Test de vêtements en laine mérinos
Cela fait plusieurs années que nous plébiscitons les vêtements en laine de mérinos (ou en mixte laine / synthétique), qui sont vraiment agréables à porter et présentent le gros avantage de très peu sentir même après de nombreux jours d’utilisation sportive. D’autre part, la laine se comporte bien en conditions humides. Bref un tissu technique mis au point par la nature que l’on redécouvre.
Ce type de vêtements devenant de plus en plus répandu et apprécié, nous avons voulu présenter les produits proposés par les marques Woolpower, Devold, Smartwool, Ortovox, Patagonia, Rab, Icebreaker, Teko, Bergans, Arc'teryx, Helly Hansen, Quechua et Henjl (marque artisanale française). En tout, c'est une centaine de produits (premières et deuxièmes couches, collants, sous-vêtements, chaussettes, bonnets et sous-gants) que vous retrouverez dans ce test.
Les liens des tableaux ci-dessous vous permettront d’accéder au descriptif de chacun des produits, avec les photos de détail associées.
Les produits testés sont classés dans six tableaux présentant leurs principales caractéristiques (cliquez sur un lien ci-dessous pour aller au tableau associé) :
[Mise à jour mars 2015 : vêtements Bergans of Norway]
[Mise à jour mars 2015 : comparatif de chaussettes Teko, tests d'isolation et de séchage des chaussettes en mérinos]
[Mise à jour décembre 2015 : vêtements Arc'teryx, Helly Hansen, Rab, Devold, Natural Peak, tests d'isolation et de séchage]
[Mise à jour décembre 2015 : test de vêtements à base de fibres de bois Natural Peak et comparaison avec la laine mérinos]
Avantages et inconvénients des vêtements en laine mérinos
Voici les principaux avantages que nous trouvons aux vêtements techniques en laine de mouton mérinos :
- Ils évitent ou du moins retardent fortement l'apparition des mauvaises odeurs issues de la transpiration, grâce à sa propriété anti-bactérienne. Même après plusieurs jours d’efforts par forte chaleur, les premières couches en mérinos ne sentent quasiment pas, et sont réutilisables plusieurs jours sans lavage (notez d’ailleurs qu’il n’est pas conseillé de laver ces vêtements trop souvent pour préserver leur durée de vie). Cette propriété anti-odeur constitue probablement la différence la plus flagrante avec les vêtements techniques en synthétique.
- Ils sont très respirants, et évacuent efficacement l’humidité du corps vers la surface du tissu, où elle s’évapore. La bonne gestion de la transpiration est un atout fondamental par rapport aux vêtements en coton, qui se gorgent d'eau et deviennent des puits de chaleur après l'effort du fait de l'évaporation.
- Ils sont souvent d’utilisation très polyvalente, en restant agréables même portés en unique couche lors de journées d’amplitude thermique élevée*.
- Ils donnent l’impression de très peu s’humidifier, et on reste au chaud même humide* (jusqu'à un certain point).
- Ils constituent un très bon rapport chaleur/poids.
- Ils sont agréables à porter : légèrement stretch et ils grattent beaucoup moins que des pulls en laine de mouton classique, grâce aux fibres plus fines. Par ailleurs ces vêtements se froissent peu.
- La laine mérinos est aussi : naturelle, renouvelable, biodégradable, ignifuge...
* Cela est dû aux propriétés de la laine qui se contracte sous l’effet de la chaleur, en permettant de mieux évacuer l’air chaud, alors qu’inversement en présence de froid et d’humidité (notamment issue de la transpiration), la laine se gonfle et permet de mieux emprisonner l’air, ce qui augmente ses capacités isolantes (lire à ce sujet l’article de David Manise dans Carnets d’Aventures n°19). La nature est bien faite, non ? Bref, la laine reste le meilleur matériau en terme de régulation thermique.
Les inconvénients de la laine mérinos sont pour nous :
- Le prix est assez élevé. Néanmoins, investir dans quelques bons vêtements techniques nous paraît indispensable pour l'itinérance ou la montagne (le coton est à proscrire pour les raisons évoquées).
