CHEMINS D'AVENTURES
BLOG DE VOYAGES ET DE TREKS
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vélo de randonnée
randonnée/trek
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Quand : 20/07/2024
Durée : 23 jours
Durée : 23 jours
Carnet publié par Dids06
le 17 juin 2023
modifié le 24 août 2023
modifié le 24 août 2023
Mobilité douce
Réalisé en utilisant transports en commun (train, bus, bateau...)
C'est possible (ou réalisé) en
bus
1058 lecteur(s)
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Vue d'ensemble
Le topo : GR5 (mise à jour : 18 juin 2023)
Description :
De la vallée de la Tinée (alpes Maritimes) à la vallée de Chamonix à pied..juillet 2005
Le compte-rendu : GR5 (mise à jour : 18 juin 2023)
De la vallée de la Tinée (alpes Maritimes) à la vallée de Chamonix à pied..juillet 2005
Le 13/12/2006 à 01:36h
Parcourir la distance entre Saint Etienne de tinée et Chamonix en traversant les Alpes à pied representait pour moi un veritable défi; d´abord celui de la solitude; 3 semaines de nomadisme solitaire peut faire peur au premier abord; celui aussi de la résistance : + de 14 000 mètres de dénivellé autant en monté qu´en descente; pas évident de pouvoir supporter; celui de l´isolement : j´ai fait le choix de transporter avec moi tente et ravitaillement pour pouvoir etre le plus autonome possible; je voulais vraiment faire l´expérience de la liberté totale : itinéraire, stops, bivouacs, rencontres...je voulais vivre pleinement ce trek sans autres contraintes que celles dictées par la Nature et par moi-même...et puis j´avais envie de m´ouvrir pleinement aux rencontres aussi et me donner le choix de m´attarder ou non..
Une fois mon sac bouclé avec mes 21 kg sur le dos, me voila parti pour attaquer la 1ere difficulté, le passage du pas de la Caval à + de 2600m; ce col sert de demarcation entre
le mercantour et l´ubbaye; inutile de dire que l´arrivée se fait dans la souffrance et que la descente le long du vallon du Lauzanier, censée etre plutot paisible, fut interminable; le 1er repos se fera au camping de Larche; le lendemain, le reveil est douloureux; tous les muscles font mal et j´ai du mal à repartir; le temps est encore au beau et je sais que je
ne peux trop m´attarder non plus; je dois impérativement me retrouver à genéve 23 jours + tard pour prendre mon vol retour pour Nice; alors je décide d´avancer pour tenter de gagner le col de Mallemort, une "bavante" du coin..1000 mètres de dénivellé ! ´ça en est trop pour moi...le mauvais temps arrive á grande vitesse, la fatigue me fait faire du surplace et le moral n´y est pas du tout...alors je suis contraint à l´abandon à 300 mètres du col...je redescends et rejoins la route après 3 heures de marche; j´entreprend du faire du stop sous l´orage et un couple de lilois me transporte jusqu´à Jausiers ou je décide de me reposer toujours en camping.
