3 semaines sur les sentiers des Alpes du Soleil - en théorie - en famille avec mon fils de 8 ans, en suivant le GR5-GR52 de Briançon à Menton
Cette rando est la suite logique de notre parcours du
Lac Léman à Briançon de l’été dernier.
Cette année, mon fils portera son duvet en plus de sa gourde et de ses menues affaires.
1er jour : Briançon - Villard Saint Pancrace - Le Lauzin D+ : 450 m, D- : 150 mArrivés à Briançon par train de nuit, synchrone avec le mauvais temps : On essaie de jongler avec les averses. Pas facile.
Vers midi, on se met à l’abri dans la très belle chapelle privée du
Lauzin, étonnante « folie ». Il pleut. Il pleut.
Finalement, on ne repart pas, because la pluie. On dormira dans le coin.
2ème jour Col des Ayes, Brunissard, Lac de Roue, Bivouac au dessus de Château Queyras. D+ 1295 m, D- : 1205 mTrès belle journée. Comme le lendemain une dépression devrait nous tomber dessus, et que la première journée à été bien courte et bien arrosée, on fait une « longue » journée. Du col des Ayes, on observe des paysages parcourus cet hiver. Bien différents.
3ème jour : Château Queyras, Col Fromage, Ceillac D+ 1045 m D- 965 mL’idée générale est de se lever tôt, de passer le col Fromage en fin de matinée pour arriver à Ceillac avant la perturbation annoncée en début d’après midi.
On tient globalement notre programme. Vers 10h30, on se prend quelques gouttes. Petites gouttes deviennent plus grosses, et se transforment en neige. Il fait bien froid, et la neige s’accumule. Limite pluie neige à 1900 m. Ça nous change de la journée de la veille, avec un ciel sans nuages !
4ème jour : Col Girardin, Bivouac à la Meire, avant Fouillouse D+ 1295 m, D- 800 mBelle journée, bien que couverte le matin. On part doucement, assez tard. Les lacs sont très beaux, et on n’y est pas seuls… L’option du départ tardif est la bonne : le col Girardin, très enneigé le matin, passe très bien en milieu d’après midi, le soleil et les passages successifs des randonneurs ayant eu raison de la neige sur le sentier.
Arrivés sur la route en fond de vallée, on s’essaie au Stop. La première voiture nous prend, alors que nous sommes 4, et eux déjà 3 ! Elle nous dépose à la bifurcation de la route vers Fouillouse. On monte un peu vers les ruines de La Meire, qui promettent un bon emplacement de bivouac sur la carte. Bingo : super bivouac.
5ème jour : Larche Via le Col du Vallonnet. D+ : 1080, D- : 1145 mEncore une « longue journée », mitigée côté météo, avec beaucoup de vent fort. On découvre beaucoup d’Edelweiss en quittant le sentier pour ravitailler en eau.
Après le col du Vallonnet, nous ne prenons pas l’itinéraire classique par le col de Mallemort, mais décidons de passer par le Clos de l’Amant et le plateau de Mallemort. On y trouve un fort retapé en résidence secondaire, avec une vue imprenable. Paysage surprenant sur le plateau de Mallemort, relativement plat et très ouvert. C’est plus long que l’itinéraire classique, mais nous ne regrettons pas notre détour.
6ème jour : Lac du Lauzannier D+ 605 mJournée de repos après avoir enchaîné quelques journées relativement longues, pour mon fils de 8 ans comme pour nous même. On passe la journée au bord du torrent, pour partir en fin d’après midi bivouaquer au Lac du Lauzannier.
Beau bivouac.
7ème journée : Pas de la Cavale, Col des Fourches, Bousiéyas, bivouac D+ 875 m, D- 1015 mQuelques trous étonnants derrière le pas de la Cavale. Un bivouac bien sympathique bien que venteux 1 heure au dessus de Bousiéyas.
Ce sera notre dernier bivouac avec notre copain qui nous accompagne depuis Briançon, jusqu’au lendemain soir.
8ème journée : Saint Etienne de Tinée via Saint Dalmas de Selvage D+ 415 m, D- 1400 mJournée très chaude, belle, où on rencontre les premiers pieds de lavande.