- Une certaine fragilité… Faire attention à ne pas accrocher vos vêtements, à respecter les consignes d’entretien... Un sac à dos lourd et bien serré aux hanches pourra user un vêtement trop léger, et certaines coutures s’abîment vite par frottement répété. En général, la laine « bouloche » aussi un peu avec le temps. Enfin la laine naturelle attire davantage que les fibres synthétiques les mites et autres insectes, attention donc où on laisse ces vêtements si on veut éviter les trous !
- D’une manière générale, la laine sèche moins vite que le synthétique (une fine première couche sèchera tout de même très bien). Cependant cela est aussi un atout, puisque la laine humide reste chaude plus longtemps (le séchage plus lent retarde la dissipation de chaleur par évaporation que le corps doit subir).
Enfin, on aime particulièrement l’association de laine mérinos et de fibres synthétiques proposée sur de nombreux vêtements : ceux-ci sont souvent très agréables à porter (y compris pour ceux pour qui la laine gratte), et offrent un bon compromis de résistance à l'abrasion, durabilité, temps de séchage, retardement des odeurs, etc…
Protocole de test et résultats généraux
Nous avons testé tous les vêtements dans des conditions et activités aussi diverses que possible, pendant plusieurs mois, et en général lors de voyages itinérants, séjours pour lesquels les vêtements techniques revêtent une importance particulière.
Pour nous aider à comparer objectivement la qualité des vêtements testés, nous avons mis en place, lorsque cela nous semblait nécessaire, quelques protocoles expérimentaux, en particulier pour mesurer l’isolation thermique (« la chaleur ») et le temps de séchage de différentes fibres utilisées, puisque ce sont des critères souvent mis en avant par les fabricants.
Notre protocole de test de chaleur a été largement éprouvé pour nos tests de sacs de couchage, de gants de montagne chauds, de doudounes, etc… En bref, on introduit une bouteille d’eau chaude dans le vêtement (ci-contre des chaussettes), on mesure l’évolution de sa température au cours du temps ainsi que la température extérieure, et on en déduit la résistance thermique (coefficient R exprimé en K/W) apportée par le vêtement par rapport à une bouteille témoin (voir Carnets d'Aventures n°33 pour en savoir plus sur la formule utilisée).
Notre protocole de test de séchage est le suivant : les vêtements sont trempés dans une bassine d’eau, puis mis à essorer en machine. Ceux-ci ressortent avec une certaine quantité d’eau, dont nous mesurons l’évolution du poids avec le temps (sur plusieurs heures). On compare ensuite les courbes de pourcentage d’humidité dans le vêtement et les temps de séchage complet.
Vous trouverez les résultats de nos tests dans les pages des vêtements concernés. Si ces protocoles ne représentent pas exactement les conditions réelles d’utilisation et ne se substituent pas aux tests terrain, ils permettent une comparaison objective complémentaire et utile, notamment pour mettre à l’épreuve certains arguments marketing. Au final, nous pouvons tirer quelques enseignements généraux de nos tests et de notre expérience terrain, au sujet des différentes qualités que l’on peut apprécier pour un vêtement technique :
- La chaleur (l’isolation thermique) d’un vêtement est en général corrélée au grammage du tissu, mais on peut également trouver des différences sur le rapport chaleur/poids des vêtements. En particulier, un vêtement plus épais, par exemple tissé en bouclettes à l’intérieur, permet d’emprisonner plus d’air, donc de mieux isoler le corps de l’extérieur. Rappelons qu’en matière de rapport chaleur/poids, rien ne vaut la plume (voir notre dernier comparatif de doudounes et notre article sur le duvet), mais celle-ci est moins modulaire que la laine pour une utilisation à l’effort.
- La régulation thermique, elle, est intimement liée au métabolisme du porteur, donc s’apprécie plutôt sur le terrain. Si votre priorité est la régulation thermique de votre vêtement, c’est-à-dire un vêtement qui est agréable à porter dans une large plage de température, qui reste chaud même en ayant transpiré, et sans sensation d’humidité, optez pour la laine (ou une forte proportion) ! Rappelons d’ailleurs que le corps humain ne possède pas de capteur d’humidité, la sensation d’humidité est en fait une sensation de froid due à l’évaporation du vêtement, qui consomme l’énergie calorifique du corps.
