A vélo, de Lanester à Samarkand (?)
When : 4/11/24
Length : 100 days
Length : 100 days
Guidebook created by Renan
on 11 Apr 2024
updated on 31 Jul 2024
updated on 31 Jul 2024
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Guidebook : Mercredi (updated : 18 Jul 2024)
Description :
Gare routière d'Istanbul
Report : Mercredi (updated : 18 Jul 2024)
Nous arrivons enfin à Istanbul.
Cette mégalopole est tellement tentaculaire que nous mettons un temps fou à atteindre la gare routière d'Esenler. Nous finissons enfin par passer le détroit du Bosphore. Les 24 heures de trajet que l'on m'a vendues au départ se sont transformées en 27. Tellement longuet sur la fin que j'ai changé mes plans. J'avais réservé deux nuits dans la bouillonnante cité, je les annule, j'ai envie d'en finir au plus vite, si l'on peut dire, avec ce retour en bus. Et puis il fait trop chaud pour visiter la ville avec un bon 35 aujourd'hui. Et Istanbul, je connais. (Je sais, je frime.)
Une fois descendu du bus je file vers les guichets des compagnies pour l'international.
C'est fait. Ce soir je prends un second bus jusqu'à Sofia, la capitale bulgare. 3 heures d'attente là-bas demain matin et je grimpe dans un autre pour München en Allemagne. Ça fera trois nuits de suite à bord de bus. Petite pause à München pour se remettre de tout ça avec une nuit en camping puis un dernier trajet, de nuit encore, jusqu'à Paris. Je vais remonter tranquillement mon fidèle compagnon dans la capitale de la bière car jusqu'à Paris j'ai trouvé un bus qui accepte les vélos. En y arrivant je serai ainsi fin prêt pour la dernière ligne droite : les 500 ultimes kilomètres jusqu'à la maison.
Et maintenant il faut tout ramener le barda sous ce cagnard et attendre dans l'agence. Heureusement que les deux terminaux sont assez proches.
Voilà, j'ai bien transpiré, je peux aller faire un brin de toilette aux sanitaires. Je lave aussi mon T-shirt qui séchera sans problème sur moi. Je réussi à faire aisément abstraction des autres usagers, c'est une des conséquences du voyage à la simple.
Cette fois j'ai bien scotché les sacoches deux à deux par avance histoire de ne pas dépasser le nombre de bagages maximum. Maximum que je ne connais d'ailleurs pas chez cette compagnie...
Une fois descendu du bus je file vers les guichets des compagnies pour l'international.
C'est fait. Ce soir je prends un second bus jusqu'à Sofia, la capitale bulgare. 3 heures d'attente là-bas demain matin et je grimpe dans un autre pour München en Allemagne. Ça fera trois nuits de suite à bord de bus. Petite pause à München pour se remettre de tout ça avec une nuit en camping puis un dernier trajet, de nuit encore, jusqu'à Paris. Je vais remonter tranquillement mon fidèle compagnon dans la capitale de la bière car jusqu'à Paris j'ai trouvé un bus qui accepte les vélos. En y arrivant je serai ainsi fin prêt pour la dernière ligne droite : les 500 ultimes kilomètres jusqu'à la maison.
Et maintenant il faut tout ramener le barda sous ce cagnard et attendre dans l'agence. Heureusement que les deux terminaux sont assez proches.
Voilà, j'ai bien transpiré, je peux aller faire un brin de toilette aux sanitaires. Je lave aussi mon T-shirt qui séchera sans problème sur moi. Je réussi à faire aisément abstraction des autres usagers, c'est une des conséquences du voyage à la simple.
Cette fois j'ai bien scotché les sacoches deux à deux par avance histoire de ne pas dépasser le nombre de bagages maximum. Maximum que je ne connais d'ailleurs pas chez cette compagnie...
J'ai bien fait de ne pas aller crapahuter sous le soleil, je me repose et ça fait du bien.
Le bus part dans 45 mn et tout est dans la soute. Super ! 😄