Le gîte de Saint Etienne restera celui que nous ne recommanderons pas : demi pension chère, repas et accueil très moyens, comme le petit déjeuner.
9ème journée. Auron, Col de Blanon, Roya et Bergerie de Sallevielle. D+ : 600 m, D- 1400 mPour faire plaisir à mon fils qui adore les machines, nous prenons les remontées mécaniques de Saint Etienne. C’est une erreur : on descend ensuite le long d’une crête malcommode, pour arriver par des pistes de ski à Auron qu’il faut traverser.
Auron, c’est le pire endroit traversée lors de toute notre rando sur le GR5. Je pense qu’il vaut mieux prendre une navette de Saint Etienne menant à Auron, et quitter la station au plus tôt.
Bivouac un peu au dessus de la bergerie de Sallevielle, où nous discutons avec le berger. Du loup, entre autres, qui lui tue quelques moutons chaque semaines. Dans la nuit, une nouvelle attaque de loups aura raison d’un de ses chiens de garde. Grosse pluie de quelques heures à partir du milieu d’après midi.
10ème journée. Refuge de Longon D+ : 845 m, D- 925 m Lever matinal pour tenter d’échapper à la pluie annoncée en début d’après midi. Nous croisons beaucoup de chamois. Matinée relativement froide, maussade avec du brouillard.
Pluie toute l’après midi, que nous passerons en partie près de la cheminée du refuge. Super accueil.
11ème journée Saint Sauveur de Tinée D+ 60 m, D- 1415 mEncore une journée annoncée pluvieuse. Et qui le sera. Pluie assez violente et continue à partir de midi. Le village de Roure où nous cassons la croute est superbe. Nuit au gîte à Saint Etienne.
12ème journée : Saint Dalmas via Rimplas D+ 1030 m D- 235 m.Les jours se suivent et se ressemblent : pluie annoncée en début d’après midi, et encore une courte journée pour tenter d’arriver avec de se faire rincer. Très chaud.
Mon fils et moi même sommes malades, comme nous l’avions été la nuit à Longon. Tout bien réfléchi, nous ne digérons vraiment pas bien du tout le fromage au lait cru de la Bergerie de Longon…
Pluie à partir de 15 heures.
13ème journée : Col de Barn, Col de Salèse. D+ : 1365 m, D- 665 mNotre plus grosse dénivelée de la rando. Qui curieusement passe très bien, alors que nous n’avons rien mangé hier soir, et même « rendus » nos repas précédents.
La forme revient au fur et à mesure de la journée. Nous abandonnons bien vite l’idée du bivouac au bord d’un lac en descendant du Col de Barn : tout le vallon est infesté de moustiques. Ce qui nous pousse à le descendre en entier, et à remonter au col de Salèse.
Journée plus longue que prévu donc, because moustiques.
14ème journée : Le Boréon, Bivouac au lac de Trécolpas. D+ 740m, D- 590 m.Nous découvrons le Mercantour, et le très beau lac de Trécolpas.
Pour la pluie, ce n’est plus une découverte. Étonnant qu’il n’ait pas plu hier…
15ème journée : Pas des Ladres, Pas du Mont Collomb, Refuge de Nice. D+ 865 m, D- : 820 m.Lever matinal. La journée, qui devait être belle, se couvre très vite. Beaucoup de chamois. Et les très beaux paysages du Mercantour. Refuge de Nice presque neuf, accueillant. Pluie dans l’après midi, la routine.
16ème journée. Baisse du Basto, Bivouac à proximité du Refuge des Merveilles. D+ : 695 m, D- 795 m.Beaux paysages, très beaux lacs, chamois, bouquetins. Beaucoup de monde dans la vallée des Merveilles. Après midi maussade, mais correcte.
17 ème journée : Pas du diable, Col de Raus, L’Authion, sommet de Mongiabo. D+ : 835 m, D- 1150 m Longue journée, très chaude, avec pas mal de distance.
Attention à trouver le seul point d’eau sur le parcours, un peu après l’Authion.
On discute une heure avant l'Authion avec un berger anarchiste.
