On voulait voir Vesoul...
... Et on a (aussi) vu Épinal !
Une escapade de 5 jours entre Doubs, Haute-Saône et Vosges.
Une escapade de 5 jours entre Doubs, Haute-Saône et Vosges.
Carnet publié par Manon
le 14 juin
modifié le 01 juil.
modifié le 01 juil.
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
train
Précisions :
Départ à vélo de la maison et retour en train de Belfort via Besançon et Dole.
Coup de coeur !
587 lecteur(s)
-
Vue d'ensemble
Le topo : Itinéraire, topo, bilan (mise à jour : 13 juin)
Le compte-rendu : Itinéraire, topo, bilan (mise à jour : 13 juin)
Au départ était la source : aller voir celles de la Saône et de l'Ognon, se rendre à celle de la meilleure cancoillotte (selon mes critères gustatifs) et faire le plein, la ferme se trouve sur la route.
Ce carnet aurait donc pu s'appeler "Pour un pot de cancoillotte" (inspiré par celui d'Anthony), mais nous laisserons finalement tomber la cancoillotte, ne pouvant trop nous charger ni la conserver pendant 3 jours. Pour les ravito, on préfèrera le munster.
Et de fil en aiguille, l'itinéraire se faisant, des envies s'ajoutent : (re)voir Vesoul, découvrir Épinal, retrouver les Vosges...
Mais un seul objectif : se faire plaisir, cela va de soi.
Un tracé assez "direct" jusqu'à Épinal, avec l'appui d'openrunner (le tracé automatique "cyclotourisme-gravel" est plutôt bien, il nous convient en tout cas (toutes petites routes, pistes, chemins) même s'il faut le passer consciencieusement en revue en amont pour vérifier que certains passages ne sont tout de même pas trop olé olé trop longtemps sans VTT).
Ce que l'on retient :
- Des petites routes calmes où le cycliste se sent considéré en tant qu'usager de la route, respecté par l'automobiliste, une marque de la Haute-Saône que nous avions déjà pu constater lors d'une précédente virée où l'on remontait le cours de l'Ognon. Confirmée donc.
- Bivouac pas toujours évident à dénicher en plaine saônoise (terres cultivées ou sols des forêts inhospitaliers), mais dans les petits villages, un espace vert ou zone de loisir un peu à l'écart fait tout à fait l'affaire.
- Des villages encore vivants (petits commerces).
- Vent du nord jusqu'à Épinal, puis de sud jusqu'à Belfort, Murphy quoi.
- Une myriade de curiosités (géologiques, culturelles, architecturales...) dont on n'a entraperçu que le pouième.
Ce carnet aurait donc pu s'appeler "Pour un pot de cancoillotte" (inspiré par celui d'Anthony), mais nous laisserons finalement tomber la cancoillotte, ne pouvant trop nous charger ni la conserver pendant 3 jours. Pour les ravito, on préfèrera le munster.
Et de fil en aiguille, l'itinéraire se faisant, des envies s'ajoutent : (re)voir Vesoul, découvrir Épinal, retrouver les Vosges...
Mais un seul objectif : se faire plaisir, cela va de soi.
Un tracé assez "direct" jusqu'à Épinal, avec l'appui d'openrunner (le tracé automatique "cyclotourisme-gravel" est plutôt bien, il nous convient en tout cas (toutes petites routes, pistes, chemins) même s'il faut le passer consciencieusement en revue en amont pour vérifier que certains passages ne sont tout de même pas trop olé olé trop longtemps sans VTT).
Ce que l'on retient :
- Des petites routes calmes où le cycliste se sent considéré en tant qu'usager de la route, respecté par l'automobiliste, une marque de la Haute-Saône que nous avions déjà pu constater lors d'une précédente virée où l'on remontait le cours de l'Ognon. Confirmée donc.
- Bivouac pas toujours évident à dénicher en plaine saônoise (terres cultivées ou sols des forêts inhospitaliers), mais dans les petits villages, un espace vert ou zone de loisir un peu à l'écart fait tout à fait l'affaire.
- Des villages encore vivants (petits commerces).
- Vent du nord jusqu'à Épinal, puis de sud jusqu'à Belfort, Murphy quoi.
- Une myriade de curiosités (géologiques, culturelles, architecturales...) dont on n'a entraperçu que le pouième.