- La rapidité de séchage n’est pas le point fort de la laine en général, précisément parce qu’elle régule bien la température corporelle en présence d’humidité (en particulier issue de la transpiration). Il faut savoir ce qu’on veut ! Néanmoins, certains fabricants mélangent des fibres synthétiques (souvent polyester) à la laine pour parvenir à améliorer le séchage. Notre test a confirmé que cela marche plutôt bien (par exemple les fibres MeCo de Rab, ou Evapor8 pour la gamme SIN3RGI de Teko). D’une manière générale, le résultat nous semble donc intéressant, avec des produits mixtes qui sèchent aussi bien voire mieux que d’autres 100% synthétique, d’autant que l’inclusion de synthétique permet souvent une meilleure tenue et une meilleure durabilité. Mais cela reste un compromis, et tout dépend des propriétés que l’on privilégie (on n’a pas forcément besoin de vêtements qui sèchent vite…).
- Si votre priorité est d’avoir des vêtements qui ne sentent pas mauvais après une journée (ou plus) d’utilisation, fuyez le tout synthétique, et optez pour une grande proportion de laine. Certains vêtements utilisent des mélanges de fibres, des renforts ou aérations en synthétique. Ce sont ces fibres qui sentent mauvais en premier, notamment les renforts en nylon de vos chaussettes après une journée de marche. Dans tous les cas, bien faire sécher vos vêtements mérinos après utilisation, ce qui leur permet en général de conserver ou de retrouver une odeur assez neutre, même après plusieurs jours d’utilisation active.
- Le confort est un critère subjectif qui s’apprécie au cas par cas. On peut comparer le stretch des vêtements (grâce à leur structure en élasthanne), des éléments d’inconfort éventuel (coutures, zips…), ou la laine elle-même, qui peut éventuellement gratter un peu ceux qui y sont sensibles. La finesse des fibres de mérinos a une influence sur le confort (c’est pour cela qu’elle gratte moins que la laine classique), et en général l’ajout de fibres synthétiques (ou d’autres fibres végétales comme le Tencel utilisé par Ortovox) rend aussi le vêtement plus doux. Certains des vêtements testés, qui contiennent 50% de laine, ont le même aspect et la même douceur que des vêtements techniques synthétiques.
- La durabilité n’est en général pas à l’avantage des vêtements en laine mérinos, cela dit un vêtement bien fini et utilisé soigneusement vous rendra service longtemps. Nous vous conseillons de ne pas laver pas vos vêtements trop souvent, ce qui est inutile du fait de leur propriété anti-bactérienne, d’utiliser une lessive spéciale laine et un programme de lavage doux à 40°C, et surtout de respecter les préconisations du fabricant. Gardez aussi vos vêtements à l’abri des agressions extérieures (branchages, brindilles, insectes…). Vous pouvez aussi opter pour un vêtement contenant une certaine part de synthétique, ce qui améliore en général le maintien et la durée de vie, mais ce n’est pas une garantie absolue.
Éthique et environnement
Les vêtements testés sont en général constitués de laine produite dans le respect des normes éthiques et environnementales. Les techniques controversées sont notamment l’emploi de produits toxiques pour le traitement de la laine vierge, et la pratique du « mulesing » pour la production de laine. Le mulesing consiste à retirer de la peau au niveau de la croupe des moutons mérinos pour éviter que les parasites viennent y pondre. Cette pratique fait souffrir l'animal, comme souvent d'autres mauvais traitements associés lors de la tonte. La laine d’Australie est souvent critiquée pour cette raison (notamment dénoncée par l'association de défense des animaux PETA), bien que les fabriquants concernés certifient que leurs fournisseurs australiens ne pratiquent pas le mulesing.
Les marques communiquent plus ou moins sur l'origine de leurs laine et sur leur charte éthique, environnementale, et qualité pour la production de leurs vêtements. Pour en savoir plus sur les marques, cliquez sur les fiches de test associées... Si l'on peut légitimement se poser des questions sur le respect des principes moraux et environnementaux pour la production de la laine et des vêtements, dans un monde où l'industrie textile est largement mondialisée pour maximiser les bénéfices, on peut aussi souligner les efforts de certains fabricants :
- Le label Bluesign (Patagonia, Henjl, Teko, Bergans, Helly Hansen, Arc'teryx...) tend à diminuer l'impact écologique des produits certifiés, en garantissant des standards éco-toxicologiques élevés sur toute la chaîne de production, en particulier la non-utilisation de traitements nocifs (notamment chlorés) pour éviter le rétrécissement de la laine avec le temps.