Le bivouac au sommet de Mongiabo est superbe, avec une très belle vue panoramique. On y voit la mer, les bateaux…
18ème journée : Sospel. D+ : 5 m D- 1465 m.Journée de repos. On arrive à Sospel à midi. Restau.
Il fait très très chaud, d’autant plus qu’on a perdu beaucoup d’altitude. Nous voici à 400 m après les dernières journées passées le plus souvent au dessus de 2 000 m. Le camping de Sospel est un peu bruyant à cause de sa proximité avec la route.
19ème journée : Col du Razet : D+ 695 m, D- 35m.Encore une journée de repos.
Je décide de me dégourdir les jambes en partant tôt le matin pour faire un portage d’eau au col du Razet. A la fraiche et à l’ombre, la montée est agréable.
La journée sera ensuite très chaude. On part en fin d’après midi, dans l’idée d’arriver au col le soir. Mais malgré cette précaution, il fait vraiment très chaud dans la montée. Du col, on aperçoit Menton, fin du périple.
20ème jour : Menton, via Castellar : D+ 135 m, D- 1135 mDernière étape !
Une nouvelle fois, on se lève tôt, pour marcher à la fraiche. Malgré tout, il fait encore bien chaud, et finalement – comme je m’y attendais – nous préférons passer par Castellar plutôt que de suivre le GR52 jusqu’au bout, ce qui nous évite une dernière remontée.
Finalement, contrairement à ce que j’imaginais, c’est une bonne option. Arrivée à Castellar vers 10h30. On y flâne, y boit un coup. Ensuite, la descente sur Menton est somme toute agréable.
Baignade, glace, restau !
Au final : la rando s’est très bien passée. Malgré une météo capricieuse, avec pas mal de journées pluvieuses, puis en contraste des journées très chaudes en fin de parcours, lorsqu’on est à basse altitude.
Ce furent de bonnes vacances. On est arrivé à Menton une semaine plus tôt que prévu.
Une rando qui me conforte dans mon envie de marcher avec mon fils, même si on ne croise pas beaucoup d’enfants de son age sur les chemins.
Cette rando est la suite logique de notre parcours du Lac Léman à Briançon de l’été dernier.
Cette année, mon fils portera son duvet en plus de sa gourde et de ses menues affaires.
1er jour : Briançon - Villard Saint Pancrace - Le Lauzin D+ : 450 m, D- : 150 m
Arrivés à Briançon par train de nuit, synchrone avec le mauvais temps : On essaie de jongler avec les averses. Pas facile.
Vers midi, on se met à l’abri dans la très belle chapelle privée du Lauzin, étonnante « folie ». Il pleut. Il pleut.
Finalement, on ne repart pas, because la pluie. On dormira dans le coin.
2ème jour Col des Ayes, Brunissard, Lac de Roue, Bivouac au dessus de Château Queyras. D+ 1295 m, D- : 1205 m
Très belle journée. Comme le lendemain une dépression devrait nous tomber dessus, et que la première journée à été bien courte et bien arrosée, on fait une « longue » journée. Du col des Ayes, on observe des paysages parcourus cet hiver. Bien différents.
3ème jour : Château Queyras, Col Fromage, Ceillac D+ 1045 m D- 965 m
L’idée générale est de se lever tôt, de passer le col Fromage en fin de matinée pour arriver à Ceillac avant la perturbation annoncée en début d’après midi.
On tient globalement notre programme. Vers 10h30, on se prend quelques gouttes. Petites gouttes deviennent plus grosses, et se transforment en neige. Il fait bien froid, et la neige s’accumule. Limite pluie neige à 1900 m. Ça nous change de la journée de la veille, avec un ciel sans nuages !
4ème jour : Col Girardin, Bivouac à la Meire, avant Fouillouse D+ 1295 m, D- 800 m
Belle journée, bien que couverte le matin. On part doucement, assez tard. Les lacs sont très beaux, et on n’y est pas seuls… L’option du départ tardif est la bonne : le col Girardin, très enneigé le matin, passe très bien en milieu d’après midi, le soleil et les passages successifs des randonneurs ayant eu raison de la neige sur le sentier.
