De Besançon à Carnac en passant par la Somme. Pérégrinations de Jacqueline
C'est devenu une habitude ! Chaque année, je me transforme en vélo-nomade pendant quelque temps.
Afin d'honorer une invitation à Carnac, en Bretagne, je vais m'y rendre à vélo depuis Besançon.
L'EuroVelo 6, je ne la connais que trop ! Je vais donc faire un détour. Un long détour !
De Besançon à Dijon où Gaël mon petit fils rejoint mon convoi pour m'accompagner quelques jours. Puis en suivant l'EuroVelo 3 je vais traverser Paris, de sa Banlieue sud à sa banlieue nord et en plein Jeux Olympiques... L'aventure c'est l'aventure !
Sortie de ce chaos, je me dirigerai vers la source de la Somme (le fleuve) pour rejoindre son embouchure. Et depuis là, je poursuivrai en longeant les côtes de la Manche pour ensuite traverser la Bretagne et arriver à temps, je l'espère fortement, à Carnac pour une fête avec mes amies.
Afin d'honorer une invitation à Carnac, en Bretagne, je vais m'y rendre à vélo depuis Besançon.
L'EuroVelo 6, je ne la connais que trop ! Je vais donc faire un détour. Un long détour !
De Besançon à Dijon où Gaël mon petit fils rejoint mon convoi pour m'accompagner quelques jours. Puis en suivant l'EuroVelo 3 je vais traverser Paris, de sa Banlieue sud à sa banlieue nord et en plein Jeux Olympiques... L'aventure c'est l'aventure !
Sortie de ce chaos, je me dirigerai vers la source de la Somme (le fleuve) pour rejoindre son embouchure. Et depuis là, je poursuivrai en longeant les côtes de la Manche pour ensuite traverser la Bretagne et arriver à temps, je l'espère fortement, à Carnac pour une fête avec mes amies.
Quand : 13/07/2024
Durée : 40 jours
Durée : 40 jours
Carnet publié par Jacqueline25
le 14 juil.
modifié le 20 août
modifié le 20 août
Mobilité douce
du pas de la porte au pas de la porte
371 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : 2 Dole - Dijon (mise à jour : 18 juil.)
Description :
Dimanche 14 juillet - 2e Jour
Dole / Saint-Jean-de-Losne / Dijon
Je quitte la jolie ville de Dole sous un soleil de plomb. Je n’aime pas le chaud et le soleil, surtout lorsque je suis perchée sur ma bicyclette. Je suis donc vêtue de la tête aux pieds, même en épisode caniculaire. Avouer que j’ai un peu chaud est un euphémisme. Je me suis aussi confectionnée une grande visière attachée à mon casque, mais ce n’est pas encore suffisant. J’arrive, en principe, avec le visage cramoisi à la fin de mes étapes.
Peu après Dole, la piste contourne l'important complexe industriel chimique Solvay, site jurassien classé Seveso qui a été pointé du doigt : il serait contaminé aux polluants éternels ou PFAS ayant un risque pour la santé publique. C’est aussi bien de s’en éloigner !
Lors de cette boucle je passe devant une élégante aire de repos paysagé pour cyclistes bien arborée avec fontaine pour se rafraîchir et possibilité de recharger des vélos électriques. En ce qui me concerne je continue à rouler avec mon vélo mécanique.
Pause à Saint-Jean-de-Losne. Petite ville très sympathique. Que d’eau ! Elle est a l'embranchement entre trois grandes voies de transport historique et de tourisme fluvial actuel : la Saône, vers le Rhône et la Méditerranée, le canal de Bourgogne, vers la Seine et le bassin parisien et le canal Rhin-Rhône, vers le Rhin et l’Europe du Nord et de l’Est.
Au niveau du port je trouve le canal de Bourgogne. Une longe ligne droite, tirée au cordeau, de trente kilomètres. Seules les côtes pour gravir les écluses et les ponts viennent rompre la monotonie du circuit.
Bien contente d’arriver à Dijon, car quelques échauffements, dus au cuissard et au niveau de la voûte plantaire, me procurent un peu d’inconfort.
C’est en famille que je passe une agréable soirée. Demain, Gaël, mon petit-fils de sept ans, m’accompagnera pour quelques étapes. Depuis cette année, il roule en toute autonomie. C’est plus facile pour moi, car auparavant, à mes quarante-cinq kg à tracter, je devais ajouter une trentaine de plus. Je me demande bien comment j’y parvenais !
Dole / Saint-Jean-de-Losne / Dijon
Je quitte la jolie ville de Dole sous un soleil de plomb. Je n’aime pas le chaud et le soleil, surtout lorsque je suis perchée sur ma bicyclette. Je suis donc vêtue de la tête aux pieds, même en épisode caniculaire. Avouer que j’ai un peu chaud est un euphémisme. Je me suis aussi confectionnée une grande visière attachée à mon casque, mais ce n’est pas encore suffisant. J’arrive, en principe, avec le visage cramoisi à la fin de mes étapes.
Peu après Dole, la piste contourne l'important complexe industriel chimique Solvay, site jurassien classé Seveso qui a été pointé du doigt : il serait contaminé aux polluants éternels ou PFAS ayant un risque pour la santé publique. C’est aussi bien de s’en éloigner !
Lors de cette boucle je passe devant une élégante aire de repos paysagé pour cyclistes bien arborée avec fontaine pour se rafraîchir et possibilité de recharger des vélos électriques. En ce qui me concerne je continue à rouler avec mon vélo mécanique.
Pause à Saint-Jean-de-Losne. Petite ville très sympathique. Que d’eau ! Elle est a l'embranchement entre trois grandes voies de transport historique et de tourisme fluvial actuel : la Saône, vers le Rhône et la Méditerranée, le canal de Bourgogne, vers la Seine et le bassin parisien et le canal Rhin-Rhône, vers le Rhin et l’Europe du Nord et de l’Est.
Au niveau du port je trouve le canal de Bourgogne. Une longe ligne droite, tirée au cordeau, de trente kilomètres. Seules les côtes pour gravir les écluses et les ponts viennent rompre la monotonie du circuit.
Bien contente d’arriver à Dijon, car quelques échauffements, dus au cuissard et au niveau de la voûte plantaire, me procurent un peu d’inconfort.
C’est en famille que je passe une agréable soirée. Demain, Gaël, mon petit-fils de sept ans, m’accompagnera pour quelques étapes. Depuis cette année, il roule en toute autonomie. C’est plus facile pour moi, car auparavant, à mes quarante-cinq kg à tracter, je devais ajouter une trentaine de plus. Je me demande bien comment j’y parvenais !