- Oeko-Tex 100 (Teko, Devold) est un label similaire garantissant la non-dangerosité pour l'homme et l'environnement des substances utilisées pour la production des textiles.
- La participation à des groupes de travail dont l'objectif est d'éliminer les produits chimiques dangereux dans l'industrie textile, comme le ZDHC (Zero Discharge of Hazardous Chemicals), auquel adhère Ortovox ou le Chemical Management Working Group auquel participe Arc'teryx.
- La norme ISO 14001 (à laquelle répond Woolpower) certifie la mise en place d'un système de management environnemental. La marque a d'ailleurs rompu son approvisionnement en laine d'Australie car les producteurs ne présentaient pas les garanties éthiques nécessaires vis-à-vis des moutons.
- Une marque comme Patagonia a un modèle de gestion tout autant tourné vers le respect de l'environnement et de l'éthique que vers les bénéfices financiers. Patagonia participe d'ailleurs – comme Carnets d'Aventures – au programme 1% for the Planet.
- La marque de chaussettes Teko est exemplaire sur les aspects environnementaux, éthiques et sociaux. Elle fabrique ses vêtements aux Etats-Unis et en Italie, achemine la laine et les produits finis par bateau lorsque c'est nécessaire, etc...
- La marque Bergans, qui sous-traite sa fabrication en Asie, impose des codes environnementaux, éthiques et sociaux à tous ses fournisseurs.
- Quand on lit les codes éthiques de certaines marques, et les conditions d'espace et de semi-liberté dans lesquels vivent certains moutons mérinos, on ne peut soupçonner qu'ils soient mal traités... (exemples : réseau Ovis XXI en Patagonie pour Patagonia, moutons de Tasmanie pour Ortovox, moutons de Nouvelle Zélande pour Icebreaker, laine organique de Patagonie pour Teko ou laine produite localement et de manière respectueuse aux Etats-Unis, etc...)
- Certains fabricants mettent en place un système de traçabilité et d’audit pour plus de transparence (Icebreaker, Smartwool...)
- Plusieurs marques fabriquent en Europe : Henjl (production "made in Alps"), Natural Peak, Woolpower, Devold, Teko pour certaines chaussettes destinées au marché européen.
Au consommateur de juger si ces arguments sont convaincants et de faire son choix...
Tableau comparatif des premières couches (« baselayers », T-shirts)
Les hauts utilisés en première couche (« baselayer ») sont probablement les vêtements pour lesquels les qualités de la laine mérinos sont les plus cruciales. La première couche se porte près du corps, et doit apporter de la chaleur mais surtout évacuer l’humidité de la transpiration. Celle-ci est en fait déplacée au coeur des fibres et évaporée lentement en gardant le corps au chaud et au sec. L’évaporation peut en revanche être accélérée par l’ajout de fibres synthétiques, qui présentent également l’avantage d’augmenter la résistance à l’abrasion et la durabilité du vêtement.
La frontière entre premières et deuxièmes couches peut dépendre de la gamme des marques, et de l’utilisation que vous en faites. Certains des produits ci-dessous peuvent aussi être utilisés agréablement par dessus un premier vêtement plus fin… Les grammages des premières couches testées sont compris entre 120 et 240 g/m².
Certaines premières couches ont fait l'objet de protocoles de test mis en place pour comparer l'isolation et le temps de séchage des différentes fibres. Vous retrouverez les résultats directement dans les fiches de test.
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Tableau comparatif des 2èmes et 3èmes couches (« midlayers », pulls, vestes)
Les deuxièmes couches (« midlayers ») apportent un complément de chaleur important, tout en permettant une grande respirabilité, ainsi qu’une bonne liberté de mouvement. Leurs grammages sont compris entre 300 et 400 g/m² environ.
Les troisièmes couches sont des vestes (softshell, hardshell), gilets ou doudounes mixtes, qui complètent l’habillement en protégeant le corps des éléments extérieurs (vent, pluie).
Notez la présence de la marque artisanale française Henjl dans cette catégorie de vêtements.