Arrivés sur la route en fond de vallée, on s’essaie au Stop. La première voiture nous prend, alors que nous sommes 4, et eux déjà 3 ! Elle nous dépose à la bifurcation de la route vers Fouillouse. On monte un peu vers les ruines de La Meire, qui promettent un bon emplacement de bivouac sur la carte. Bingo : super bivouac.
5ème jour : Larche Via le Col du Vallonnet. D+ : 1080, D- : 1145 m
Encore une « longue journée », mitigée côté météo, avec beaucoup de vent fort. On découvre beaucoup d’Edelweiss en quittant le sentier pour ravitailler en eau.
Après le col du Vallonnet, nous ne prenons pas l’itinéraire classique par le col de Mallemort, mais décidons de passer par le Clos de l’Amant et le plateau de Mallemort. On y trouve un fort retapé en résidence secondaire, avec une vue imprenable. Paysage surprenant sur le plateau de Mallemort, relativement plat et très ouvert. C’est plus long que l’itinéraire classique, mais nous ne regrettons pas notre détour.
6ème jour : Lac du Lauzannier D+ 605 m
Journée de repos après avoir enchaîné quelques journées relativement longues, pour mon fils de 8 ans comme pour nous même. On passe la journée au bord du torrent, pour partir en fin d’après midi bivouaquer au Lac du Lauzannier.
Beau bivouac.
7ème journée : Pas de la Cavale, Col des Fourches, Bousiéyas, bivouac D+ 875 m, D- 1015 m
Quelques trous étonnants derrière le pas de la Cavale. Un bivouac bien sympathique bien que venteux 1 heure au dessus de Bousiéyas.
Ce sera notre dernier bivouac avec notre copain qui nous accompagne depuis Briançon, jusqu’au lendemain soir.
8ème journée : Saint Etienne de Tinée via Saint Dalmas de Selvage D+ 415 m, D- 1400 m
Journée très chaude, belle, où on rencontre les premiers pieds de lavande.
Le gîte de Saint Etienne restera celui que nous ne recommanderons pas : demi pension chère, repas et accueil très moyens, comme le petit déjeuner.
9ème journée. Auron, Col de Blanon, Roya et Bergerie de Sallevielle. D+ : 600 m, D- 1400 m
Pour faire plaisir à mon fils qui adore les machines, nous prenons les remontées mécaniques de Saint Etienne. C’est une erreur : on descend ensuite le long d’une crête malcommode, pour arriver par des pistes de ski à Auron qu’il faut traverser.
Auron, c’est le pire endroit traversée lors de toute notre rando sur le GR5. Je pense qu’il vaut mieux prendre une navette de Saint Etienne menant à Auron, et quitter la station au plus tôt.
Bivouac un peu au dessus de la bergerie de Sallevielle, où nous discutons avec le berger. Du loup, entre autres, qui lui tue quelques moutons chaque semaines. Dans la nuit, une nouvelle attaque de loups aura raison d’un de ses chiens de garde. Grosse pluie de quelques heures à partir du milieu d’après midi.
10ème journée. Refuge de Longon D+ : 845 m, D- 925 m
Lever matinal pour tenter d’échapper à la pluie annoncée en début d’après midi. Nous croisons beaucoup de chamois. Matinée relativement froide, maussade avec du brouillard.
Pluie toute l’après midi, que nous passerons en partie près de la cheminée du refuge. Super accueil.
11ème journée Saint Sauveur de Tinée D+ 60 m, D- 1415 m
Encore une journée annoncée pluvieuse. Et qui le sera. Pluie assez violente et continue à partir de midi. Le village de Roure où nous cassons la croute est superbe. Nuit au gîte à Saint Etienne.
12ème journée : Saint Dalmas via Rimplas D+ 1030 m D- 235 m.
Les jours se suivent et se ressemblent : pluie annoncée en début d’après midi, et encore une courte journée pour tenter d’arriver avec de se faire rincer. Très chaud.