Le jour suivant est un autre jour; le ciel bleu est revenu, le moral aussi et l´envie d´avancer me conduit en stop jusqu´au col de Vars...de là une formidable descente á pied
jusqu`a Guillestre d´ou je prends un bus pour gagner Ceillac; petite et charmante localité de montagne, Ceillac sera véritablement pour moi le début du trek. En ce 14 juillet, je retouve completement par hasard une ancienne collègue de boulot, Isabelle, avec qui je partagerai un ptit génépi et un joli feu d´artifice..je la retrouverai d´ailleurs le lendemain
sur le col de Fromage, en plein coeur du parc régional du Queyras...Passé le col,une longue redesente me mène à chateau Queyras, et à sa citadelle qui domine la vallée; un ptit diner bio bien copieux au resto "le temps de vivre" histoire de recharger les batteries avant de poursuivre jusqu´au hameau de Brunissard le lendemain (via le lac de Roue); je rencontre jacques(un prof Belge qui revient ici tous les ans en moto)et Arnaud, 2 campeurs; nous passons la soirée ensemble à déguster de savoureux breuvages locaux..le
ciel étoilé est de toute beauté et nous nous souhaitons "bonne vie" avant de nous séparer. le jour suivant, je regagne Briançon par le col des Ayes et le hameau du même nom;
je décide de dormir dans un vrai lit cette nuit et fais du stop jusqu´au gite des Alberts dans la vallée de Névache; je partage le diner avec les proprios qui ont recueilli un népalais, et leur fille, qui vient de passer plusieurs mois en Inde; super sympa la soirée! le lendemain sera journée de repos (la seule que je m´accorderai vraiment) d´autant que la pluie est au rendez-vous; j´en profite pour visiter la cité, réellement superbe avec ses remparts et son cachet d´autrefois. un ptit détour en stop á la station de ski de Montgenèvre, proche de la frontière italienne. Elle n´a vraiment rien de trés attirant ! seule note positive, la rencontre avec un italien, un sculteur qui a des salles d´expos un peu partout dans le monde.
Le lendemain, le temps est au beau fixe et je repars avec "la pêche"; je traverse la vallée de la Clarée et remonte en direction du lac..
j´arrive dans un petit refuge italien et je décide en fin d apres-midi de gravir les 900 mètres de dénivellé qui me séparent du refuge du Mont Thabor...arrivé au col, je suis déjá en savoie..diner au refuge (bien mérité après les 1500 metres enfilés dans la journée) et bivouac au bord du lac..
Le lendemain, c´est la grande redescente vers Modane, dans la vallée de la Maurienne en passant par Valfrejus; un stop en camping car permet de me hisser en soirée jusqu´à Orgère en bordure du Parc National de la Vanoise. première nuit en refuge pour préparer la journée de demain qui s´annonce longue avec le franchissement du col de Chavière á 2800 mètres d´altitude, le passage au Lac Blanc, et la redescente sur Pralognan. Pralognan est vraiment un village de montagne sympa; plein de ptits restos (ça manquait!) et de gens amoureux de la nature; une soirée diapo sur le Népal á la salle municipale donne envie d´échafauder d´autres plans "évasions"...
Une journée sac à dos léger (ça fait du bien!) pour découvrir les glaciers de la Vanoise, la vision de la Grande Casse, et le refuge de la Vanoise.
Les choses sérieuses rédémarrent depuis Champagny en Vanoise; une longue montée au Col du Palet (2652m), en passant par le refuge des glières, soit 1300 metres de dénvellé; derriere le col, le plus grand domaine skiable du monde, Tignes et les stations de la Tarentaise.
Heureusement, mon chemin prend la direction opposé et j´installe mon bivouac prés du refuge du Palet. Le coucher de soleil sur les glaciers de la Vanoise depuis le col est extra!
Une longue redescente le lendemain m´attend pour rejoindre Les Lanches; je passe prés du superbe lac de la Plagne et le gite de Rosuel. La nuitée se fera au camping local tenu par un proprio génial qui m´invitera à prendre l´appéro..
Ça repart pour la 13ème étape, direction Valezan par Monchavin et Landry..montée, descente, remontée..en tout, 800 metres de dénivellé dans les 2 sens pour un parcours peu intéressant; la chaleur présente en basse altitude m´incite à ne pas m´attarder trop longtemps; heureusement, Valezan, à 1400 metres est doté d´un gite extra; je crois que je n´ai jamais autant mangé dans une auberge (ça me vaudra quelques frayeures intestinales pendant la nuit..); et puis je fais connaissance avec Marie et sa copine, 2 baroudeuses chevronnées, qui font le tour du Beaufortain. On se retrouvera sur 2 autres étapes pour partager nos récits de voyage et de bons cafés matinaux..