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Marque |
Nom du produit |
H/F/Uni |
Taille |
Taille grand/petit
(taille équivalente) |
Type |
Manches |
Zip |
Poids |
Grammage |
Matière
|
Origine |
Prix public approx. |
Photo |
Année du test |
Bergans of Norway |
Sikori Lady Jacket |
Femme |
XS |
XS |
2ème couche |
Longues |
Intégral |
326g |
290g/m² |
94% Mérinos
6% Elasthanne |
Chine |
150 € |
|
2015 |
Icebreaker |
MerinoLOFT Helix Zip |
Homme |
XL |
XXL |
Veste |
Longues |
Intégral |
540g |
NC |
Isolation : Icebreaker MerinoLOFT 70 g,
Doublure 100 % Laine chinée
Panneaux latéraux : 39 % Laine, 45 % Nylon, 16 % Lycra |
NC |
199 € |
|
2015 |
Smartwool |
Women's PhD Smartloft Full Zip |
Femme |
M |
M |
Doudoune |
Longues |
Intégral |
477g |
NC |
Ext. 1 : 100% Nylon
Ext. 2 : 97% Mérinos / 3% Elasthanne
Int. : 100% Mérinos
Remplissage :
80% Laine / 20% Polyester |
Vietnam |
198 € |
|
2013 |
Ortovox |
(Mi)-Fleece Vest W |
Femme |
M |
M |
Softshell |
Sans manches |
Intégral |
236g |
NC |
27% Mérinos
69% Polyester
14% Elasthanne |
Europe |
100 € |
|
2013 |
Smartwool |
Men's PhD Hyfi Half Zip |
Homme |
M |
L |
2ème couche |
Longues |
½ zip |
526g |
260-370 g/m² |
64% Mérinos
36% Nylon
Poche :
100% Polyester |
Vietnam |
154 € |
|
2013 |
Woolpower |
Full Zip Jacket 400 |
Unisexe |
XS |
M/L (Femme)
M (Homme) |
2ème couche |
Longues |
Intégral |
479g |
400 g/m² |
70% Mérinos
28% Polyamide
2% Elasthanne |
Suède |
138 € |
|
2013 |
Woolpower |
Vest 400 |
Unisexe |
S |
M (Femme)
S (Homme) |
2ème couche |
Sans manches |
Intégral |
330g |
400 g/m² |
70% Mérinos
28% Polyamide
2% Elasthanne |
Suède |
102 € |
|
2013 |
Henjl |
Volt |
Homme |
M |
M |
Pull |
Longues |
½ zip |
620g |
NC |
85% Mérinos
15% Polypropylène |
France |
190 € |
|
2013 |
Henjl |
Byrd |
Femme |
S |
S |
Veste capuche imper-respirante |
Longues |
Intégral |
795g |
NC |
85% Mérinos
15% Polyester |
France |
270 € |
|
2013 |
Tableau comparatif des collants
Les collants apportent un complément de chaleur important sous un pantalon ou un surpantalon, mais peuvent aussi être portés seuls si les conditions le justifient (respirabilité maximale). La différence d’apport thermique est notable entre les grammages 170g/m² et 240g/m² proposés ci-dessous.
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Tableau comparatif des sous-vêtements (boxers, culottes, brassières)
Les sous-vêtements sont une autre application intéressante de la laine mérinos, celle-ci offrant confort et respirabilité, et retardant fortement les mauvaises odeurs.
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Tableau comparatif des chaussettes
La laine mérinos est très intéressante pour les chaussettes, puisqu'elle apporte chaleur et respirabilité, tout en retardant sensiblement l’apparition des mauvaises odeurs. Les chaussettes en mérinos sont renforcées de fibres synthétiques au niveau des zones de compression et d'usure. Nos protocoles de test mis en place ont permis de relever des différences importantes de chaleur et de temps de séchage parmi toutes les chaussettes testées.
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Tableau comparatif des accessoires (bonnets, tour de cou, sous-gants)
On classe dans les accessoires les bonnets, tours de cou, et sous-gants testés. Certains fabricants proposent aussi des gants possédant une doublure mérinos, des écharpes...
Cliquez sur les noms des produits ou leurs photos pour accéder aux fiches de test.
Test réalisé par Julien de l'équipe des testeurs Expemag.com
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