Ile de Ré en décembre
Bonjour,
Selon mes souvenirs, il y une possibilité de mise à l'eau à coté du restaurant qui s’appelle la Patache. C'est un plage, et il y a un parking. On la trouve tout au bout de la route, après les Portes-en-Ré. C'est un endroit au les ostréiculteurs mouillent leurs plates, et il y a toujours un peu d'eau, alors qu'à Ars même...
Selon mes souvenirs, il y une possibilité de mise à l'eau à coté du restaurant qui s’appelle la Patache. C'est un plage, et il y a un parking. On la trouve tout au bout de la route, après les Portes-en-Ré. C'est un endroit au les ostréiculteurs mouillent leurs plates, et il y a toujours un peu d'eau, alors qu'à Ars même...
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
Merci Pathros,
Je note. J'ai vu aussi que l'on pouvait partir de Loix en fouillant un peu, mais on ne trouve pas grand chose.
La Patache me va bien, je serai justement aux Portes normalement.
Je note. J'ai vu aussi que l'on pouvait partir de Loix en fouillant un peu, mais on ne trouve pas grand chose.
La Patache me va bien, je serai justement aux Portes normalement.
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
Bonjour tafilou,
En relisant le fil de discussion, je me rends compte d'avoir répondu qu'à la moitié de la première question. Reste donc les précautions. Je connais assez bien l'ile, bien que n'ayant jamais pratiqué le kayak dans ce coin.
Par contre, j'ai eu à vivre une déconvenue, à la voile, qui éclairera sur les risques. En terme de précaution, donc, un seul mot : courant. Sur le fiers d'Ars, la reverse est assez brutale, elle se fait au moment de l'étale (lorsque la marée est à son plus haut ou à son plus bas) et est beaucoup moins progressive qu'ailleurs. Ceci fait que j'ai vu partir mon bateau à la dérive, dans une nuit sans lune, alors que nous étions tous à terre, et que j'avais mouillé une bonne longueur de chaine en prenant toutes les précautions d'usages... Sauf le feu de hune pour cause de batterie défaillante, ce qui fait que même avec le projecteur surpuissant du véhicule des pompiers, nous ne savions pas ou le bateau avait filé! Avec l'annexe, nous avions déjà sillonné le plan d'eau, mais c'était difficile et dangereux de traverser la veine de courant principal, nous étions donc résolu d'appelé les secours, ne serait-ce qu'à causse du danger que pouvait représenté un voilier à la dérive.
Heureusement, l’incident fut sans conséquence autre qu'une bonne peur : le bateau a été retrouvé dans les parcs à huitres le lendemain matin.
L'explication m'a été donné par un pompier, qui voit régulièrement ce genre de chose se produire, et même les plates ostréicoles qui mouillent à cet endroit sont régulièrement retrouvées sur les plage d'en fasse, du coté de l'aiguillon!
Que s'est-il passé? Le courant s'inverse si brutalement, que le mouillage n'a pas le temps d'éviter. La chaine se retourne sur elle même, se déroule dans le sens inverse de la tension, et quand elle arrive au bout de sa course, l'ancre se retourne et dérape.
Donc, faire bien attention aux horaires de marées, à leurs coefficients, et aux courant conséquents. Surtout qu'a marée basse, le Fiers ne se résume plus qu'à un mince ruisseau, ce n'est certes pas la baie du Mont-Saint-Michel, mais tout de même.
En relisant le fil de discussion, je me rends compte d'avoir répondu qu'à la moitié de la première question. Reste donc les précautions. Je connais assez bien l'ile, bien que n'ayant jamais pratiqué le kayak dans ce coin.
Par contre, j'ai eu à vivre une déconvenue, à la voile, qui éclairera sur les risques. En terme de précaution, donc, un seul mot : courant. Sur le fiers d'Ars, la reverse est assez brutale, elle se fait au moment de l'étale (lorsque la marée est à son plus haut ou à son plus bas) et est beaucoup moins progressive qu'ailleurs. Ceci fait que j'ai vu partir mon bateau à la dérive, dans une nuit sans lune, alors que nous étions tous à terre, et que j'avais mouillé une bonne longueur de chaine en prenant toutes les précautions d'usages... Sauf le feu de hune pour cause de batterie défaillante, ce qui fait que même avec le projecteur surpuissant du véhicule des pompiers, nous ne savions pas ou le bateau avait filé! Avec l'annexe, nous avions déjà sillonné le plan d'eau, mais c'était difficile et dangereux de traverser la veine de courant principal, nous étions donc résolu d'appelé les secours, ne serait-ce qu'à causse du danger que pouvait représenté un voilier à la dérive.
Heureusement, l’incident fut sans conséquence autre qu'une bonne peur : le bateau a été retrouvé dans les parcs à huitres le lendemain matin.
L'explication m'a été donné par un pompier, qui voit régulièrement ce genre de chose se produire, et même les plates ostréicoles qui mouillent à cet endroit sont régulièrement retrouvées sur les plage d'en fasse, du coté de l'aiguillon!
Que s'est-il passé? Le courant s'inverse si brutalement, que le mouillage n'a pas le temps d'éviter. La chaine se retourne sur elle même, se déroule dans le sens inverse de la tension, et quand elle arrive au bout de sa course, l'ancre se retourne et dérape.
Donc, faire bien attention aux horaires de marées, à leurs coefficients, et aux courant conséquents. Surtout qu'a marée basse, le Fiers ne se résume plus qu'à un mince ruisseau, ce n'est certes pas la baie du Mont-Saint-Michel, mais tout de même.
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)
Il est possible que j'aille sur l'île de Ré pour les fêtes.
Je me disais que je pourrais profiter de mon KG.
Puis, je me suis dit, la côte, bof, mais pourquoi pas le fiers d' Ars...
Certains d'entre vous l'ont-ils fait?
Où mettre à l'eau?
des précautions?
Merci pour vos retours
Copier le lien ci-dessus (ctrl+c) et partagez-le où bon vous semble. Ou cliquez sur les liens de partage (fb/twitter)