Au ptit matin, cap sur le refuge de Balme à 2100m puis dans l´apres-midi sur celui de Presset, 400m + haut; la, un énorme fromage blanc aux myrtilles m´attend comme récompense à tous ces efforts. Je plante ma tente en bordure du lac avec la vision de la Pierre à Menta se refletant dans l´eau au coucher du soleil...splendide!
Lever aux aurores pour passer le col du Grand fond à 2670m d´ou la vue est splendide; c´est la quinzième étape et pour la première fois, j´aperçois le Mont Blanc qui se dégage au loin; je sais que à partir de maintenant, le compte à rebourt avant l´arrivée finale est commencé. Une longue redescente s´engage alors, d´abord le long de la combe de la
neuve puis jusqu´au refuge du Plan de La Lai; en route, sous le Cormet de Roselend, je rencontre un jeune fromager qui m´invite à déjeuner avec lui. Je plante la tente proche du refuge et je croise Cibile et Laurent, 2 profs d´EPS en Suisse avec qui je passe la soirée; ils sont partis de nice voilà 3 semaines et se dirigent vers Chamonix; une ptite ballade en direction du grand lac de Roselend conclue cette journée.
Le lendemain levé 6h du mat, cap sur le col de la croix du bonhomme, via le col de Sauce et la crête des Gittes; le sentier de crête est assez aérien et requiert un maximum de vigilance et d´attention pour ne pas glisser. La vista sur le Mont blanc se rapprochant au fur et à mesure est top!un café au refuge avant de redescendre vers le chalet de la
Balme et de repartir en direction du refuge de Tré la Tête à 1970 m. Bivouac face au glacier; un long parcours en balcon pour rejoindre les chalets de Miage et une nuit confortable passée au gite de Champel avant d' affronter la dernière étape du trek; une soirée fondue avec des baroudeurs retraités permet de cloturer en beauté.
Le dernier jour de trek est marqué par le franchissement du col de Voza avant de rejoindre Chamonix. Une petite halte magique au ptit bar alpin des "vieilles luges", ou les décors intérieur et extérieur sont carrément sublimes; la vue en enfilade sur tout le massif français du Mont Blanc est spectaculaire.
La dernière heure pour relier Le hameau des Houches à Cham est bien arosée puisqu'elle se fait sous la pluie...après mon installation au camping local, je me mets en quête du meilleur resto de la ville pour fêter dignement la fin de ce périple; et je croise, sans le vouloir, mon ami JD qui faisait de même!!
Le 13/12/2006 à 01:36h
Parcourir la distance entre Saint Etienne de tinée et Chamonix en traversant les Alpes à pied representait pour moi un veritable défi; d´abord celui de la solitude; 3 semaines de nomadisme solitaire peut faire peur au premier abord; celui aussi de la résistance : + de 14 000 mètres de dénivellé autant en monté qu´en descente; pas évident de pouvoir supporter; celui de l´isolement : j´ai fait le choix de transporter avec moi tente et ravitaillement pour pouvoir etre le plus autonome possible; je voulais vraiment faire l´expérience de la liberté totale : itinéraire, stops, bivouacs, rencontres...je voulais vivre pleinement ce trek sans autres contraintes que celles dictées par la Nature et par moi-même...et puis j´avais envie de m´ouvrir pleinement aux rencontres aussi et me donner le choix de m´attarder ou non..
Une fois mon sac bouclé avec mes 21 kg sur le dos, me voila parti pour attaquer la 1ere difficulté, le passage du pas de la Caval à + de 2600m; ce col sert de demarcation entre
le mercantour et l´ubbaye; inutile de dire que l´arrivée se fait dans la souffrance et que la descente le long du vallon du Lauzanier, censée etre plutot paisible, fut interminable; le 1er repos se fera au camping de Larche; le lendemain, le reveil est douloureux; tous les muscles font mal et j´ai du mal à repartir; le temps est encore au beau et je sais que je
ne peux trop m´attarder non plus; je dois impérativement me retrouver à genéve 23 jours + tard pour prendre mon vol retour pour Nice; alors je décide d´avancer pour tenter de gagner le col de Mallemort, une "bavante" du coin..1000 mètres de dénivellé ! ´ça en est trop pour moi...le mauvais temps arrive á grande vitesse, la fatigue me fait faire du surplace et le moral n´y est pas du tout...alors je suis contraint à l´abandon à 300 mètres du col...je redescends et rejoins la route après 3 heures de marche; j´entreprend du faire du stop sous l´orage et un couple de lilois me transporte jusqu´à Jausiers ou je décide de me reposer toujours en camping.
