer, du vent et du soleil. Pour cette aventure inédite, elle sera en tandem avec Stéphane Rousson, un pilote-aérostier. Son objet volant mesurera 28,5 mètres de long. Il sera gonflé à l'hélium (ininflammable) et doté de panneaux solaires pour alimenter un petit moteur électrique. Son "chien de mer" (ancre flottante) n'a encore qu'une existence virtuelle dans les ordinateurs de son constructeur. "Windream One" (c'est le nom du dirigeable à enveloppe souple) doit être construit cet été à Toulon et les premiers essais en vol auront lieu en septembre.
La traversée de l'Atlantique sur la route des alizés, entre Dakar (Sénégal) et la Martinique, est prévue pour février/mars 2008. Une distance de 5000 km que le couple espère parcourir en une petite dizaine de jours, à une vitesse moyenne et constante d'une vingtaine de km/h. "Nous volerons à une altitude moyenne de 50 mètres, a indiqué Peggy Bouchet. Lorsque le chien de mer sera plongé dans l'eau, il fonctionnera comme la dérive d'un voilier, aidant à garder le cap alors que nous serons poussés par les alizés. La nuit, c'est le moteur électrique qui assurera notre propulsion grâce à l'énergie solaire emmagasinée la journée. De l'énergie supplémentaire sera aussi récoltée par l'hélice du moteur qui, à l'arrêt, fera office d'éolienne. "
Pendant dix jours, le couple de "fous volants", sera confiné dans une petite nacelle de 3,5m2, accrochée sous le ballon. "Le plus gros risque est la déchirure de l'enveloppe du ballon par surpression accidentelle. Nous n'aurions alors qu'une seule option: l'amerrissage d'urgence", a expliqué la jeune femme. L'aventure doit se faire sans assistance. "Notre nacelle est aéromaritime, légère, autonome, insubmersible et à même de nous permettre d'attendre les secours en sécurité", a assuré la navigatrice-aérostière.
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