Mon fils et moi même sommes malades, comme nous l’avions été la nuit à Longon. Tout bien réfléchi, nous ne digérons vraiment pas bien du tout le fromage au lait cru de la Bergerie de Longon…
Pluie à partir de 15 heures.
13ème journée : Col de Barn, Col de Salèse. D+ : 1365 m, D- 665 m
Notre plus grosse dénivelée de la rando. Qui curieusement passe très bien, alors que nous n’avons rien mangé hier soir, et même « rendus » nos repas précédents.
La forme revient au fur et à mesure de la journée. Nous abandonnons bien vite l’idée du bivouac au bord d’un lac en descendant du Col de Barn : tout le vallon est infesté de moustiques. Ce qui nous pousse à le descendre en entier, et à remonter au col de Salèse.
Journée plus longue que prévu donc, because moustiques.
14ème journée : Le Boréon, Bivouac au lac de Trécolpas. D+ 740m, D- 590 m.
Nous découvrons le Mercantour, et le très beau lac de Trécolpas.
Pour la pluie, ce n’est plus une découverte. Étonnant qu’il n’ait pas plu hier…
15ème journée : Pas des Ladres, Pas du Mont Collomb, Refuge de Nice. D+ 865 m, D- : 820 m.
Lever matinal. La journée, qui devait être belle, se couvre très vite. Beaucoup de chamois. Et les très beaux paysages du Mercantour. Refuge de Nice presque neuf, accueillant. Pluie dans l’après midi, la routine.
16ème journée. Baisse du Basto, Bivouac à proximité du Refuge des Merveilles. D+ : 695 m, D- 795 m.
Beaux paysages, très beaux lacs, chamois, bouquetins. Beaucoup de monde dans la vallée des Merveilles. Après midi maussade, mais correcte.
17 ème journée : Pas du diable, Col de Raus, L’Authion, sommet de Mongiabo. D+ : 835 m, D- 1150 m
Longue journée, très chaude, avec pas mal de distance.
Attention à trouver le seul point d’eau sur le parcours, un peu après l’Authion.
On discute une heure avant l'Authion avec un berger anarchiste.
Le bivouac au sommet de Mongiabo est superbe, avec une très belle vue panoramique. On y voit la mer, les bateaux…
18ème journée : Sospel. D+ : 5 m D- 1465 m.
Journée de repos. On arrive à Sospel à midi. Restau.
Il fait très très chaud, d’autant plus qu’on a perdu beaucoup d’altitude. Nous voici à 400 m après les dernières journées passées le plus souvent au dessus de 2 000 m. Le camping de Sospel est un peu bruyant à cause de sa proximité avec la route.
19ème journée : Col du Razet : D+ 695 m, D- 35m.
Encore une journée de repos.
Je décide de me dégourdir les jambes en partant tôt le matin pour faire un portage d’eau au col du Razet. A la fraiche et à l’ombre, la montée est agréable.
La journée sera ensuite très chaude. On part en fin d’après midi, dans l’idée d’arriver au col le soir. Mais malgré cette précaution, il fait vraiment très chaud dans la montée. Du col, on aperçoit Menton, fin du périple.
20ème jour : Menton, via Castellar : D+ 135 m, D- 1135 m
Dernière étape !
Une nouvelle fois, on se lève tôt, pour marcher à la fraiche. Malgré tout, il fait encore bien chaud, et finalement – comme je m’y attendais – nous préférons passer par Castellar plutôt que de suivre le GR52 jusqu’au bout, ce qui nous évite une dernière remontée.
Finalement, contrairement à ce que j’imaginais, c’est une bonne option. Arrivée à Castellar vers 10h30. On y flâne, y boit un coup. Ensuite, la descente sur Menton est somme toute agréable.
Baignade, glace, restau !
Au final : la rando s’est très bien passée. Malgré une météo capricieuse, avec pas mal de journées pluvieuses, puis en contraste des journées très chaudes en fin de parcours, lorsqu’on est à basse altitude.
Ce furent de bonnes vacances. On est arrivé à Menton une semaine plus tôt que prévu.
Une rando qui me conforte dans mon envie de marcher avec mon fils, même si on ne croise pas beaucoup d’enfants de son age sur les chemins.
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