Le jour suivant est un autre jour; le ciel bleu est revenu, le moral aussi et l´envie d´avancer me conduit en stop jusqu´au col de Vars...de là une formidable descente á pied
jusqu`a Guillestre d´ou je prends un bus pour gagner Ceillac; petite et charmante localité de montagne, Ceillac sera véritablement pour moi le début du trek. En ce 14 juillet, je retouve completement par hasard une ancienne collègue de boulot, Isabelle, avec qui je partagerai un ptit génépi et un joli feu d´artifice..je la retrouverai d´ailleurs le lendemain
sur le col de Fromage, en plein coeur du parc régional du Queyras...Passé le col,une longue redesente me mène à chateau Queyras, et à sa citadelle qui domine la vallée; un ptit diner bio bien copieux au resto "le temps de vivre" histoire de recharger les batteries avant de poursuivre jusqu´au hameau de Brunissard le lendemain (via le lac de Roue); je rencontre jacques(un prof Belge qui revient ici tous les ans en moto)et Arnaud, 2 campeurs; nous passons la soirée ensemble à déguster de savoureux breuvages locaux..le
ciel étoilé est de toute beauté et nous nous souhaitons "bonne vie" avant de nous séparer. le jour suivant, je regagne Briançon par le col des Ayes et le hameau du même nom;
je décide de dormir dans un vrai lit cette nuit et fais du stop jusqu´au gite des Alberts dans la vallée de Névache; je partage le diner avec les proprios qui ont recueilli un népalais, et leur fille, qui vient de passer plusieurs mois en Inde; super sympa la soirée! le lendemain sera journée de repos (la seule que je m´accorderai vraiment) d´autant que la pluie est au rendez-vous; j´en profite pour visiter la cité, réellement superbe avec ses remparts et son cachet d´autrefois. un ptit détour en stop á la station de ski de Montgenèvre, proche de la frontière italienne. Elle n´a vraiment rien de trés attirant ! seule note positive, la rencontre avec un italien, un sculteur qui a des salles d´expos un peu partout dans le monde.
Le lendemain, le temps est au beau fixe et je repars avec "la pêche"; je traverse la vallée de la Clarée et remonte en direction du lac..
j´arrive dans un petit refuge italien et je décide en fin d apres-midi de gravir les 900 mètres de dénivellé qui me séparent du refuge du Mont Thabor...arrivé au col, je suis déjá en savoie..diner au refuge (bien mérité après les 1500 metres enfilés dans la journée) et bivouac au bord du lac..
Le lendemain, c´est la grande redescente vers Modane, dans la vallée de la Maurienne en passant par Valfrejus; un stop en camping car permet de me hisser en soirée jusqu´à Orgère en bordure du Parc National de la Vanoise. première nuit en refuge pour préparer la journée de demain qui s´annonce longue avec le franchissement du col de Chavière á 2800 mètres d´altitude, le passage au Lac Blanc, et la redescente sur Pralognan. Pralognan est vraiment un village de montagne sympa; plein de ptits restos (ça manquait!) et de gens amoureux de la nature; une soirée diapo sur le Népal á la salle municipale donne envie d´échafauder d´autres plans "évasions"...
Une journée sac à dos léger (ça fait du bien!) pour découvrir les glaciers de la Vanoise, la vision de la Grande Casse, et le refuge de la Vanoise.
Les choses sérieuses rédémarrent depuis Champagny en Vanoise; une longue montée au Col du Palet (2652m), en passant par le refuge des glières, soit 1300 metres de dénvellé; derriere le col, le plus grand domaine skiable du monde, Tignes et les stations de la Tarentaise.
Heureusement, mon chemin prend la direction opposé et j´installe mon bivouac prés du refuge du Palet. Le coucher de soleil sur les glaciers de la Vanoise depuis le col est extra!
Une longue redescente le lendemain m´attend pour rejoindre Les Lanches; je passe prés du superbe lac de la Plagne et le gite de Rosuel. La nuitée se fera au camping local tenu par un proprio génial qui m´invitera à prendre l´appéro..
Ça repart pour la 13ème étape, direction Valezan par Monchavin et Landry..montée, descente, remontée..en tout, 800 metres de dénivellé dans les 2 sens pour un parcours peu intéressant; la chaleur présente en basse altitude m´incite à ne pas m´attarder trop longtemps; heureusement, Valezan, à 1400 metres est doté d´un gite extra; je crois que je n´ai jamais autant mangé dans une auberge (ça me vaudra quelques frayeures intestinales pendant la nuit..); et puis je fais connaissance avec Marie et sa copine, 2 baroudeuses chevronnées, qui font le tour du Beaufortain. On se retrouvera sur 2 autres étapes pour partager nos récits de voyage et de bons cafés matinaux..
Au ptit matin, cap sur le refuge de Balme à 2100m puis dans l´apres-midi sur celui de Presset, 400m + haut; la, un énorme fromage blanc aux myrtilles m´attend comme récompense à tous ces efforts. Je plante ma tente en bordure du lac avec la vision de la Pierre à Menta se refletant dans l´eau au coucher du soleil...splendide!
Lever aux aurores pour passer le col du Grand fond à 2670m d´ou la vue est splendide; c´est la quinzième étape et pour la première fois, j´aperçois le Mont Blanc qui se dégage au loin; je sais que à partir de maintenant, le compte à rebourt avant l´arrivée finale est commencé. Une longue redescente s´engage alors, d´abord le long de la combe de la
neuve puis jusqu´au refuge du Plan de La Lai; en route, sous le Cormet de Roselend, je rencontre un jeune fromager qui m´invite à déjeuner avec lui. Je plante la tente proche du refuge et je croise Cibile et Laurent, 2 profs d´EPS en Suisse avec qui je passe la soirée; ils sont partis de nice voilà 3 semaines et se dirigent vers Chamonix; une ptite ballade en direction du grand lac de Roselend conclue cette journée.
Le lendemain levé 6h du mat, cap sur le col de la croix du bonhomme, via le col de Sauce et la crête des Gittes; le sentier de crête est assez aérien et requiert un maximum de vigilance et d´attention pour ne pas glisser. La vista sur le Mont blanc se rapprochant au fur et à mesure est top!un café au refuge avant de redescendre vers le chalet de la
Balme et de repartir en direction du refuge de Tré la Tête à 1970 m. Bivouac face au glacier; un long parcours en balcon pour rejoindre les chalets de Miage et une nuit confortable passée au gite de Champel avant d' affronter la dernière étape du trek; une soirée fondue avec des baroudeurs retraités permet de cloturer en beauté.
Le dernier jour de trek est marqué par le franchissement du col de Voza avant de rejoindre Chamonix. Une petite halte magique au ptit bar alpin des "vieilles luges", ou les décors intérieur et extérieur sont carrément sublimes; la vue en enfilade sur tout le massif français du Mont Blanc est spectaculaire.
La dernière heure pour relier Le hameau des Houches à Cham est bien arosée puisqu'elle se fait sous la pluie...après mon installation au camping local, je me mets en quête du meilleur resto de la ville pour fêter dignement la fin de ce périple; et je croise, sans le vouloir, mon ami JD qui faisait de même!!